Automatic translation into French of A Grammar of Modern Indo-European at Indo-European Language Association

1.Langues indo-européennes | 2.Mots indo-européennes | 3.Noms indo-européens | 4.Verbs indo-européens | 5.Syntax indo-européen | 6.Etymologie indo-européenne

Notes

Le vocabulaire est une des parties reconstruites bien de la langue proto-Indo-européenne. Les études indo-européennes ont traité largement de la reconstruction de TARTE commune rédige et ses dérivés, et beaucoup de dictionnaires modernes de langues IE comme latin, anglais, allemand, grec, Sanskrit, etc. déjà donnez des étymologies dans les racines de la TARTE à part les plus vieilles formes dans leurs langues.

Ces notes ne sont pas projetées de substituer les travaux de la référence existants, et en effet ne pas substituer le vocabulaire de la TARTE commun devant être utilisé dans Indo-européen Moderne, mais juste faciliter la compréhension de racines proto-Indo-européennes à la lumière de leurs dérivés (et apparenté au vocabulaire usagé dans cette grammaire), montrer aussi des formes IE basé sur le vocabulaire anglais commun.

Beaucoup ont reconstruit les dérivés sont alors d'allemand ou de mots internationaux de Graeco-latin de l'origine, mais cela n'implique pas que nous recommandons leur usage sur d'autres mots de la TARTE communs: par exemple, latin prête gn.tion.lís, national ou gn.tion.lit., nationalité, n'est pas utilisé dans quelques langues allemandes et slaves et devrait être substitué peut-être par autre, 'plus pur' ou 'moins influencé' termes proto-Indo-européens. Aussi, non-IE suffixe Lat. aiqi -, -, Gmc. iso -, "congelez", Gk. geo -, haimn -, pourrait être substitué par formations de la TARTE communes, comme ex. Lat. - pourrait être remplacé par un 'plus pur' ati IE -, et suffixe - les ti pourraient être utilisés au lieu d'Ita secondaire., Bras. -tio (n), etc.

1.      Carlos Quiles, traduit comme Kárlos K.riák indo-européen.:

a.    Carlos est un nom espagnol populaire dérivé de karlaz allemand, kerlaz (cf. O.N. karl, O.E. .eorl), peut-être "personne originairement commune, gratuitement équipez", Kárlos indo-européen Moderne. Dans mythologie nordique, Karl était le nom du premier paysan libre, le fils de Gréement et Amma. Le gréement était la forme humaine prise par le dieu Heimdall quand il a produit les ancêtres des trois classes sociales (servitudes, paysans et noblesse) avec trois femmes différentes. Dans les langues scandinaves, Karl retient sa signification "homme." En allemand, l'origine du nom Karl peut être tracée au mot Kerl qui est encore utilisé pour décrire des hommes rugueux et communs quelque peu. Comme dans le churl des mots et frustre en anglais.

b.    Quiles est un génitif, et moyens" de (fils) quili" (cf. Station thermale. Quílez, chat. Quilis, Ast. Quirós, Gal-Pt. Quiris). Il vient, de nom médiéval Quirici - > Quili (raccourci et avec r - > l), un mot de l'emprunt de Gk. ........ (K.riákos indo-européen) de qui Il./Station thermale. Quirico, Gl.-Pt. Queirici, chat. Quirce, Fr. Quirice, O.N. kirkja, Eng. église, église écossaise ou Ger. Kirche. Le kew de la racine de la TARTE veut dire gonflement. IE k..rios veut dire maître, seigneur, comme Gk. ......, et adjectif Kyriakoswas usagé comme nom de famille romain Cyriacos. K.riák. devrait être alors le génitif adéquat du MIE a emprunt-traduit le terme grec.

2.    Pour bh de la racine de la TARTE. (plus vieux * les bheh2 ont coloré dans * bhah1) comparez des dérivés modernes: le zéro-niveau (bha) a suffixé bháuknos, phare, signal, comme Gmc. bauknaz (cf. O.E. beacen, O.Fris. bacen, M.Du. bokin, O.H.G. bouhhan, O.Fr. boue, "bouée"), bhási., produisez des baies ("clair-coloured fruit"), comme Gmc. bazjo (cf. O.E. berie, berige, O.H.G.beri, Frank. bram-besi dans O.Fr. framboise, "framboise", bhrambhási MIE.); bhánduos, bannière, identifier le signe, standard, d'où la "compagnie a uni sous une bannière particulière" comme Gmc. bandwaz (cf. Goths. banwa, aussi L.Lat. bandum dans Sp.banda); bháues du zéro-niveau suffixé, lumière, comme Gk. ..., ....., (Bháues MIE, bhauesós) comme en commun bhawtogrbhí des emprunts. (voyez gerbh), photographie, bháwtos raccourci, ou bháuesphoros / phósphoros, apporter lumière, étoile du matin, phosphore. Voyez bh. pour plus de dérivés IE.

3.    Dérivés modernes d'IE d.gh., langue, est habituellement féminin (comme d.ghw général.), mais pour d.ghwiks slave étendu qui est masculin (cf. Russ. ...., Pl. j.zyk, Cz. jazik, Sr.-Cr.,Slo. jezik, Bul. ....). Comparez, pour le nom des Anglais (langue), mots indo-européens modernes: O.E neutre. Englisc, Ger. Englisch, Du. Engels, Gk. n.pl. .......; le masculin est trouvé dans engelsk scandinave, dans roman. où le neutre a fusionné avec le masculin. Fr. anglais, Il. inglese, Station thermale. inglés, Pt. inglese, aussi bien que Lat alternatif. serm. lat.nus, et Slave (suivre le masculin de la mot "langue"), Russ. .......... [....], Pol. angielski j.zyk, Bul. ......... [....], Sr.-Cro. engleski [jezik] etc.); Lat féminin (suivre le genre de "langue"). anglica [lingua], Rom. [limba] englez., ou Cz slave. angli.tina, Slo. angle..ina, Bel. .... i. ....; ou aucun genre à tout, comme dans Bras. angleren [lezu].

4.    Wéro de la racine de la TARTE, parlez, (ou * werh3) donne MIE w.dhom, mot, comme Gmc. wurdam, (cf. Goths. waurd, O.N. orð, O.S., O.Fris., O.E. rédigez, Du. woord, O.H.G., Ger. wort), et wérdhom, mot, verbe, comme Lat. uerbum, comme dans l'adwérdhiom, adverbe ou pr.wérdhiom, proverbe; aussi wério, dites, parlez, metathesized en grec, comme dans le werioneí., comme Gk. ........; aussi, forme différente suffixe wr.t.r, orateur public, rhéteur, comme Gk. ....., et wr.mn, rheme. Comparez aussi Umb. uerfalem, Gk. ...., Skr. vrata, Av. urv.ta, O.Pruss. w.rds, Lith. vardas, Ltv. v.rds, O.C.S. vra., Russ. ....., O.Ir.fordat; Hitt. ueria.

5.    TARTE jeug bas, joignez (probablement d'un jeu de la racine), a évolué comme O.H.G. [untar] jauhta, Lat. jung., Gk. ......... O.Ind. yuna.kti, y.jayati (jeugeieti IE), Av. yaoj -, yuj -, Lith. jùngiu, jùngti; donne jugóm des dérivés commun, en joignant, joug; cf. Gmc. jukam (cf. Goths. juk, O.N. ok, O.S. juk, O.E. geoc, Dan. aag, M.Du. joc, Du. juk, O.H.G. juch, Ger. Joch), Lat. iugum, Gk. ....., O.Ind. yugám, Skr. yoga., Bras. luc (avec .l a influencé par lucanem, "dételez"), Toch. yokäm, O.C.S. igo, Russ. ob.a, Cz. jho, iau gallois, O.Cor. ieu, Bert. ieo; Hett. yugan; jéugos, attelez, comme goth. jukuzi, M.H.G. jiuch, Lat. j.gerum (de Lat. j.gera, IEjóugesa), Gk. ......, O.C.S. i.esa;

6.    Néwos de l'adjectif de la TARTE, -., - om, donne newjaz allemand, (cf. Goths. niujis, O.N. nýr, O.Eng. niowe, O.Fris. nie, O.H.G. niuwi, Du. nieuw, Dan., Swed. ny), Lat. nouus, Osc. núvellum, Gk. ...., O.Ind. návas, návyas, Skr. nava., Av. nava -, O.Pers. nau, Toch. ñu / ñuwe, Thrac. neos, Bras. ..., O.Pruss. nauns (dû à analogie avec jauns), O.Lith. navas, Lith. na.jas, Ltv. nàuj., O.C.S. nov.., O.Russ. ...., Nowy polonais, Gaule. Novio -, O.Ir. n.ë, newydd gallois, O.Bret. neuued, nu Kamviri., Kashmiri n.v, O.Osset. nog; Hitt. newash, Luw. n.w.

C'était probablement un niveau plein de nu, maintenant, comme Gmc. nu (cf. Goths. nu, O.N. N., O.E. n., O.Fris. nu, O.Ger. nu, Du. nu, Ger. religieuse), Lat. nunc, Gk. ..,..., O.Ind. n., Av. nu, O.Pers. n.ram, Toch. Nu. / nano, O.Pruss. teinu, Lith. n., Ltv. nu, O.C.S. nune, O.Ir. nu -, aube. tani; Hitt. nuwa, Luw. nanun.

7.    Indo-Europeanmédhjos (de TARTE je, v.i.) donne Gmc. medjaz (cf. Goths. midjis, O.N. miðr, O.S. middi, O.E. midd, O.Fris. midde, O.H.G. mitti), Lat. medius, Osc. mefiaí, Gk. ......, O.Ind. mádhjam, Skt. mádhja., Av. maidja -, Pers. m..n, Illyr. metu, O.Arm. m.j, O.Pruss. médian, Lith. medis, Ltv. me.s, O.C.S. me.da, O.Russ. ...., Mi.dzy polonais, Gaule. Mediol.num, O.Ir. mi, gallois mewn, pâmü Kamviri. Les dialectes allemands ouest ont un medhjolós du dimminutive commun, milieu, comme Gmc. middilaz (cf. O.E. middel, M.L.G., Du. middel, Ger. Mittel); Les dérivés latins incluent medhj.lís, intermédiaire, medhj.li., médaille, medhj., servez de médiateur, médhjom, moyen, entermedhj., intermédiaire, medhjaiw.lís, médiéval, medhitersaniós, mediterranean, etc.

TARTE je, dans le milieu de, donne médhi du formes suffixe -, parmi, avec, comme Gmc. mi -, et méta -, entre, avec, à côté de, après, comme Gk. meta.

Pour áiw de la TARTE -, aussi ájus, force vitale, vie, la longue vie, éternité, compare Gmc. aiwi (comme dans O.N. ei, Eng. oui, non), áiwom suffixe, âge, éternité, dans le medhjáiwom, Moyen-Age, medhjaiw.lís, médiéval, prwimaiw.lís, primordial, dhlongháiwot., longévité; áiwot en outre suffixe., vieillissez, et aiwoternós, éternel, comme Lat. aeternus, dans l'aiwotérnit., éternité; áiw.n suffixe, âge, force vitale, éon, Gk. ai.n; zéro-niveau júcj.s composé, "avoir une vie vigoureuse", sain (de cei, vivant), comme Gk. hugi.s, dans le jucjésin. (téksn.)," (art) de santé", hygiène, comme Gk. hugiein. (tekhn.); ójus de l'o-niveau, vie, santé, comme Skr. .yu., ou Gk. ouk, de (ne) ojus (qid)", vie (pas sur votre)", dans l'ojutópi., de Gk. .., non, et ....., une place qui n'existe pas. Voyez aussi jeu, force vitale, vigueur jeune.

8.    Ágros de la TARTE, présentez, aussi pâturage, la terre, plaine, donne Gmc. akraz (cf. Goths. akrs, O.N. akr, O.E. æcer, O.Fris. ekkr, O.H.G. achar. Eng. acre), Lat. ager, Umb. ager (les deux de premier agros Italique, district, propriété, champ), Gk. ....., Skr. ajras, O.Arm. art.

9.    Indo-Europeansqálos, squalus, requin, (cf. Lat. squalus) est probablement analogue avec qálos, baleine, comme dans Gmc. khwalaz (cf. O.S. hwal, O.N. hvalr, O.E. hwæl, M.Du. wal, O.H.G. wal), peut-être d'un qalos original, avec une signification générale de "grand poisson", alors contraint dans sa signification dans les dialectes individuels. Voyez S-mobile dans § 2.8 pour plus sur les tels mots racontés.

10. Áqi indo-européen., "chose sur l'eau", la "terre aqueuse", île, est la source pour Gmc. auj., île (cf. Goths. ahwa, O.N. Á, O.E. .eg, O.H.G. haha, O.Is. ey, M.H.G. ouwe, Eng. est [terre]), comme peut être vu sur Skandináqi., ScandinaviaL.Latin forme trompé de Skadináqi., Scadinavia, "fin sud de Suède", emprunt-traduction de Gmc. skadinauj., "île du danger" (cf. O.E. Scedenig, O.N. Skaney); en premier l'élément est reconstruit habituellement comme skátom IE, comme dans Gmc. *skathan, signifier le danger, scathe, dégât (Goths. scaþjan, O.N. skaða, O.E. sceaþian, O.Fris. skethia, M.Du. scaden, O.H.G. scadon) qui pourrait être raconté en grec .- ...... (un-sk.th.s), indemne. La source pour áqi. est áq de la racine de la TARTE., arrosez, analogue avec Lat. aqua, Russ. Oká (nom d'une rivière) et, dans la branche Anatolian, Hitt. akwanzi, Luw. ahw -, aku Palaic -.

La "île" de l'écriture anglaise a été influencée par île française, de Lat. insula, il d'énsal MIE. (d'en-salos, "dans la mer", de sálom, mer, v.i.), ensalarís des dérivés donnant, insulaire, ensalanós, insulaire, ensalín., insuline, etc.

11.  Léndhom IE, terre, sol, que le pays, région, a donné à Gmc. landom (cf. Goths.,O.N., O.E., O.Fris., Du., Ger. terre), et est dérivé de PIElendh, avec la signification de terre, steppe; comparez O.Pruss. lindan, O.C.S. ledina, Russ. ljada, l.d polonais, Gaule. landa, O.Ir. débarquez, llan gallois, Bert. lann.

12.  Pour racine de la TARTE (á) .bhi, autour, au sujet de, comparez Gmc. (um) bi (cf. O.N. um / umb, O.E. soyez / bi, ymbe, M.Du. bie, O.H.G. umbi, bi, Du. bij, Ger. um, bei), Lat. ambi, amb, Gk. ...., Skr abhi, Celte. ambi. Il est dérivé probablement de fourmi (i) - bhi, illuminé. "des deux côtés", d'où plus vieil IE * n.bhi. Pour ánti de la TARTE, le devant, front, compare Gmc. andja (fin, originairement "le côté opposé", cf. Goths. et, O.N. endr, O.E. ende, O.Fris. enda, O.H.G. endi), Lat. antiae, Osc. fourmi, Gk. ...., Toch .nt / .nte, Lith. fourmi, O.Ir. étan. Anatolian Hitt. .anta, Luw. hantili, Lyc. les xñtawata supportent l'hypothèse d'un locatif précédent * h2ént-i. voyez fourmi et ambhi.

13.  Proto-Indo-Europeanag, promenade, l'attraction, mouvement, fait, agissez, comparez Lat. agere, Gk. ....., O.Ir. Ogma de qui agtiós, pesant, comme Gk. ....., ágr., saisir, comme Gk. ...., et ágtos, dans l'ambhágtos, un qui va autour, de Lat. ambactus, un mot de l'emprunt de Celtique. D'autres dérivés communs incluent agt.iuós, actif, agtu.lís, réel, agtuariós, actuaire, agtu., mettez en action, agénts, agent, agilís, agile, agit., agitez, ambhaguós, ambigu, komágolom, coagulum, ekságiom, l'essai, eksagtós, exige, eksago, demande, ekságmn, essaim, examen plus tardif, eksagmn., examinez, eksagénts, urgent, eksaguós, exiguous, nawag., naviguez (de n.us), dh.mag., désinfectez, (de dhúmos, fumée) fustag., fustigez (de Lat. fustis, "club"), transago, compromis, .transagénts, intransigeant (de n -, non -, voyez ne), litag., plaidez (de litágiom de l'emprunt latin, litige), pr.dago, conduisez loin, gaspiller, (de pr.-d-es, soyez bon) pr.dagós, prodigue, redago, rédigez, retr.ago, conduisez en arrière, retr.agt.iuós, rétroactif, transago, accomplissez; Agogós grec, tirer fermé, dans - agógos, - agogue ("mener, chef"), comme dans d.magógos, "chef populaire", démagogue (de d.mos, gens), supnagogikós, hypnagogic (de swep, sommeil), pawidagógos, pédagogue, protagoníst., protagoniste (Gk .............), komagóg., synagogue; agtiós suffixe, "pesant", comme dans l'agtiós, valeur, digne, de comme valeur, peser autant, comme dans l'agtióm., axiome, Gk. ......, agtiologí., axiology; ágr suffixe., conduire, poursuivre, saisir, comme dans Gk agr., dans le podágr.

Pour dhúmos de la TARTE, fumée, Lat. fumus, Gk. thymos, Skt. dhuma., O.Prus. dumis, Lith. dumai, O.C.S. dymu, M.Ir. dumacha.

Swep indo-européen, dormez, donne swóp.s, profondément dormez, comme Lat. sopor, dans le swoposidhakós composé (de - dhak), soporific;swópnos, sommeil, comme Lat. somnus, swópnolénts, somnolent, ou .swópniom, insomnie; le zéro-niveau a suffixé súpnos, Gk. hypnos, et dans le supnótis, hypnose, supnotikós, hypnotique.

Pour pau de la racine indo-européen, peu de, petit, comparez pawós des dérivés, Gmc. fawaz (cf. Goths. fawai, O.N. loin, O.E. feawe, Dan. faa, O.Fris. fe, O.H.G. foh) ou paukós, comme Lat. paucus; les metathesized suffixe forment parwós, parwom petit, petit, neutre, petit, rarement; pauparós composé, produire peu, pauvre (parós IE, produire), comme dans le depaupar., depauparate, et empaupar., appauvrissez; púl du zéro-niveau suffixé., jeune d'un animal, comme Gmc. ful.n (cf. Goths.,O.E. fula, O.N. foli, O.H.G. folo, O.Fris. fola, M.H.G. faites la vole, Eng. poulinez, Ger. Fohlen); étendu pútslos suffixe, jeune d'un animal, poulet, comme Lat. pullus, et putslolós diminutif, pusillus Lat, dans le putslolanamós, pusillamine; aussi, le "garçon, enfant", compare púeros suffixe, comme Lat, pour signification des mots. puer, pútos, comme Lat. putus, et páwids, comme Gk. .... (la tige a payé -), dans le pawideí., éducation, Gk. ......., dans le qlopáwidei de l'enq (u)., encyclopédie, de latin Moderne, il de grec" ........ ....... "" [bien -] éducation arrondie" qui signifie (voyez IE en, q'qlos) "une connaissance générale."

Pour pero IE, produisez, obtenez, plus vieux * perh2 (été en rapport attentivement avec pero, les deux de par), comparez la moyenne latine - (de zéro-niveau), dans la moyenne., essayez d'obtenir, préparez-vous, équipez, dans l'adpar., préparez-vous, adpáratos, appareil, vêtement, enpar., ordre, enpar.t.r, empereur, imperator, enparat.iuós, impératif, prepar., préparez-vous, repar., réparez, separ., séparez, coupez; pario suffixe, obtenez, engendrez, donnez naissance, p.part. partós, dans le partosiénts, parturient, pártom, la naissance, repario, trouve, repartóriom, répertoire; parénts de la forme participial suffixé parallèle, parent, comme Lat. par.ns; forme suffixée - parós, produire.

Pero indo-européen, accordez, distribuez (réciproquement, obtenir en retour), donne des dérivés comme pártis, une part, partie, comme Lat. les moyennes (partie de la tige -), dans le partio, divisent, partagez, partitós, a divisé, part, partítos, division, parti, partíkol., particule (avec faible. partikill., parcelle), dwipartitós, bipartite, kompartio, les compart, enpartio, donnent, repartio, repart, párti.n, portion, une partie, Lat. porti., dans le pr. partioní, dans la proportion, d'après chaque partie, dans pr.párti.n, proportion;p.r, égal, comme dans p.rit., parité, komp.r., comapare, .p .rit., inégalité, etc.

14.  TARTE que m.t.r (aussi m.t.r) a donné à Gmc. m.dar, (cf. SUR móðir, O.E. m.dor, O.S. modar, O.H.G. muoter, M.Du. moeder), Lat. m.ter, Osc. maatreís, Umb. matrer, Gk. ....., O.Ind. m.t., Skr. m.tár, Av. m.tar, Pers. m.dar, Phryg.mater, Toch. m.car /m.cer, Bras. .... (mair), aube. motër, O.Pruss. m.ti, Lith. mót., Ltv. m.te, O.C.S., O.Russ. ...., Matka polonais, Gaule. m.tir, O.Ir. máthir, modryb gallois, motr Kamviri, Osset. madæ.

IE qui termine - le terusually indique la parenté (voyez aussi papa-ter, bhr.-ter, dhuga-ter, jena-ter), pendant que ma - (plus tôt IE * mah2 -) est un bébé comme son trouvé dans le mot pour "mère" dans les langues non-Indo-européennes; comme, ema estonien, cumm sémite, m.ma chinois, Apache, Navajo - ma, ma vietnamien, eomma coréen, Malayalamamma, umama zoulou, ama basque, makuahine hawaïen, etc.; aussi, comparez Hitt IE-apparenté. anna, Pendu. anya.

Les composés incluent m.ternós (ou Lat. m.tern.lís), maternel, m.térnit., maternité, m.tríkol., liste, registre et verbe m.tríkol., immatriculez, m.tr.ks, matrice, m.trim.niom, mariage; aussi, m.téri., tronc d'arbre (< "matrice", la source de l'arbre d'augmentation), d'où "bois de construction dur usagé dans la charpenterie", d'où (calque de Gk. h.l., "bois, matière"), substance, truc, matière, comme dans m.téri.lis, matière; m.trópolis (de pólis), métropole, comme Gk. .........., aussi bien que déesse grecque de produits alimentaires (surtout pour les récoltes de la céréale) Demeter, de þ.-m.ter, lesquels ont été mis en rapport avec d'IE, da ou don.

Le "mariage" anglais vient d'O.E. les weddian "promettent, stipulez pour faire quelque chose" de Gmc. wadjan (cf. Goths. ga-wadjon, O.N. veðja, O.Fris. weddia, Ger. Wette), de TARTE wadh bas - promettre, racheter une promesse", comme Lat. vas (gen. vadis), "payez la caution, sécurité", Lith. vaduoti racheter une promesse." Le développement "se marier" est unique à la langue anglaise.

15.  Leuk de la racine de la TARTE - / le louk veut dire clair, allumez, luminosité. Comparez léuktom, lumière, comme Gmc. leukhtam (cf. Goths. liuhaþ, O.N. leygr, O.E. l.oht, O.Fris. liacht, M.Du. lucht, O.H.G. l.h, O.Ice. l.n), ou léuktio, faites léger, comme Gmc. leukhtjan (cf. O.E. l.htan); léuks, lumière, comme lat. l.x, comme dans le leukíbheros, "lumière-porteur", Lucifer (de bher, portez, comme bhóros grec, le desinene initial est perdu par samprasarana, cf. Lat. uir < wiros, Lat. sacer < níger du lapis du sakrosin, etc.); léuksmen suffixe, lumière, ouverture, comme Lat. l.men, pour adj des dérivés commun. léuksmenónts (ós), lumineux, enléuksmen., éclairez, etc.; léuksn., flânez, comme Lat. l.na, comme dans leuksn.lís, lunaire, leuksn.tikós, fou, etc.; léukstrom suffixe, purification, comme Lat. l.strum; leukstr., purifiez, éclairez, comme Lat. lustrare, comme dans l'enleukstr., illustrez; leukodhr., travaillez par lumière de la lampe, d'où écrivez avec érudition, comme Lat. l.cubr.re, comme dans l'eghleukodhr., écrivez avec érudition, (voyez eghs) et eghleukodhr.ti.n, elucubration; leukós suffixe, éclaircissez, blanc, comme Gk. ......; louk de l'o-niveau., brillez, comme Lat. l.c.re, dans le loukénts, lumineux, loukeitós, lucide, ekloukeit., élucidez, relouk., éclat, reloukénts, relucent, transloukénts, translucide; le zéro-niveau a suffixé lúksnos, lampe, comme Gk. lukhnos; et aussi a attribué par quelques-uns à cette racine a nasalisé le zéro-niveau Gk. ...., - ...., "lynx", en tout cas lunks MIE. Les dérivés IE communs incluent Lat. lux, lucere, Osc. lúvkis, Umb.vuvçis, Gk. ......, O.Ind. roká -, Av. rao.ant, Toch. luk, Bras. lois, lusin, Lith. laukas, Ltv. lauks, O.C.S. luci, Russ. traînez, Gaule. leux, O.Ir. luchair, llug gallois, luka Kamviri; Hitt. lukezi, Lyc. luga, Luw. luha-,

Pour lech de la racine de la TARTE, allumez, en ayant petit poids, comparez Gmc. likhtaz (cf. Goths. l.hts, O.N. léttr, O.E. l.oht, O.H.G. l.ht, Swed. lätt, O.Fris., M.Du. licht, Ger. leicht, Eng. lumière), Lat. levis, Gk. ......, Skr. laghú., raghú., Av. raghu -, r.v. (de * raghv.), Kashmiri lo.t, Toch. -/lank.tse, O.Pruss. l.ngiseilingins, Lith. lengva, Ltv. liegs, Sla. l.g.k. (cf. O.C.S., O.Russ. ......, Russ. ......, Pol. lekki, Cz. lehký, Sr.-Cr. ....), O.Ir. lugu, laigiu (de * lagi.s), llai gallois, aube. lehtë. Les dérivés MIE communs incluent léchtos suffixe, lumière et lechtio, éclairez, comme Gmc. likhtjan; lechús, lumière (étendu dans - est dans Lat. leuis) dans lechu., éclairez, élevez, Lat. leu.re, comme dans le léghuit., légèreté, adlechu., allégez, eklechu., élevez, relechu., soulagez, relechuánts, pertinent; lachs différent, petit, comme O.Ir. ; zéro-niveau nasalisé l.chs, poumon, "organe léger", comme Gmc. lungz (cf. O.N. précipitez-vous, O.E.,O.Fris. lungen, M.Du. longhe, Ger. précipitez-vous).

16.  Adjectif c.wós, vivant, de zéro-niveau * gwiH, est la source pour Gmc. kwikwaz (cf. Goths. quis, O.N. kvikr, O.E. cwicu, O.Fris. quik, O.H.G. quec, Ger. keck, peut-être aussi O.E. cwifer, Eng. frissonnement), lat. u.us, Osc. bivus, O.Ind. j.vati, Av. .vaiti, O. Pruss. giw., Lith. gyventi, Ltv. dz.vs. Il vient de cei de la racine de la TARTE, vivez, comparez Gk. .... (bios),... (zoé), Pers. gaith., Toch. .o / .ai, O.Arm. keam, O.C.S. ...., Russ. ...., .y polonais., Gaule. Bitur.ges, O.Ir. bethu, byd gallois.

17.  Léus de la racine de la TARTE, défaites, divisez, coupez séparément, donne luso du verbe étendu, perdez, perdez, Gmc. lausan (cf. O.N. los, O.E. losian, O.Is. lyja, Swe. sofve), avec partie du zéro-niveau. lusonós, Gmc. luzanaz, (O.E., Du. loren, Ger. [ver] loren), leusós, détachez, a défait, Gmc. lausaz (cf. Goths. laus, O.N. lauss, O.E. prés, Dan. løs, M.Du., Ger. los). Comparez aussi Lat. lu.s, Gk. ..., Skr. lunáti, Toch voilà / lau, O.Ir. loë, aube. laj; Hitt. luzzi. Il est dérivé de leu de la TARTE.

18. Pour .tkos indo-européen (á), ours, grand animal, de plus vieux * rtgos de l'h2 (é) du rtcosor de l'h2 (é), (cf. Hitt. .artagga), comparez Lat.ursus (d'Ita. orcsos), Gk. ......, Skr. .k .a, Av. ar.am, Pers. xers, Bras. arj, Gaule. Artioni, arth gallois, aube. ari, ic Kamviri, Osset. ærs. Les emprunts Modernes communs incluent rtkinós latin, comme un ours, Artkikós, Arctique (de * Arktikós), Antartkikós, Antartic (voyez ánti, en face de, devant), Artkór gallois (i) os, Arthur.

19.  N.mn indo-européen moderne, nommez, d'un plus vieil IE II * h1noh3mn., comparez Gmc. nam.n (cf. Goths. nam., O.N. nafn, O.E. nama, O.Fris. nama, O.H.G. namo, Du. naam), Lat. n.men, Umb. nome, Gk. ....., O.Ind. n..ma, Skr. n.man, Av. n.man, O.Pers. n.ma, Toch. ñom / ñem, Bras. ..... (anun), O.Pruss. emmens (d'emnes), Sla. j.m.-j.mene (cf. O.C.S. im., Rus. ..., Imi polonais.) aube. emër / emën, O.Ir. ainmm, anu O.Welsh, O.Corn. hanow, Bert. ano, nom Kamviri; Hitt. l.man. Les mots modernes communs incluent latin (de nomen, "nom, réputation"), nomn.lís, nominal, nomn., nommez, dwinomni.lís, binôme, komn.mn, nom de famille, denomn., dénommez, .nómni., ignominie, nomnklat.r, nomenclator, pr.in.mn, praenomen, pr.n.mn, pronom, ren.mn, renommée; de grec est nomnstikós, onomastique, - nomn, - onym, .nomnós, anonyme, antinomnsí. (d'anti), antonomase, eponomnós, eponymous, sunomnós (a), euonymus, snteronomnós, heteronymous, somonomnós, homonyme, m.tronomnikós, matronymic, patronomnikós, patronyme, nomntoqoiweí., anomatopoeia, paronomnós, paronimous, pseudonómn, pseudonyme (de Gk. pseudes, "faux") komnómn, synonyme.

Pour qéi de la TARTE, entassez-vous, construisez, faites, comparez qóios de l'o-niveau, corps (comme dans Eng. guépard), comme Skr. k.ya.; qoiwós suffixe, faire, (après Pokorny Gk. *... -..-.) dans le qoiweio du verbe, faites, créez, comme Gk. ......, qoiwéitis, faire, et comme suffixe grec - qoiweitis, - poiesis, Gk. ......., aussi de Lat. qoiweití., poesy, qoíweimn, poème (Gk. ......), qoiwéit., poète (Gk. .......), qoiweitikós, poétique, epoqoiwéi., épopée, etc.

Qéi de la TARTE de la racine semblable, payez, expiez, dédommagez, donne Gk. temps, Skr. cinoti, Av. kaena, O.C.S. cena, Lith. kaina, aussi bien que qoin d'o-niveau MIE commun., amende, amende, comme Gk. poin. dans Lat. poena, comme dans qoin.lís, punissable, qoin.lit., amende, .qóinit., impunité, qoinologí., pénologie, qoinitosiós, punitory, supqoin., citation.

20. Pour - qe, enclitique "et", comparez des Goths, O.N. -u (h), Lat. -que, Gk. -.., Messap. ti, si, O.Ind., Ira. -ca, Phryg. ke, Ven. kve, Gaule. -c, O.Ir. -ch -; Hitt., Luw. -ku, Lyc. -ke.

Pour MIE non-clitic signification des mots "et", comparez surtout éti MIE, "dehors, plus loin", aussi "et", comme goth. iþ, O.N. I, O.E. edw, O.H.G. ita -, Lat. etiam, et (cf. Fr. et, Il. ed, Station thermale.,Ca., i, Gl.-Pt. e, Rom. .i), Gk. eti, O.Ind. ati, Av. aiti, O.Pers. atiy, Phryg. eti, Toch. atas, aci /, O.Pruss. et -, à -, Gaule. eti, etic, O.Bret. et -, et O.Welsh -, à -.

Untha allemand commun (cf. O.N. enn, O.E. et, ond, O.S. endi, O.Fris. anda, M.Du. ende, O.H.G. enti, Ger. und), a reconstruit comme MIE .ti, est dit généralement être finalement d'ánti de la TARTE, devant, bien que plus d'une façon concevable une forme du zéro-niveau d'a nasalisé * énti, de l'éti de la TARTE susmentionné (Adrados). Aussi, O.E. eac, "aussi" (comme Eng. augmentez), Ger. auch, est utilisé comme la conjonction commune dans Da.,Non. og, Swe. och, d'aug, augmentation.

Slave "un" vient d'annonce d'adverbe IE, (plus vieux * h1d) "et, alors", comme Skr. graisse, "après, alors, ainsi", Av. graisse, "après, alors", pendant que "i (h) slave" vient d'ei de conjonction IE, et, si, comme dans Gk. e.

21.  IE - r, enclitique "pour", cf. Gk. ar, ara, (er chypriote), O.Ind. -r, Lith. ir, "et, aussi", ar (interrogateur).

22. Les membres Anglesare d'une tribu allemande mentionnés par Tacitus, O.E. Angeln, de Lat. Anglii, illuminé. "gens d'Angul" (cf. O.N. Öngull), une région dans ce qui est maintenant le Schleswig-Holstein, en Allemagne Du nord. Les adjectifs car les plus vieux habitants pourraient être reconstruits alors comme Angliós indo-européen Moderne. Adjectif moderne anglais est une formation allemande commune, a dérivé d'IE suffixez - isko -; comme, Angliskós, Germaniskós, Teutiskós (avec 'Classique' Graeco-latin Anglós, Anglikós, Germanós, Germanikós, Teut.n, Teutonikós), etc.

Le nom Germáni. est d'origine inconnue. Le Dictionnaire d'Oxford Anglais enregistre des théories au sujet du gair de la racine celtique. Une autre théorie suggère gar, pendant que celui qui le dérive de Gmc. gaizo - (cf. O.N. geirr, O.H.G. ger, O.E. gar, Ger. Ger) est une des plus vieilles théories proposée. C'est encore un mot commun dans les langues modernes; comme, Ni. germansk, Gk. ........, Rom. allemand, Ir. Gearmáinis, Sco. Gearmailtis, bras. germaneren, l'hindi Jarman, aube. gjermanishte, etc. aussi dans les langues non-Indo-européennes, comme .ermani maltais., germani hébreu, germanuli géorgien, Indonésien, Malais, Tagalog, thaï, Xhosa, Jerman, järmän Amharic.

23. Pour w.qos indo-européen, loup (fem. w.qi. /w.q.), comparez Gmc. wulfaz (cf. Goths. wulfs, O.S. wulf, O.N. ulfr, O.Fris., Du., O.H.G., Ger. loup), Lat. lupus, Gk. ....., Skt. v.kas, Av. vehrka -, O.Pers. Varkana - (Hyrcania, "loup-terre", district sud-est de la Mer caspienne), ulk albanais, Lith. vilkas, O.C.S. .....; Rus. ...., Ukr. ..... Les mots de la TARTE attentivement apparentés sont gémissement, loup, cf. O.Arm. gayl, O.Ir. fáel, et w.p.s, renard, cf. Lat. uulp.s, Gk. ......, Skr. lop..á, Av. urupis, raopis, Pers. r.b.h, Bras. alu.s, illuminé. lãp., Ltv. lapsa. Les tels animaux sont aussi un symbole de convoitise dans beaucoup de vieux dialectes indo-européens.

24. Bher de la racine de la TARTE, portez, portez, aussi enfants de l'ours, a donné Gmc. beranan (cf. Goths. bairan, O.N. bera, O.E., O.H.G. beran), Lat. fero, Umb. fertu, Gk. ...., O.Ind. bhárati, Av. baraiti, O.Pers. baratuv, Phryg. ber, Toch. pär, O.Arm. berel, Lith. beriù, Ltv. be.u, O.C.S. ......, Rus. ...., Bior polonais., O.Ir. berim, Welshcymmeryd, aube. bie, bor Kamviri. Avec la signification de donnez la naissance, comparez Eng. naissance, Goths. baurþei, Ger. Geburt, Lat. fors, O.Ind bh.tí., bibhr..as, O.Ir. brith, O.C.S. ....... Les dérivés modernes incluent bh.r., civière, Gmc. b.r. (cf. O.N. bara, O.E. ber, O.Fr. biere, O.H.G. bara, O.Fris. bière, M.Du. mettez à nu, Eng. civière); bhórnom de l'o-niveau, enfant, Gmc. barnam (cf. O.E. bearn, bairn écossais); zéro-niveau suffixé (kom) bh.tis, naissance, comme Gmc. (ga) burthiz (cf. Goths. gabaurþs, O.N. byrðr, O.E. gebyrd, Ger. geburt, Eng. naissance), bh.tinios, fardeau, comme Gmc. burthinjaz (cf. Goths. baurþei, O.N. byrðr, O.S. burthinnia, O.E. byrðen, Ger. bürde); bhrenko de la racine composé, apportez (de bher+enk, portée), comme Gmc. brengan (cf. Goths. briggan, p.t. brohte, pp. broht, O.Fris. brenga, O.E. bringan, M.Du. brenghen, O.H.G. bringan); de ferre latin est MIE communs - bher, - fer, bhertilís, fertile, adbherénts, afférent, kikrombherénti., la circonférence, kombhero, confère, kombherénti., la conférence, debhero, diffère, disbhero, différez, ekbherénts, efférent, enbhero, inférez, obhbhero, l'offre, pr.ibhero, préfère, probhero, l'offre, rebhero, se reporte, supbhero, souffrez, transbhero, transfert, woqibher., vociférez; préfixé et a suffixé próbhrom du zéro-niveau, reprochez à, dans l'obhpróbhriom, opprobre; zéro-niveau suffixé bh.tus, risquez (de "un apporter, que qui est apporté"), comme dans le bhrtuitós, se passer par hasard, fortuit, bhrt..n., risquez, bonne chance, richesse; o-niveau allongé bh.r, voleur, comme dans bhort.iuós, sournois, bhorónkolos, furoncle; de pherein grec est des bhóros du nom de l'o-niveau, en portant, - bhor., - phore, - bhoretis, - phoresis, - bhoros, - phorous, est (bh) bhor., (de Lat., de Gk. ambhibhoreus), anábhor., diabhorétis, (a) subhorí., euforia, metábhor., peribhérei., bheromón., etc.; bhérn suffixe., dot ("quelque chose apporté par une mariée"), comme dans le parabhernáli.

Nek IE, atteignez, atteignez, donne l'o-niveau a préfixé (avec kom intensif -) komnóko, suffisez, comme Gmc. ganakh - (cf. Goths. ganohs, O.N. gnogr, O.E. genog, O.Fris. enoch, Ger. genug); enk grec différent, portez, donne ónkos du nom de l'o-niveau, fardeau, masse, d'où une tumeur, comme Gk. ....., Skr. a..a., comme dans l'onkogénetis, onkologí.; et bhrénko allemand, apportez, v.s.

  L'eu grec est comparé habituellement avec assu Hittite < * eh2su "bon", d'où asu MIE, habituellement su - dans les composés, cf. O.Ind. su -. Le fait que tous les dialectes grecs montrent la même évolution dans cette racine indo-européenne est considéré un phénomène rare.

25. Les dérivés certifiés incluent le zéro-niveau q'qlos / qúqlos grec, cercle, cycle, Gk. ......, (de qui L.Lat. cyclus, Eng. cycle), Toch. kukäl / kokale, qéqlos de l'e-niveau, roue, comme Gmc. khwewlaz (cf. O.N. hvel, O.E. hw.ol, hweogol, O.S. hiughl, O.Fris. hwel, M.Du. weel), et Lith. kãklas, ou qéqlom neutre, chakra, cercle, roue, comme O.Ind. cakram, Av. ... r., aussi trouvez comme qélqos du metathesized, charkha, comme Vieux. Pers. .arka, ou Osset. calx. D'autres dérivés de TARTE qel de la racine verbal, signifier fait tourner, bougez autour, séjournez, demeurez, incluez Lat. colere, "labourez, cultivez, habitez", pas originairement o-niveau dans TARTE (de qelo de la TARTE de la forme de base - - > Lat. chou -), comme dans qél.nos, setler, qél.ni., la colonie, qeltós, a cultivé, qéltos, adoration, que le culte, qelt.iuós, a labouré, qelt.iu., cultivez, qéltos., culture, .qeltós, incult, .qélinos, inquiline, etc; qél.s suffixe, "achèvement d'un cycle", consommation, perfection, fin, que le résultat, telos, donne à Gk. ....., -... (souvenez-vous que TARTE [kw] devient Gk. [p] ou [t] avant certaines voyelles), qeliós donnant, parfaites, complétez de qui qeliologí., téléologie, qéliom, telium, que les qelio, consacrate, accomplissent, dans le tour qelésmn donnant, cérémonie de la consécration de qui qelesm.n (à travers tilasm arabe, alors Il. Station thermale du talismanoor. talismán dans Fr. talisman); de qólso de l'o-niveau -, "que sur quels les tours de la tête", le cou, hals, est qólsos, Gmc. alsaz du kh (w) (cf. Goths., O.N., Dan., Swed., Du., Ger. hals), et qólsom, comme Lat. collum de quels dérivés qols.r, col, deqols., decollate, décapitez, etc.; suffixé - qol., - colous, et enqol., inhabitanta Lat. -côlons, incola; ánqolos, "un au sujet de" qui se démène, domestique, comme Lat. anculus, donner faible. f. anqíll., domestique; qólos, axe d'une sphère, perche, comme Gk. ....., aussi - qólos, gardien de troupeau, comme couqólos, vacher, (de c.us, vache) comme Gk. ........, couqolikós donnant, bucolique; aussi, qól.s, roue, comme kolo slave, koles (cf. O.C.S. ...., Russ. ......, Pol. ko.o); qólenos de l'o-niveau suffixé, circulation, comme O.Ira. -carana, comme dans wés.qólenos, "vente-circulation", bazar, comme O.Ira. vahacarana (voyez wes), Pers. b.z.r, d'où aussi MIE emprunt partiel wes.r ou emprunt baz.r, bazar.Comparez aussi O.N. hj.l, Skr. cárati, Av. caraiti, Vieux Prussien - kelan, Lith. kelias, O.Ir. cul, aube. sjell; Luw. kaluti -; zéro-niveau q.in différent, encore, comme Gk. ....., comme dans le qlíndromos (de Gk. -......, champ de courses), palindrome, qlínps.stos, palimpsest, Gk. ........... (de Gk. ps.n, "égratignure").

Un mot commun pour roue est rót. de qui Gmc. rad. (cf. SUR r.ðull, O.E. rodur, O.H.G. rad), Lat. liste de service, Skr. ratha, Av. radha, Lith. ratas, Ltv. rats, Gaule. Roto -, Ir. rath, rhod gallois, aube. rrath. Su les dérivés modernes sont mot de l'emprunt celtique à-wó-rets, a formé par IE "faire-upo-réts", "une course jusqu'à" lequel donne À la mode. Eng. tory, d'O.Ir. t.ir, "poursuite"; aussi, retondós, rouler qui a donné rotondós arrondit, rond, comme Lat. rotundus.

26. Comparez pour ghóstis de la TARTE, étranger, invité, Gmc. gastiz (cf. Goths. gasts, O.N. gestr, O.E. gæst, O.Fris. plaisantez, O.H.G. gast), Lat. hostis, hospes (hostis-potes) O.C.S. gosti, gost OCS., Russ. ....., Entrain polonais.; Luw. ga.i. Ghospóts composé, organisez, (Lat. les hospes, invité, organisent originairement, "seigneur d'étrangers"), donne MIE ghospot.lís, hospitalier, et alsoghospot.lis, hôpital (de M.Lat. hospitale, signifier l'auberge, grande maison, "maison de l'invité"), réduit comme ghost.lis, auberge, d'O.Fr. auberge, dans le tour de Lat. conte de l'hos (pi). Pour Hôtel, un emprunt plus international du même mot, il pourrait ou être utilisé comme ghost.lis, ou comme un emprunt mot ghostél / ghotél français; comparez des mots avec les significations légèrement différentes: Eng. auberge-hôtel, Ger. Gasthaus-hôtel, Swe. gstgiveri-hôtel, Glace. gistihtel, Station thermale. hostal-hôtel, Il. ostello-hôtel, Pt. hôtel, Russ. ......... (gostinitsa), Uk. ..... (gotel), Pol. hôtel, Cz. hostinec, Pers. hôtel, Ind. hôtel, et aussi dans les langues non-Indo-européennes, comme hotelli finlandais, japonais .... (hosuteru) -... (hoteru), coréen.. (ho-t'el), le thaï ...... (h.-dix), etc. Le mot pour 'hôtel' en latin, cependant, était deuersorium, de la même racine comme Eng. détournez.

27. Plus de dérivés de la TARTE ont été en rapport avec stáuros, (aussi stéuros, les deux de ster de la TARTE) est allemand (s) teuraz (cf. Goths. stiur, O.S. stior, O.N. stjórr, O.E. steor, O.H.G. stior, M.Du., Du. stier; Dan. tyr, Swed. tjur), Lat. taurus, Osc. turuf, Gk. ......, Av. staora, O. Pruss. tauris, Lith. tauras, Ltv. tauri., O.C.S. turu, Rus. tur, Pol. tur, Gaule. tarbos, tarw gallois, O. Ir. tarb, turuf Oscan et aube. taroç.

28. Nízdos indo-européen, nid, en posant place, est une racine de la TARTE secondaire, de ni -, en bas, + sed, asseyez-vous. Comparez Gmc. nistaz, Lat. nidus, O.Ind. nidas, Skr. n..á, Bras. nist, O.C.S. ......, Russ. ......., Gniazdo polonais, O.Ir. prenez au filet, nyth gallois, Bert. nez. Pour mízdhos, comparez Gmc. mizd. (Goths. mizd., O.E. m.d, O.S. m.da, O.H.G. mieta), Gk. ......, Skr. m.dhá, Av. m..da, Pers. muzd, meed, O.C.S. m.zda, Russ. ......

29. Ker de la TARTE, la corne, tête, a donné k.nos, corne, Gmc, aux dérivés. khurnaz (cf. Goths. haurn, O.E. corne, Ger. Horn, Du. horen), Lat.,Celte. maïs. (< * kórnus, un mélange avec kórus de l'o-niveau différent, comme dans Gk. koru -); kéru.ks, bécotez-vous, de Lat. cerv.x; kérudos, mâle cher, cerf, de Gmc. kherutas (cf. O.H.G. hiruz, O.N. hjörtr, O.E. heorot, M.Du. hert, Ger. Hirsch); kéruos, cerf, comme Lat. ceruus, carw gallois; k.sniom, Gk. ......., Lat. cran.um;k.snotom, frelon comme Gmc. khurznutu - (cf. O.E. hyrnetu, hurnitu, Du. horzel); kerésrom [ke - 'rez-rom], frappez fort, comme Lat. cer.brum (comparez aussi O.N. hjarni, O.H.G. hirni, Ger. Hirn); d'autres dérivés incluent Gk. ...., Skr..iras, srngam, Av. sarah, Pers. sar, Toch. kr.ñi, Bras. sar, O.Pruss. kerpetis, Lith. szirszu, Ltv. .k .irpta, O.C.S. ....., Russ. .erep, Pol. trzop, Bert. crénez, aube. krye, Osset. sær.

30. Pour snúsos de la TARTE, belle-fille, comparez Gmc. snusaz (cf. Goths. schuos, O.N. snor, O.E. snoru, O.H.G. snur), Lat. nurus, Gk. ...., Skr. snu., Bras. nu, OCS sn.xa, Russ. ....., Snecha polonais, aube. nuse.

31.  TARTE nébh.s, couvrez, a évolué comme Skr. nábhas, Av. nabah, Lith. debesis, Ltv. debess, O.C.S. nebo, Russ. nebo, niebo polonais, O.Ir. nem, Cor. nef, niru Kamviri; Hitt. nepi., Luw. tappa., Lyc. tabahaza. Nébhel suffixe. donne Gmc. nibila (cf. O.N. niflhel, O.E. nifol, O.H.G. nebul, aussi trouvé dans patronyme MIE Nebhel.kos, Gmc. Nibulunkhaz, comme O.H.G. Nibulunc, Nibulung), aussi niwl gallois, Lat. neb.la, comme dans le nebhelós, nébuleux, et Gk. nephel., comme dans le nebhelín., nepheline, nebhelométrom, nephelometer; nebhologí suffixe., nephology; némbhos nasalisé, pluie, nuage, aura, comme Lat. nimbus.

Pour m de la TARTE., mesurez, comparez dérivés suffixés que m.los, "mesure du repas, marquent, temps attitré, temps pour manger, repas", comme Gmc. melaz (v.s.); m.tis suffixe, sagesse, compétence, comme Gk. m.tis, metio en outre suffixe, mesure, comme Lat. m.t.r., dans p.part nasalisé. mensós, mesuré, mensós., mesure, mensos.lis, mensural, kommensos., proportionné, disménsi.n, dimension, .mensós, immense;métrom, mesure, règle, longueur, proportion, mètre poétique (fait référence par quelques-uns à med IE -), comme Gk. ......, dans le metrikós, métrique, diametrós, diamètre, geometrí., géométrie, wiswometrikós, isométrique, metrologí., métrologie, kommetrí., symétrie; étendu et suffixe forme m.n., mois, lune, comme Gmc. m.n.n (cf. O.E. mona), Gk. m.n, m.n., dans les dérivés m.nopáus., ménopause, .m .nosréwi., amenorrhea, etc.; pour mois, comparez aussi m.n.ts, comme Gmc. m.n.th (cf. Goths. menoþs, O.N. manaðr, O.E. m.nath, M.Du. manet, O.H.G. manod, Du. maand, Ger. Monat), et m.nsis latin, comme dans le menstru., ayez ses règles, menstru.lís, menstruel, dwiménstris, bimester, dwimenstri.lís, bimestrial, seksménstris, semestre, triménstris, trimestre, etc. (voyez aussi le zéro-niveau suffixer - m (ns) ris, mois).

TARTE m.referred aussi à certaines qualités d'esprit, comme o-niveau suffixe m.tos, esprit, humeur, comme Gmc. mothaz (cf. Goths. moþs, O.N. moðr, O.Fris. à la mode, M.Du. moet, O.H.G. muot, Du. moed, Ger. Mut), et m.s latin, coutume, humour, manière, coutume, comme dans l'emprunt rédige (affecté par rhotacism) mos.lís, morale, mós.s, coutume, mosónts (ós), morose.

Aussi, m de la TARTE., grand, donne m.is comparatif suffixe., plus grand, plus, comme Gmc. maiz.n (cf. O.S. mera, O.N. meiri, O.Eng. O.Fris. mara, O.H.G. mero, M.Du. simple, Ger. mehr), Osc. mais, Gk. -moros, Av. mazja, O.Ir. mor; aussi, m.istós suprême, la plupart, Gmc. maistaz; (Lat. le maes, "plus", vient de meg). 

Med IE, prenez des mesures appropriées, mesurez, donne Gmc. metan (cf. Goths. mitan, O.E. metan, O.Fris., O.N. meta, Du. meten, Eng. infligez, Ger. messen), aussi (kom) méd., mesurez, Gmc. (ga) mætijaz (cf. O.N. mætr, O.E. gemæte, O.H.G. gimagi, Eng. rencontrez, Ger. gemäß); medio, regardez après, guérissez, guérissez, comme Lat. med.r., dans le medik., traitez, medikín., médecine, medikós, médical, remédiom, remède; medit., pensez au sujet de, considérez, reflétez, méditez; medes suffixe -, donner (a influencé par Lat. modus) modestós, "rester à la mesure appropriée", modéré, .modestós, inmodest; modes., "restez dans mesure", modéré, contrôle, .modesatós, inmoderate;medónti., Méduse, de Gk. medein, "règle"; módos de l'o-niveau suffixé, mesure, dimension, limite, manière, harmonie, mélodie, humeur, comme dans le mód., mode, modélos, modèle, modesnós, moderne, modidhak., modifiez, modol., modulez, módolos, module, module, kommod., commode, kommódit., denrée, adkommod., accomodate; módios de l'o-niveau suffixe, une mesure de grain; o-niveau allongé m.ds, capacité, mesure, comme dans m.do, ayez l'occasion, être autorisé ou a obligé, comme Gmc. m.tan (cf. Goths. gamotan, O.Fris. mota, O.E. motan, M.L.G. moten, Du. moeten, Ger. müssen, Eng. d'O.E. part.moste).

32. Gen du verbe de la TARTE, donnez la naissance, engendrez, produisez, est une racine bien-certifiée qui donne des dérivés qui font référence à aspects et résultats de procréation et aux groupes familiaux et tribaux, ex. gén.s, course, réserve, genre, genre, comme Lat. genre, generis, Gk. ....., Skr. jana., gènes des dérivés donnants., produisez, genes.lis, général, genes.ti.n, génération; g.a bas alternatif, g.tis analogue donnant, naturel, autochtone, clan, parent, course, comme Gmc. kundiz (cf. O.E. gecynd, Eng. genre), Lat. gentis, Gk. ......., Skr. j.ta, Lith. gentis; redoublez gígno, engendrez, avec genitós du participe passé, comme dans genit.r, genit.lis, komgenit.lís, etc., cf. Lat. gignere, Gk. ........., Skr. jajanti, Av. z.z.nti; gn.sko, naisse, de Lat. gn.sc., comme dans gn.tós, , gn.t.iuós, autochtone, gn.ti.n, nation, gn.tos., nature, komgn.tós, analogue; pr.ignánts, enceinte; génios, divinité procréatrice, esprit tutélaire inné, qualité innée; engenuós, né dans (une place), natif, naturel, né libre, alors franc, et genu.nós, genuine;engéniom, caractère inné, moteur plus tardif et engeniónts (ós), ingénieux; endogen., natif, indigen; génm.n, germen, comme dans le genmen., germez, genmen.lís, etc. Comparez aussi Gmc. kunjam, Osc. genetaí, Umb. natine, Skr. janati, Pers. z..dan, Phryg. cin, Thrac. zenis, Toch. kän, Bras. cnanim, Lith. gimdyti, Ltv. znots, OCS z.t., Russ. ...., O.Ir. ro-genar, geni gallois, aube. dhëndër / dhândër, Kam. zut; Hitt. genzu.

33. De weid de la racine de la TARTE, woid, voyez, sachez, comparez Gmc. w.tan (Goths. weitan, O.N. vita, O.S., O.E. witan, O.H.G. wizzan), Lat. uid.re, Gk. ....., ....., ...., Gk dorique. woida, Skr. v.dah, Av. va.da, Phryg. esprit -, Bras. gitem, O.Pruss. widdai (de vid.i.et), Lith. véizdmi, O.C.S. ......, Pol. widzie., Rus. ......., Vindos du Gaullien, O.Ir. ro-fetar, gwyn gallois, gwenn breton, Kashmiri v..h .n. Les dérivés incluent wéistos (< * wéidtos), érudition, sagesse, connaissance, apparence, forme, manière, comme Gmc. wissaz (cf. O.N. viss, O.S., O.Fris., O.E. w.s, O.H.G. wiz, O.Fr. apparence, Du. wijs, Ger. weise, Eng. sage); wéid.s suffixe, forme, forme, comme Gk. eidos, dans le wéidolom, idole, eidolon, comme Gk. .......; wídiom de la forme du zéro-niveau, connaissance, compréhension, intelligence, esprit, comme Gmc. witjam (cf. O.N. vit, O.S. esprit, O.Fris. esprit, O.H.G. wizzi, O.E. esprit, Dan. vid, Swed. vett, Ger. Witz), aussi .wídiom, ignorance (cf. Goths. unwiti); de wid du zéro-niveau., voyez, regardez, comme Lat. uid.re, est wistós (< * widtós, uisós en latin), vus, comme dans le wíst., visa, wísti.n, vision, wistit., visite, wíst.s, visière, adwístom, conseils, adwist., conseillez, enwídi., enviez, ekwidénts, évident, prowid., prévoyez, prowistós, prévu, .prowistós, imprévu, nprowist., improvisez, enterwid., interviewez, enwidiónts (ós), odieux, pr.iwid., previse, prowid., fournissez, prowidénts, prudent, rewid., examinez, rewist., révisez, superwist., surveillez, étude; widési suffixe., apparence, forme, idée, comme Gk. ....; wist.r suffixe (< * widtór), homme sage, savant, savant, Gk. hist.r, dans le wistorí.; .wid., Enfers, la pègre, peut-être "l'invisible", comme Gk. Haid.s/Aid.s; wóidos de l'o-niveau suffixé, connaissance, comme Skr. veda.

34. Q.l indo-européen, loin, donne q.le, loin, aux préfixes de Gk. .... - (apparenté à q.leos, Gk. ......, fin, but, résultat), et q.ai, il y a longtemps, Eng. paléo -, de q.aiós, vieux, ancien, Gk. ........ Cette base de la TARTE est mise (comme une forme allongée) peut-être en rapport avec qel, bougez autour; cf. Skr. caramah, pellaf gallois, Bert. pell.

Il est discuté si la télévision a été formée dans Eng. ou a emprunté de Fr. télévision, dans l'un et l'autre cas de Gk. tele -, "loin, au loin, à ou à une distance", et Lat. vision. D'autres propositions pour le nom de cette technologie alors-hypothétique étaient telephote (1880) et televista (1904). La technologie a été développée dans les 1920s et 30s. Emprunt-traduit dans Ger. comme Fernsehen.

La technologie anglaise vient de teks de la TARTE, tissez, aussi fabriquez, tressez, cf. O.N. þexla, O.H.G. dehsa, Lat. texte., Gk. tekt.n, Skr. tak.ati, Av. ta.aiti, O.Pers. usta.ana, Pers. ta., Lith. ta.au, Ltv. te.u, t'OCS., Russ. tesla, Ir. tál; Hitt. tak. Les dérivés communs incluent tékstos, texte, komtékstos, contexte, pr.itékstos, prétexte; téksl suffixe., tissu, prenez au filet, courbure d'une structure, aussi la poutre de tisserand (auquel les fils de la courbure sont attachés), aussi trouvée dans l'adj. suptekslís, mince, fin, précis, subtil (< * souper-téksl., "fil qui passe sous la courbure", le fil le plus fin); téks.n suffixe, tisserand, faiseur de barbillon pour les murs de maison, entrepreneur, tekst.r, entrepreneur, tékst.n, charpentier, entrepreneur, comme dans le tekstonikós, tectonique, ou arkhitékst.n, architecte (de Gk. arkhein, "commencez, règle"); téksn., art, habileté, compétence, comme Gk. tekhn., dans le teksnikós, technique, teksnologí., technologie.

Une autre TARTE commune racine verbale car le "tissage" était webh, comme dans Gmc. webanan (cf. O.N. vefa, O.E. wefan, O.H.G. weban, M.L.G., M.Du., Du. weven, Eng. tissez, Ger. weben), Gk. huph., Skr. ubhn.ti, Av. ubda.na, O.Pers. baftan, Pers. b.fad, Toch. wäp/w.p, aube. vegjë. Un mot MIE commun est wóbhiom de l'o-niveau, tissu, structure, comme Gmc. wabjan (cf. O.S. webbi, O.N. vefr, O.E. webb, O.H.G. weppi, Du. webbe, Ger. gewebe), aussi comme mot de l'emprunt anglais simplement webh, comme dans Esprit Wíralts. Webh, World Wide Web, WWW; aussi, wobh (i) o, bougez de long en large comme dans tisser, comme Gmc. wab - (cf. O.N. vafra, O.E. wafian, wæfre, M.E. waveren, M.H.G. waben, L.Ger. wabbeln); úbh de la forme du zéro-niveau suffixé., tissu, comme Gk. huph.

Proto-Indo-Europeanwi, séparément, loin, est la source pour adj. witós, large, comme Gmc. withas (cf. O.S., O.E., O.Fris. wid, O.N. viðr, Du. wijd, O.H.G. esprit, Eng. largement, Ger. weit), et aussi pour esprit (e) ros / m, contre, illuminé. "plus séparément", comme Skr. vitaram, Gmc. withros (cf. Goths. wiþra, O.S. withar, O.N. viðr, O.E. wið, O.H.G. widar, M.Du., Du. weder, Du. weer, Eng. avec, Ger. wieder). Comparez d'autres dérivés comme Skr. vi, Av. vi -, Hitt. na-wi "pas cependant", O.C.S. vutoru, "autre, seconde", comme Russ. .......

35. Les ag de la racine de la TARTE, promenade, retirent ou en avant, bougez, mettez en mouvement, donne O.N. alias, Lat. agere, actus, Osc. acum, Gk. ..., Skr. ájati, ajiráh, Av. azaiti, Toch. .k, Bras. acem, O.Ir.ad-aig, .in, O. Agit gallois; probablement Hitt. aggala -, "sillon." Pour plus sur ag, v.i.

36. Pour legh de la racine, couchez-vous, reposez-vous, a donné Gmc. ligjan (cf. Goths. ligan, O.N. liggja, O.E. licgan, O.Fris. lidzia, M.Du. ligghen, O.H.G. liggan), Lat. lectus, Gk. ...., Toch. lac / leke, Lith. à-lagai, Ltv. laga.a, O.C.S. lego, Russ. ......., Polishle.e., Gaule. legasit, O.Ir. lige, gwal gallois; Lagi Hittite.

37. Peds de la racine de la TARTE, payez, est la source pour Gmc. f.ts (cf. Goths. f.tus, O.N. f.tr, O.E. f.t, O.H.G. fuoz, Du. voet), Lat. pedis, Umb. pe.i, Gk. ....., Dor. ..., Skr. .. dám, Av. pâda -, Pers. papa, Arm.het, Toch. Pe. / paiyye, Lith. p..d., Ltv. p.da, O.C.S. ...., Russ. ......, Pol. pieszy, aube. poshtë, Osset. manie; Hitt. pata, Lyc. pede -, Luw. pati -.

38. Le klus du verbe commun (sk) o, écoutez, vient de zéro-niveau de klew de la TARTE, entendez, et il a des dérivés faire référence aussi à célébrité, mot ou haut, comme dans Gmc. khlusin.n, 'écoutez' (cf. O.E. hlysnan, O.H.G. hlosen, Eng. écoutez), khl.daz, 'bruyant' (cf. Goths. hliuþ, O.N. hljóðr, O.N. hlud, O.H.G. hlut), Lat. clu.re, Gk. ...., ..... (comme dans ......., Herakles), Skr. .ru, srnoti, c.r.váyati Av. sraota -, surunaoiti, sravayeiti, M.Pers. srod, Pers. s.r... d.n, Illyr. cleves, Toch. klyos, kl.w, Bras. lu, O.Lith. .lãv., .lov.., Lith. klausau, .lóv., Ltv. klaus.t, slava, esclave, O.C.S. slusati, slava, slovo, Russ. ....., ......, Pol. s.owo, s..w., Gaule. clu, O.Ir. clunim, clywaf gallois, aube. quhem.

Le mot slave commun les définir, O.C.S. ......., .........., a reconstruit comme une plus vieille base [kjlou -], si finalement indo-européen (cf. pour klutós, "heared, célèbre", Skr. .rutá, Av. sruta -, Gk. lytós, Lat. dans-clitus, M.Ir. rocloth, O.H.G. Hlot-hari, bras. lu), est un demonym dont en premier la référence est trouvée probablement dans Ptolémée qui a identifié des tribus a appelé Stavanoi et Soubenoi, alors traduits (6e siècle) comme M.Lat. Sclaueni / Sthlaueni, M.Gr. ......... / .......... C'est donc probablement a été en rapport avec l'un et l'autre slava, célébrité, (comme slaviane) donc "gens glorieux", ou de slovo, speach, (comme slov.ne) signifier originairement par conséquent "membre de la communauté de la parole" (cf. Nom albanais pour eux-mêmes, les shqipetár, dérivés de shqipónj, comprennent), par contraste avec les Allemand qui étaient dans O.C.S. nemici, apparenté à nemu 'bête.' Comparez avec la coutume grecque d'utiliser ........ signifier "étranger, étrange, ignorant" (les dérivés sont Lat. barb.rus, Eng. barbare) de TARTE barbar bas -, echoic de parole inintelligible, comme cela d'étrangers (cf. Skt. barbara -, bégayer, aussi "non-aryen"). Par conséquent, une reconstruction MIE adéquate pour tel terme slave est Klówenos, Slave, pour ......., et Kloweniskós, Slave, pour .........., mais. parce que la reconstruction est les emprunts traversés incertains, et modernes sont habituels., l'emprunt moderne rédige Slawénos, Slaweniskós devrait être préféré.

Pour les termes MIE communs. lequel pourrait aussi être écrit klo-au lieu avec initiale de slo - / sla, comparez: Slawénos, Slave; Slaweniskós, Slave; Slowénisk., Slovakia;Slowéni., Slovénie; Sloweniskós, Slovak;Slowenikós, Slovène; Augosláwi., Yougoslavie. Le plus tardif est un composé de MIE a reconstruit augs, du sud, fromug - (reconstruction IE adéquate de cruche slave -), faire référence originairement à un vent du sud, peut-être finalement d'aug de la racine de la TARTE, avec les dérivés qui signifient l'augmentation, agrandissez, comme déjà vu.

39. Bhesbreathe de la racine de la TARTE, soufflez, a donné Skr. bhas -, Gk. ......, et est probablement d'origine imitative. Son bhs du zéro-niveau - donne soi-disant * bhs.gh. [' (bh) su:-kha:], esprit, âme, originairement souffle, vie, "l'entité invisible derrière le corps physique", un (personnifié comme Psykhe, l'amant d'Éros) mot d'emprunt MIE (bhs.gho dans les composés) de Gk. ...., avec un unreconstructed fin grecque - kh -, probablement TARTE - gh -. À la lumière d'O.Ind. bábhasti, quelques-uns reconstruiraient plutôt un spu de la TARTE du metathesized -, d'où MIE ps.gh.

40. Préposition reconstruite habituellement et preverb * ksun, avec, ensemble, comme Gk. ..., est expliqué comme kom par Grec-psi substrat (Villar). Su slave -, donc / s, normalement comparé avec la forme grecque, pourrait dans le tour venez de sm du zéro-niveau (voyez sem, un), comme O.Ind. sa. Alors composez smw.dus, conseil, de Slave donc-vetu, est aussi formé par O.C.S. ...., conseillez, conseils (une emprunt-traduction dans Gk. ..... dans'... - .......') qui vient de weid de la racine de la TARTE sachez (voyez le Changement En accord dans § 2.8.4), aussi trouvez avec ce sens plus général de parlez, "connaissance de la part", dans Baltique, cf. O.Pruss waiti.t, Lith. vaitenù.

41.  IE gn.ti.n, nation, réserve, course, illuminé. "que qui est né", est un emprunt latin de tós du gn (.), partie passée. de gnásko, naisse, comme Lat. nati.nis, natus, gnasci (finalement de gen). Le sens politique a pris la relève progressivement de signification raciale "grand groupe de gens avec ascendance commune", et les dérivés communs incluent gn.tion.lís, national ou gn.tion.lit., nationalité, ou gn.t.iuós, natif, "inné, a produit de naissance", etc.

42. Racine de la TARTE pour petits profits du prkskóis, demandez, implorez, priez et est analogue avec Gmc. fr.khnan (cf. Goths. fraíhnan, O.N. fregna, O.E. frignan, O.H.G. fr.ga), Lat. prex, Osc. aparsam, Umb. pepurkurent, Skr. prac.nás, pr., Av. fr.sa, Toch. prak / petits profits, Bras. h.rc..n .m, Lith. .r ...., Ltv. .r .su, O.C.S. ......., Russ. ........, Pol. prosi., archaf gallois, Ir. arco, M.Bret. archas. Les dérivés MIE communs incluent des petits profits, prière, comme Lat. prex, et petits profits du verbe., implorez, priez, comme Lat. prec.ri, dans prek.siós, précaire (un mot IE plus pur est dúsopis, cf. O.Ir. domme 'pauvre' < * dus-op-smjo, Lat. inops, O.Ind. dur.pah'hard obtenir', etc), deprek., désapprouvez, enprek., maudisez; de prkskó est étendu stol de rs (k) p (o)., demandez, demandez, postulez, comme Lat. postul.re.

43. Mots indo-européens modernes pour "maison":

A.    Les dérivés d'une TARTE originale enracinent dem - est d.mos / démos, logez, 'refuge', est Lat. domus, Umb. dâmoa, Gk. ....., ..... (deme), O.Ind. dámas, Av. d.m, Toch. tam / täm, Bras. tun, Lith. namas, Ltv. nams, O.C.S. ...., Rus. ..., Pol. dom, t gallois. Aussi commun pour seigneur, 'maison-maître', est dóm.nos, cf. Skr. dám.nas, Lat. dominus (voyez l'ablaut latin). D'IEd.mn est Gk. ...., dôme. Probablement de même racine est démonstration basse, construisez, démrom donnant, bois de construction, Gmc. temran (cf. Goths. timrjan, O.N. timbr, O.E. boisez, O.Fris. boisez, O.H.G. zimbar, Ger. Zimmer); aussi demrio du verbe, construction, Gmc. timrian (construction, cf. O.E. timbran, Du. timmeren, Ger. zimmern) et compare aussi Gmc. tumfetìz, (Eng. toft, d'O.N. topt), Gk. ......., Lith. dimstis.

B.    Pour 'house'in langues allemandes MIE reconstruit un kúsom commun, habitation, refuge, de Gmc. khusam (cf. Goths. -hus, O.N., O.E., O.Fris. hus, Du. huis, Ger. Haus), probablement a été en rapport avec kéu de la racine de la TARTE, couvrez, dissimulez. Comparez dans le kéudh (i) o, cachez, dissimulez, Gmc. kluthjanan (O.E. hyde), Gk. ....., et d'autres dérivés comme kéudhis, couvrir, Gmc. khudiz (cf. O.N. huð, O.E. hyd, O.Fris. hed, M.Du. huut, Ger. Haut), skéuiom, nuage, cloudcover, comme Gmc. skeujam (cf. Goths. skuggwa, O.N. scy, skuggi, O.E. sceo, scua, O.S. scio, O.H.G. scuwo, sc.r, O.Ice. sk.li, skj.l, M.H.G. hode, Ger. Scheuer), Lat. derme, scutum, ob-scurus, Gk. ....., Skr. kostha, skunati, Bras. cim, Lith. k.valas, Ltv. skura, Rus. kishka, O.Ir. c.l, cuddio gallois.

C.    Kat de la racine de la TARTE, hutte, abri est probablement la source de kas roman. (donc plus vieux káti de la TARTE.) comme dans Gmc. kha - (cf. O.E. heaðor), Lat. catena, cassis, castrum, Av. kata -, Pers. kad, O.C.S. kotici, kotú, O.IR. cathir, cader gallois. Les significations guerrières différentes trouvées sont expliquées par confusion avec une racine de la TARTE semblable, kats, troupe, bataille, cf. O.N. hoð, O.E. heaþu, O.H.G. hathu, Skr. .. tayati, Toch. /keta, O.C.S. kotora, Gaul.catu, O.Ir. cath, mufle gallois.

Comparez aussi d'autres travaux, Swe. kåta, Ni. kota / kote / kåte (probablement a emprunté de kota Uralic, comme koti finlandais, Est. kodu, Pendu. ház), et aussi Skr. c.tv.la, Av. .. iti, Toch B kotai -, katua de l'aube, aussi bien que d'autres mots inexpliqués comme Bul. ...., Srb.-Cro. ku.a, hi.a slovène, toute la hutte de la signification, abri, maison ou trou, prison, quelques-uns ont reconstruit comme dérivé de ket de la racine de la TARTE, noyau du stockage (Mallory-Adams).

D. Le vieux grec ..... (oíkos), logez, vient de wóikos IE qui a aussi donné Gk. ....., logez, et Gk. ......., demeurer, administration, et Gk. ......., habitant; dans MIE, il a des emprunt-traductions universelles comme woikonomí., économie, originairement "ménage, gestion", de woikonómos, econome, "directeur, économe", woikologí., écologie, woikos.ménos, monde, monde habité (dans woikoh.meno proto-grec - > Att. Gk. ......... [..], a "habité [terre]"). C'est la forme de l'o-niveau de wéikos, village, habitation, "groupe de maisons", (cf. Lat. u.cus, Skr. vesa.), comme dans le wéikinos, voisin, weikínit., voisinage, ou mot de l'emprunt w.ll. (de Lui. villa, maison de pays, villa, ferme, de Lat. villa, dans le tour de wéiksl de la TARTE.). Le nom est dérivé de weiks de la racine de la TARTE, clan, village, "unité sociale au-dessus du ménage"; comparez des Goths, O.H.G. weihs, O.E. wic, Skr. vi., Av. v.s, O.Pers. vitham, Toch. .ke, Lith. vie.as (cf. aussi O.Pruss. waispattin, Lith. vie.pats, weikspóts MIE, "clan-maître", propriétaire, un équivalent composé à dems-póts, "maison-maître", propriétaire, et semblable à ghos-póts, "invité-maître", hôte), Ltv. viesis, OCS v.s., Russ. ves', Pol. wie., aube. vis.

MIE suffixent - nomí., - les nómos viennent de nómos IE, coutume, loi, usage, méthode, Gk. ....., dans le tour de TARTE nem bas, distribuez, distribuez, divisez, dirigez; cf. Gmc. niman (cf. Goths. niman, O.N. nema, O.E. naemel, numol, O.H.G. nëman, Eng. engourdissez, nim, Ger. nehmen), Gk. ......, Av. n.mah, Toch. ñemek, Lith. nuomas, Ltv. noma, Russ. nemoj, O.Ir. nem. D'autres dérivés connus incluent nómesos, nombre, division, comme Lat. numerus, nomes.lís, chiffre, etc. nóm., pâturage, paître, d'où "un déploiement, un ulcère qui s'étend", noma de lequel le nómads est dérivé (Lat. nomas); aussi, nomismátis, Lat. numismatis, dans le nomismátik., numismatique, de nómismn, pièce courante, coutume (d'O.Gk. ......., illuminé. ce qui a été sanctionné par coutume ou usage"), de nomiso de verbe IE, l'usage, utiliser habituellement, pratique tenir ou posséder comme une coutume, être utilisé à une chose" (comme Gk. ......, dans le tour de .....). Aussi, Németis, Gk. déesse de vengeance, de Gk. ......., "indignation, jalousie, que la vengeance" a allumé. "distribution, partition."

E. Pour ghar Indo-aryen, comparez un comon IE enracinent ghers, cour, jardin.

44. Pour TARTE pótis bas, puissant, capable, capable; aussi seigneur, maîtrisez, comparez poto, "soyez capable", (de Lat. potere) de qui poténts (Lat. pres.p. potens) et poténti.; cf. aussi Gk. posis, Skt. patih, Lith. patis. Aussi trouvez dans posso des composés, soyez capable, (Lat. détachement, de [ti] s, capable, et [e] s, soyez), comme dans le possibhilís, possible, "cela peut être fait", et possed., possédez (de Lat. possid.re, de po [ti] s, "comme maître", et séd., asseyez-vous) qui donne possésti.n (< * possedtion), possession, formes qui sont exprimées correctement par pot.io, comme O.Lat. pot., un verbe habituel dans moderne roman à travers un V.Lat. potere (cf. Fr. pouvoir, Ita. potere, Pt., Station thermale. poder, Rom. putere, etc.).

Pour es de la TARTE (plus vieux * h1es), soyez, comparez des Goths. ist, O.N. es, O.E. est, O.H.G. ist, Lat. est, Osc. súm, Umb. envoyé, Gk. esti, Skr. asti, Av. asti, O.Pers. astiy, Toch. .e / .ei, Bras. ., O.Pruss. asmai, Lith. esmi, Ltv. esmu, O.C.S. plaisanterie., Russ. ...., Plaisanterie polonaise, O.Ir. est, aube. është / âsht; Hitt. asa, Lyc. es, Luw. comme, Lyd. e -, Palaic. Son origine est tracée par quelques linguistes à une prononciation dialectique d'eg -, "je", dans quelque dialecte Satem tôt (influencial); comparez O.Ind. ásmi, "je suis" (< és-mi de la TARTE, d'IE II * eg?'->*es, cf. Skr. áham, "je", d'eghóm), ou Lat. additionnez, "je suis" (d'esóm de la TARTE, cf. Ven. ehom, "je", d'eghóm). La telle explication de Pokorny est dehors-datée peut-être aujourd'hui à la lumière des plus nouvelles conclusions sur le palatovelars soi-disant, v.s.

a.    Un Indo-Euroepan adéquat rédige la signification "devez" était áik du verbe de la TARTE, soyez maître de, possédez, et áikos, maître, propriétaire; comme Gmc. aiganan (cf. Goths. aigan, O.Fris. aga, O.N. eiga, O.E. .gan, O.H.G. eigan, Eng. devez), Skr. ... e, i.ah, Avestan.. ti, i.van.

Un IE semblable enracine forme áiks, en signifiant la lance, pique; comparez O.N. eigin, Lat. .c., Gk. ......, Av.i.ar., O. Pruss. aysmis, Lith. ie.mas, Ltv. iesms, O.C.S. igla, Russ. ...., Pol. ig.a.

b. Pour sed de la TARTE, asseyez-vous, comparez sedio des dérivés, Gmc. sitjan (cf. Goths. sitan, O.S. sittian, O.N. sitja, O.E. sittan, O.Fris. sitta, M.Du. sitten, O.H.G. sizzan, sezzal); sédlos / sédl., siège, place, comme Gmc. setlaz (cf. Goths. sitls, M.L.G., M.Du. setel, O.E. setl, Du. zetel, Ger. Sessel), Lat. sella, O.C.S. sedlo, O.E. sadol; sed du stative suffixe., asseyez-vous, comme Lat. sed.re, avec p.part. sestós (< * sedtós), s'est assis, sedentasiós donnant, sédentaire, sésti.n, session, sédikom, siège, (de L.Lat. sedicum, bien qu'assiège de Lat. est situ., peut-être de tkei IE), dissed., soyez en désaccord, dissedénts, dissident, adsed., asist, répartissez, aidez, adseduós, assidu, pr.isedo, présidez, resedo, résidez, supsédiom, prime (mais supsisdo, v.i.); Grec .... est sedr IE., présidez, trône, visage d'un géométrique solide, d'où komsedrós des traductions de l'emprunt, s'asseoir dans le conseil, komsédriom, conseil (de qui Hebrewsanhedr.n, de Gk. .........), eksedr., exedra, kátsedr., siège épiscopal, katsedr.lis, cathédrale, évêque voyez, qetrasédrom, tétraèdre; Aussi, de s.d.s latin, voyez, asseyez-vous, résidence, s.d., mettez sous sédation, résolvez, calmdown; préfixé et pisedio suffixe, asseyez-vous sur (pi, d'epi); cf. aussi Umb. sersitu, Gk. ......, Skr. triste, Av. ni.aðayeiti, O.Pers. niya.ayadan, Pers. ne.astan, Toch. sätk, Bras. nstil, O.Pruss. s.dons, Lith. s.d.ti, s.d.iu, s.sti, s.du Ltv. s.d.t, s.du, Slave. s.d.ti, s.di. (O.C.S. ......, ....., Russ. ......., ..... Pol. siedzie.), s.sti, s.d. (cf. O.C.S. ....., ...., O.Russ. ....., ...., Pol. si..., si.d.), Gaule. essedum, O.Ir. saidim, seddu gallois, Ir. suidh.

45. Pour gherwith de la TARTE le sens de joindre, comparez Gmc. gardaz (cf. Goths. gards, O.N. garðr, O.E. geard, O.Fris. garda, Du. gaard, O.H.G. gart), aussi hortus Lat, cohors, Osc. herííad, Gk. ......, Skr.g.há, Phrygian - gordum, Lith. .ardas, Ltv. z.rds, Gaule. gorto, O.Ir. gort, garth gallois, Bert. garz, aube. garth -; Hitt. gurtas. Les termes du Balto-Slave ont été en rapport avec cette racine et commencer avec [g]. comme Lith. gardas, O.C.S. gradu, Rus. gorod, - grad, etc. . est propres développements n'affectés pas par satemization, quelquefois expliqué comme emprunts de Gmc.

46. IE ghr.dhus, ayez faim, donne Gmc. gr.duz (cf. Goths. gredus, O.E. grædum, analogue avec Skt.grdh, Gk. -gyros) et adjectif ghr.dhighós, affamé, comme Gmc. gr.digaz (cf. O.S. gradag, O.N. graðr, O.Eng. graedig, Eng. avide). De la même TARTE la racine est gh.t., préconisez sur, encouragez (de Lat. hort.r., eksgh.t donnant., exhortez), gh.is, grâce, faveur (de Gk. ..... qui donne ghrísm., charism, ou (A) sughristí., Eucharistie), ghr., c'est nécessaire (de Gk. ... qui donne ghr.stós, utile, et ghr.stom.dhia, chrestomathy). Avec le. peut-être plus vieux. sens d'intestins, comparez Gmc. gernjan (O.N. gorn, O.Eng. gearn, O.H.G. garn, Eng. fil), O.E. gorst, Lat. hernie, horr.o, Gk. ....., ......, Skr. hirah, har.ate, Av. zar.ayamna, Bras. dzar, Lith. .arna, Ltv. zarna, Russ. ..., O.Ir. vêtez, Welshgarw, aube. derr; Hitt. carat.

47. Cei de la racine de la TARTE (w), vivez, plus vieux * gweih3, avec metathesized cjo différent - (plus vieux * gwjeh3, coloured à * gwjoh3) donne c.wós à zéro-niveau des dérivés, en vivant, vivant, comme Gmc. waz du kwi (k) (cf. Goths. quis, O.N. kvikr, O.E. cwicu, O.Fris. quik, O.H.G. quec, Ger. keck, Eng. rapide), Lat. u.us; verbe c.wo, vivez, comme Lat. u.uere; c.woparós, vivipare, vivant, vivant, comme Lat. vivip.rus, et a raccourci c. (wo) pár., vipère, "porter vivant jeune", de Lat. vip.ra (les deux de parós IE, v.s.) et plus loin a suffixé la forme c. (wo) t., vie, Lat. vita, dans c. (wo) t.lís, vital. Comparez aussi O.E. cwifer, Lat. u.u., Osc. bivus, Gk. ......, Skr. .. vaiti, Av. ga.th., ji.a.sa, O.Pers. gaith., Pers. z.stan, Toch. .o / .ai, Bras. keam, O.Pruss. giw., giw.ntei, Lith. gýti, gyventi, Ltv. dz.vs, dz.t, O.C.S. ...., ...., Russ. ...., ....., .y polonais., .yj., Gaule.Bitur.ges, O.Ir. bethu, byd gallois.

Pour un autre adjectif de la TARTE commun qui signifie "vif", comparez bher.s, comme Lith. bruzdu, O.C.S. br.z., Russ. borzoj, Pol. bardzo, Gaule. brys, Ir. soutiens-gorge, et peut-être Lat. fest.n. (mais cf. dhes).

48. Ser de la racine de la TARTE - donne sér.s, "gardien", heroe, Gk. ...., et serw bas verbal général, gardez, protégez, dans le sérw., restez, conservez, Lat. seru.re, sérwio, service, comme Lat. seru.re, et sérwos, esclave, domestique, Lat. seruus (les formes ont aussi trouvé dans d'autres dialectes Italiques, cf. Osc. serevkid, 'protection', ooserclom, emprunts considérés habituellement d'Étrusque); cf. aussi O.Ind. Av. haraiti, (pasu.) haurv., "gardez", Gmc. sarwia, Bal. serg -, Sla. stergt.

49. Pour se reporter à une personne, équipez, la TARTE avait l'homme de la racine, étendu comme mánus Indo-iranien, mánuos allemand et os du móng (i) de l'o-niveau du Balto-Slave. Comparez Gmc manwaz / mannaz (cf. Goths. manne, O.N. maðr, O.E. mann, O.S., O.H.G. équipez, Ger. Mann), Skr. manu., Av. manu -, Pers. mærd, Kurde. mêr, Lith. .mogus, O.C.S. m..., Russ. ..., M polonais., Kamviri mân.a. Comparez aussi avec Ger. Mensch, Du. mens, Ni.,Da. menneske, Swe. människa, Glace. manneskja, de Gmc. manniskaz, mánuiskos IE, personne, humain (cf. Manush Romany, de Skr. manu.). Un emprunt européen commun est mbhudhománu (o) s, de composé. (bhi) + bhúdhom (de Gmc. budam, O.N. bodh, "commandez") + mánuos, médiateur (avec l'exception de quelques-uns régionalement a traduit des termes, comme Fr. médiateur, Station thermale. village du del du defensor, etc).

Quelques-uns nomme pour 'allemand', 'Allemagne', (Fr. allemand, Station thermale. alemán, Pt. alemão, Cat.alemany, Celtique, comme Almaeneg gallois, Bert. Alaman, Indo-iranien, comme Pers. almani, Kurde. elman; et même non-IE, comme Alman turc, almanya arabe, Azeri Alman, alemanera basque, le Guarani Alemaniagua, alema Malagasi, alaman Khmer, TagalogAleman), dans le tour un mot de l'emprunt du nom tribal qui l'Alamanniused avoisinant pour eux-mêmes. Le terme vient de Gmc. composé Ala-manniz, la TARTE a reconstruit Alománuis, avec premier mot d'al de la racine de la TARTE -, signifier originairement par conséquent illuminé. "tous les hommes."

L'al de la TARTE, tout, est certifié dans allemand et celtique. Les dérivés allemands incluent alnós, tout, comme Gmc. allaz (cf. Goths. alls, O.N. allr, O.E. tout, eall, eal -, O.Fris., O.H.G. al), et alo - dans les composés.

50. Neu de la tige de la TARTE - (cf. Skr. snavan -, Bras. neard) est une extension de (s) n., filez, cousez. Il donne n.tl aux dérivés., aiguille, (avec suffixe instrumental - tlo -) comme Gmc. n.thl. (Goths. n.þla, O.S. nathla, O.N. nál, O.E. n.ðlæ, O.Fris. nedle, O.H.G. n.dala), morve., snood, comme Gmc. sn.d., ou n.mn, fil, comme Gk. ..... Comparez aussi Lat. ne., Gk. ...., ...., Skr. sn.jati, Ltv. sn.te, O.C.S. niti, Russ. ...., O.Ir. snáthat, nyddu gallois, nodwydd.

51.  Pour dérivés de racine de la TARTE st.i, la peau, pierre, épaissit aussi, raidissez, comparez stóinos, pierre, Gmc. stainaz (cf. Goths. taches, O.N. steinn, O.E. stan, O.H.G., Dan. steen, Ger. Chope), et st.jr, graisse solide, de Gk. .....; comparez aussi Gk. stia, stion, Skr. stjajat, Av. staj, O.C.S. stena.

52. Racine de la TARTE p.r /p.wr, le feu, feu de joie, est dérivé probablement d'un plus vieux * peh2wr. (cf. Hitt. pa..ur) et a un p.nós Génitif irrégulier. Comparez des Goths. f.n, Gk. ..., Osc. purasiai, Umb. pir, Skr. pu, Toch. por/puw.r, Bras. hur, O. Pruss. panno, perz polonais, Cz. . La forme suffixe p..ris, tirez, a donné Gmc. f.ris (cf. O.N. fúrr, O.E. f.r, O.Fris. fiur, M.Du. vuur, O.H.G. fiur).

53. Rôle principal de permeans IE, passez, comme dans l'adj. perwntós, branlant, pérwntos du nom, montagne, comme Skr. parvata.; coquin., falaise, pierre (peut-être "soubassement" précédent, "quel on vient à travers à"), comme Lat. petra, Gk. ..... (les deux dissimilated comme * pétr. qui moyens 'plume' dans MIE, v.i., pértus, place pour traversée sur, traversez à gué comme Gmc. ferthuz (cf. O.N.fjörðr, Eng. estuaire) ou peritós, expérimenté (de Lat. peritus). D'autres dérivés incluent poro de l'o-niveau, voyage, voyage, comme Gmc.faranan (cf. Goths. faran, O.E. fara, Ger. fahren, Eng. prix du billet); póros, voyage, passage, chemin, comme Gk. .....; pór. /pór.om, plume, comme Gmc. farn. (cf. O.E. fearn, M.Du. varn, Ger. Farn, Eng. fougère), Skr. parn.am.; aussi, p.rio, rôle principal, mènent à travers, apportez à sécurité, comme Gmc. f.rjan (cf. O.E. gefera, O.H.G. fuoren, M.E. fere, Ger. führen). Avec zéro-niveau, les mots IE communs sont prtús, départ, entrée, passage, gué moderne, port, port, comme Gmc. furthuz (cf. O.Fris. forda, O.E. traversez à gué, O.H.G. furt, Ger. Furt), Lat. portus, rit O.Welsh, rhyd gallois; et prt., signifier la "porte" comme fem. nom et "porte" comme un verbe, comme dans Lat. porta et port.rerespectively.

Le nom Portugal est MIE Prtukál., Port de "Chou", comme Lat. Portucale, avec le deuxième terme d'origine incertaine, bien que quelques-uns le mettent en rapport avec sources de la TARTE apparenté à Lat. Gallus, "gaulois", Lat. cal.dus, "chauffez", ou Lat. calx, "lime."

54. Anglais rédigent "vrai" vient d'O.E. triewe (W.Saxon), treowe (Mercian), fidèle, digne de confiance, de Gmc. treuwjaz (cf. Goths. triggws O.N. tryggr, O.Fris. triuwi, Du. getrouw, O.H.G. gatriuwu, Ger. treu), finalement d'adj. drewiós, apparenté à dréwom, arbre, chêne, bois, Gmc. trewan (cf. Goths. triu, O.N. tré, O.S. trio, O.E. tr.ow, O.Fris. tre), les deux alors formes alternatives de deru -, dórus donnant (Gen. derwós), arbre, chêne, figue. rendez ferme, fort, comme dans Lith. drútas, drud gallois, O.Ir. dron. Comparez d'autres dérivés IE de deru -, aussi a tiré -: Lat. durus, Gk. ...., ...., Skr. dru, dáru, Av. d.uru, O.Pers. duruva, Pers. deraxt, Toch. ou, Bras. tramway, ca., O. Pruss. drawine, Lith. derva, Ltv. dreve, O.C.S. ....., O.Rus. ....., Rus. ......, Pol. drwa, Gaule. Dervus, O.Ir. daur, derb, derwen gallois, aube. drusk, dru / drû, Kam. dâa; Hitt. ta-ru, Luw. tarweja -, et aussi A.Mac. darullos.

55. Pour IE enracinez leu, défaites, divisez, coupez séparément, comparez léuw., Gmc.laww. (Swe. lagg, Eng. restez en arrière). Pour les formes du zéro-niveau, comparez lwo, défaites, publiez, défaites, de Gk. ....., lú.s, fléau, peste (< "dissolution, putréfaction"), de Lat. lu.s, et aussi selwo, défaites, défaites, comme Lat. e-lwo du soluere (de TARTE s (w) -).

56. Bélis de la TARTE, le pouvoir, force, donne O.H.G. copain, O.Fris. affadissez-vous, Lat. þ.-b.lis, Gk. ......., Skr. bál.y.n, báli..has, bálam, Phryg.balaios, O.Ir. adbal, M.Ir. bolg, balch gallois, bâlim Kamviri. O.C.S. ......, ......., ...., Russ. ........, Ukr. ......., Bulg. ......

57. Le père indo-européen, pat.r, est peut-être un composé précédent formé par bébé-parlez le papa même (comparez le bébé moderne rédige dans votre langue qui commence withp+vowel) à son, probablement plus tôt * ph2 -, et IE suffixe commun pour les parents - ter, un modèle a suivi dans la "mère" et d'autres membres de la famille, aussi. Il a évolué comme Gmc. fader (cf. Goths. fadar, O.N. faðir, O.E. fæder, O.H.G. fater), Lat. pater, Osc. patír, Umb. pater, Gk. ....., Skr. pitár -, Av. pitar -, O.Pers. noyau., Pers. pedar, Toch. p.car /p.cer, Bras. cheveux, Gaule. .tir, O.Ir. athir, gwaladr gallois, Kashmiri pet..r, Osset. fyd.

58. Bhátis indo-européen, l'apparence, phase, donne grec ..... (phasis). Il est dérivé de bhanio, "apportez pour allumer", causez pour paraître, montrez, comme Gk. ....... (phainein), de TARTE bh bas., éclat. Il donne aussi bhantós des dérivés, visible, bhántom, fantôme, bhantasí., rêve, énbhatis, accentuation, enbhatikós, énergique, epibhánia, epiphany, bhaniómenom, événement, circonstance, aussi phénomène, de Lat. phaenom.non, dans le tour de Gk. .........., etc.

59. Pour ana de la TARTE, respirez, soufflez, esprit, comparez des Goths. uzanan, andi, O.N. anda, önd O.E. eðian, .þian, Lat. animus, Osc. anamum, Gk. anemos, Skr. .nas, aniti, Av.åntya, Toch. .ñcäm / .ñme, Bras. anjn, hov, Lith. anuoti, O.C.S. vonja, Russ. von', O.Ir. anál, animm, anysbryd gallois, anadl, aube. ajë / âj.

60. La reconstruction de mots communs pour chaque jour dans une semaine du sept-jour est presque impossible, si pas à travers l'adoption de nombres, d'un à sept, comme qu'usagé par l'Église catholique (Lat. Feriae, usagé en portugais, voyez dh.s), Arménie, Grèce, Iran, aussi bien qu'en arabe, Géorgien et l'hébreu. Cependant, là paraît être un vieux (païen) modèle commun, suivi en grec (et en partie en sanskrit), et a emprunt-traduit de lui en latin et de ceci dans allemand.

TARTE dh.s (peut-être une extension de dh., ensemble) est la base reconstruite pour mots appliqués à plusieurs concepts religieux, comme dhesós du zéro-niveau, dieu, Gk. ...., dans l'apodhesótis, apothéose, .dhesós, athée, .dhesísmos, athéisme, endhesosiasmós, enthousiasme (Gk. ............), pántdhesiom, panthéon, Gk. ........; plein-niveau dh.si.s, fêtes, Lat. f.riae, (O.Lat. f.siae), dh.stos, de fête, Lat. f.stus, dans dh.st.iuós, de fête, dh.st.iu.lis, festival; aussi, dhásnom du zéro-niveau, temple, comme Lat. f.num, dans le dhasnatikós, fanatique, prodhasnós, profane.

NOTE. En latin, le s avant m, n, l, disparaît, et les spectacles vocaliques précédents un allongement compensateur; cf. Duenos: cosmis > c.mis; Columna Rostrata - resmom > r.mum; fasnom > f.num, * hab.sna > hab.na, * cat.sna > cat.na; cand.sla > cand.la, * quais.sla > quer.la. , etc.

Pour TARTE "fête", un wes de la racine verbal plus commun a été utilisé, cf. Goths. wisan, SUR vist, O.E. wesan, O.H.G. wist, Lat. vescor, Skr. anuv.vase, Av. vastra, Lith. .vest, Pol. wesele, O.Ir. fíach, gwest gallois, Hitt. we.i.

A.    Le mot pour "jour" dans (par opposition à "nuit") Indo-européen vient habituellement d'un dínom commun, originairement "lumière du jour", dérivé de diw de la racine de la TARTE -, brillez, et il est encore trouvé dans Eng. prêté, de Gmc. langa-tinaz composé, (probablement allumé. plus "longue lumière du jour", cf. Goths. sint.ns, O.S. lentin, O.E. lencten, M.Du. de carême, O.H.G. lenzo); comparez aussi Lat. n.n-dinae (aussi di.s général, comme dans Eng. diurne, de base * djeu -), Skr. dinam, O.Pruss. deinan, Lith. diena, Ltv. diena, O.C.S. ...., Russ. ...., Pol. dzie., O.Ir. denus, día, dydd gallois, Alb.gdhin.

B.    Allemand 'day'comes de vieil agh de la TARTE -, jour, plus vieux * h2egh, considéré comme une durée de temps, d'où "24 heures", cf. Skr. ahar, d'IE ágh.r, Av. azan, d'IE ágh.n, et Gmc. dagaz, reconstruit comme aghos MIE (dh), avec premier dh - d'origine incertaine, bien que quelques-uns le mettent en rapport avec dhech de la racine de la TARTE, brûlez (lequel a donné des dérivés avec le sens de "saison chaude", "été", donc peut-être a mélangé avec - agh - dans allemand signifier "partie chaude du jour", lumière du jour); cf.  Lat. fov.re, Gk. -......, Skr. dahati, dah, Av. da.aiti, Pers. d., Toch. tsäk / tsäk, O. Pruss. dagis, Lith. dagas, degti, Ltv. degt, OCS .e .ti, Russ. s.igat', .gu .ij, .g polonais., Ir. daig, aube. djek.

Voici une brève explication d'emprunt-traductions possibles des noms de semaine jours dans Indo-européen Moderne dans trois calendriers différents, Païen (comme grec, romain et allemand, aussi bien que Sanskrit note, les derniers ont suivi dans timekeeping indien, i.e., hindi moderne, Telugu, Gujarati, Bengali et Tamoul égal et Malayalam, qui commence dans lundi), International (commencer dans lundi, semblable au slave traditionnel) et chrétien (inclure Dh.si.s, fêtes, d'Ecc.Lat. Feriae, voyez dh.s), viz:

JE. Lundi devrait être Mntós (déinos)", de (jour) la lune." Comparez Gmc. Monan-dagaz, L.L. Lunæ meurt, Gk. ..... ......., et Skr. Soma v.sara (Beng. Shombar). Aussi, 'neutre' Prwóm (déinom), "En premier (jour)", et Seqondh chrétien. (Dh.si.), "seconde (Fête)", i.e. "Fête dimanche suivant."

Seq de la TARTE, suivez, donne Gmc aux dérivés. sekw - (cf. ONseggr, O.E. secg, O.H.G. beinsegga), Lat. sequor, Gk. hepomai, Skr. sacate, Av. ha.ait., O.Pers. ha., Toch. säk /, Lith. sekti, Ltv. sekt, Ir. sech hep gallois. Les mots MIE modernes communs incluent séqt des dérivés latin., secte, séqel., suite, seqénti., classez, komseqénts, conséquent, ekseqo, portez dehors, accomplissez, les ekseqotós, accompli, ont porté dehors, ekseqot., exécutez, obhséqiom, présent, obhseqiós, obséquieux, perseqio, persécutez, proseqio, poursuivez, supseqio, followimmediatly, supseqénts, subséquent; seqest.r, "partisan", médiateur, dépositaire, seqestr., kidnappez, séqestrom, sequestrum, kidnapper; seqós, suivre, le long de, le long de, comme dans ekstr.nseqós, d'à l'extérieur de, extrinsèque, entr.nseqós, d'à l'intérieur de, intrinsèque; séqnom, en identifiant la marque, signez (de "niveau qu'on suit"), Lat. signum, aussi séqn., signez, adseqn., assignez, komseqn., consignez, deseqn., désignez, concevez, reseqn., revenez, donnez en arrière; sóqios suffixe, allié, compagnon ("partisan"), dans le soqiabhilís, sociable, soqi.lís, social, sóqiet., société, soqio -, socio -, adsoqi., associez, komsoqi., consociate, dissoqi., dissociez-vous.

II. Tuesdayis Eiserós (déinos)", de (jour) la colère", comme c'est le jour des dieux de guerre; cf. Gmc. Tiwaz-dagaz, (althoug Tiw, de deiw de la TARTE -, donc, est été en rapport en fait étymologiquement avec Gk. Zeus et Lat. Iove, v.i.), emprunt-traduit de L.L. Martis meurt, ..... ....., "jour d'Ares", et compare aussi Skr.Mangala v.sara (Beng. Monggolbar), a identifié avec Karttikeya, le dieu de guerre. Comparez pour eis de la TARTE, en dénotant peut-être originairement la "passion, vigueur", d'où 'colère, courroux': cf. Lat. .ra, Gk. ......., ....., ...., Skr. isirah, Av. a..ma (comme dans Asmodeus, v.i.). Le "fer" anglais vient de Gmc. .sarnan (cf. O.S. isarn, O.N. isarn, O.E. isærn, M.Du. iser, O.H.G. isarn), a emprunté d'isarnon celtique (cf. O.Ir. iarn, haiarn gallois), d'ájos IE (gen. ájesos, ajos de la racine de la TARTE -, plus vieux h2ei.os), originairement métal ("matière vigoureuse", puissante); comparez aussi Gmc. ajiz, (cf. Goths. aiz, O.N. eir, O.E. .r, O.H.G. .r, ehern), Lat. aes, Umb. ahesnes, Skr. aya., Av. aya.h, Pers. .han, Gaule. Isarnodori, O.Ir. iarn, haearn gallois. Aussi, Alteróm (déinom) ou Chrétien Triti. (Dh.si.).

III. Wednesdaycomes de Gmc nord. Wodenaz-dagaz, "jour d'Odin" (cf. O.N. .ðinsdagr, O.S. odensdag, O.E. Nesdæg W.d (e), O.Fris. w.nsdei, M.Du. Wudensdach; mais, d'origine incertaine, comparez O.Fris. w.rendei, Du. wonseldach, Vers le sud. Ger. guotentag, et Eng égal. Mercredi et Du. waansdei, aussi bien que Ger Bas. et Du. cadran. avec g initial -), a emprunt-traduit originairement de L.L. meurt Mercurii, "jour de Mercure", dans le tour de Gk. ..... ....., "jour de Hermès", Lat. Mercurius (de merk -, racine étrusque pour plusieurs aspects économiques, comme dans mérk.tos, marché ou merk., affaire) et Gk. ....., (aussi d'origine inconnue, avec quelques-uns le raconter à ...., un pilier carré) les deux équivalent à Skr. Budha v.sara (Beng. Budhbar), "jour de Budha", le nom du Mercure de planète, un fils de Chandra, la lune, dans mythologie hindoue, mais les trois sont sans rapport au concept nordique d'Odin, le "ciel-dieu", équivalent à Lat. Jupiter ou Gk. Zeus.

III.A. Terme Indo-aryen que Budha (et aussi Bouddha) vient de budho du verbe du zéro-niveau d'IE, O.Ind. bodhati, budhjate, que les budhanta, "veillée, observent, percevez, éclairez", et búdhis du nom, intelligence, raison, de Skr. bodhih, et * les budhtós (bustós MIE) éveillent, a éclairé, de Skr. buddha., tout de bhéudh du verbe de la racine de la TARTE, veillée, levez-vous, soyez informé, et aussi faites informé; comparez aussi Gmc. biudanan (cf. Goths. anabiudan, O.N. bjóða, O.E. b.odan, O.H.G. biotan), Lat. fidere, foedus, Gk. peithein, pistis, Av. buidjeiti, Pers. b.d.r-.udan, O.Pruss. bourgeon., Lith. budinti, Ltv. bud.t, O.C.S.beda, bljudo, Russ. ....., Pol. budzi., O.Ir. buide, bodd gallois, bidi Kamviri. Dû à la signification commune d'anounce, d'où message, messager, héraut, un concept apparenté en sanskrit et sources allemandes (exactement le rôle de Mercurius emprunt-traduit et Hermès), une bonne possibilité pour mercredi dans une semaine païenne serait Budhonós (déinos), "messager / message, búdh.n (jour), le message, messager, présage, comme dans Gmc. bud.n (cf. O.N. boð, O.E. boda, bodian, O.S. gibod, O.H.G. gibot).

III.B. Le nouveau, modèle du non-païen (cf. M.H.G. mittewoche, M.L.G. middeweke, Du.dial. Midswiek, Fris. metswik, Norw. cadran. mækedag, À la mode.H.G. cadran. Mittag, Eng.dial. Mi-semaine, et aussi Glace sans rapport. þriðjudagur, "troisième-jour"), a influencé par Gothique, a été adopté probablement de Gk. ou Lat. missionnaires, éviter la vieille semaine païenne, et est aussi trouvé dans Slave. et hongrois. sr.da, illuminé. "milieu" (cf. O.C.S. sr.da, Rus. sreda, Pol. sroda), a emprunt-traduit de Lat. hebdomas médiatique, il un mot de l'emprunt de Gk. ........, de ......., sept, de séptm de la TARTE (- > Gk. 'hebdom', sept, "période de sept jours ou années") qui a été traduit dans L.Lat. comme septim.na, de Lat. septem; comparez aussi des mots pour "semaine" dans Srb. ......., Cro. sedmica, Bulg. ......., Bert. sizhun, Lith. savait., manche de l'hindi., Pendu. hét (d'une source iranienne, cf. Poids kurde, "sept"). Alors, Medhj. (Séptm.), "mi-semaine", aussi bien que 'neutre' Tritióm (déinom) ou Chrétien Qetwrt. (Dh.si.).

D'autres termes indo-européens pour périodes communes de jours:

III.B.1. De wíkomcomes IE Eng. semaine, Gmc. wikon (cf. Goths. wikon, O.N. vika, O.E. wice / wican, O.Fris. wike, M.Du. weke, O.H.G. wecha, Glace. vika, même viikko finlandais), originairement "une rotation" ou "succession", de TARTE weik / weig, coude, vent; cf. Gmc. wik - (ex. Eng. osier), waikwaz (Eng. faible), Lat. uix, uicia, Skt. visti.

III.B.2. D'autre mot commun pour "semaine" dans Slave est O.C.S. dix dzie. (cf. Pol. tydzie., tý.de slovaque., teden slovène, Ukr. ......., Cz. týden), a traduit comme déinom de tod MIE, "ce jour."

III.B.3. Ltv. ned..ais un mot de l'emprunt de Rus. ...... (nedélja), originairement dimanche dans les langues slaves, IE Nedh.l., Russ. .. - ......, "aucun-travail (ing jour)", composé de:

Pour ne de la TARTE, non, comparez Gmc. ne -, na -, (cf. Goths. ni, SUR né, O.E. ne, O.H.G. ne, Eng. aucun), Lat. n., ne -, Osc. ne, Skr. na, Av. na, O.Pers. na, Pers. ., O.Pruss. ne, Lith. ne, Ltv. n., Russ. ..,..., Nie polonais, O.Ir. ní, ni gallois, na, aube. nuk, Hitt. natta, Luw. ni -, Lyc. ni -, Lyd. ni -; aussi le commun est suffixe du zéro-niveau n - [n.], comme Gmc. non -, Lat. dans -, Umb. un -, Gk.a, un -, Skr. un -, un -, Toch. Un - /, Bras. un -, fréquemment trouvez en commun IE compose, comme .cowijós, "équipez sans vaches" (cf. Skr. ágos, Gk. aboúte., O.Ir. ambuæ), .mrtós, inmortal (cf. O.Ind. amr..ta, Av. est... -, Gk. ........), .udrós, sans eau (cf. Skr. anudrás, Gk. ánydros), .gn .tós, inconnu (cf. Skr. ájñ.tas, ágn.tos), tós .gn (a), pas encore né, etc. Un dérivé commun est nóin MIE, non, aucun, originairement aucun, pas en" - (de n (e) óinos), Gmc donnant. nean (cf. O.S., M.L.G. nen, O.N. neinn, M.Du., Du. neen, O.H.G., Ger. nein), peut-être analogue à Lat. n.n, non - (bien que probablement une extension nasale d'o-niveau particule négative n.).

Dh de la racine de la TARTE., mettez, mettez, placez, (voyez dh. pour les dérivés MIE) donne Gmc. d.diz (Eng. action, Ger. Tat), d.n (Goths. gad.þs, O.E. d.n, O.H.G. tuon, O.N. dalidun, O.S. duon, O.Fris. dua, M.E. de, Ger. tun), Lat. faci./f.c., facilis, condere, abdomen, f.s, Osc. faciiad, Umb. feitu, Gk. ...., ...., ...., ......, Skr. dádh.ti, Av. da..iti, O.Pers. adad., Phryg. dak -, Toch. täs / täs, Thrac. didzos, Bras. ed, Lith. dedù, d..tis, Ltv. d.t, O.C.S. ........, ...., ......, Russ. ...., ......, Pol. dzia.; dzia.a., Gaule. dede, dall gallois, aube. ndonj; Hitt. dai, Lyc.ta.

IV. Thursdayis, après les calendriers grecs et romains, un consacrated du jour à Zeus et Jupiter respectivement; cf. Gk. ..... .... (Gk. Zeus a gen. Dios), Lat. Iovisdies, les "ciel-dieux". comparez aussi le Gourou hindou v.sara, "jour du précepteur", pour Vjasa, le précepteur suprême d'espèce humaine, et Beng. Brihoshpotibar, "jour de Brihoshpoti", le (équivalent à Jupiter) gourou du Devas et le voûte-némésis de Shukracharya, le gourou du Danavas. Dans Gmc emprunt-traduit. thonaras-dagaz (cf. O.N. Þorsdagr, O.E. Þurresdæg, O.Fris.thunresdei, M.Du. donresdach, Du. donderdag, O.H.G. Donarestag), le jour est consacré à un dieu allemand dont le nom est mis en rapport avec téna de la racine de la TARTE, résonnez, comme dans Lat. ton.re, Skr. tánjati, Pers. tundar, ta Pashto.; comparez pour IEt.ros, tonnerre, Gmc. thunraz (cf. O.N. þorr, O.E. þunor, O.Fris. thuner, M.Du. döner, O.H.G. donar). Par conséquent, Diwós (déinos), "ciel-dieu", (jour) Qturóm (déinom), "quatrièmes (jour)" ou Penqt. (Dh.si.), "cinquième (Fête)."

V. Le jour de Fridayis Frigga", femme d'Odin dans mythologie allemande, déesse de ciel et amour marié, emprunt-traduction de Lat. Ueneris meurt, "jour de (planète) Vénus", dans le tour traduit de Gk. ..... ........., "jour d'Aphrodite", les déesses d'amour, convoitise et beauté; aussi, Skr. Shukra v.sara (Beng. Shukrobar), où Shukra est le nom pour Vénus, un du Navagrahas, une planète virile pour les Hindous et a nommé après le Gourou Shukracharya. ........ vient de cA.tart phénicien, "Astarte", influencé par Gk. ....., écumez, en ayant des parallèles à dieu de la "aube (desse)" indo-européen s, comme Skr Védique Ushas, Lat. Aurore (a réinterprété comme un-Decl. *Ausós -.), IEÁus.s. Vénus latine vient de wénos, amour, désir sexuel, beauté, beauté, le charme, de wen de la TARTE, s'efforce pour, désir; comme wenuo, Gmc. winnwan ("cherchez gagner", O.E. wynn, Eng. gagnez), wn. ['u.n.-e:], comme Gmc. wun.n, (est habitué à, demeurez", cf. O.E. wunian, Ger. wohnen, Eng. gagné), won.io, comme Gmc. wanian ("accustome, train", cf. O.E. wenian, Eng. sevrez), wnsko, comme Gmc. wunskan ("désir", cf. O.E. wyscan, Ger. Wünsch, Eng. souhait); ou wenésnom, Lat. uen.num, "venin." Comparez aussi Lat.uenia, u.n.ri, Skr. vanas -, vanam, vanati, vanik, vanijah, Av. vanaiti, Toch. wani / wna, gagne - / winsk, Bras. accélérez, Cel. wenj (cf. O.Ir. bon, O.Bret. coguenou, gwen gallois, Bert gwenn); Hitt. wen -, est allé - (pour plus sur cette racine v.i. Sla. voin', "soldat"). Pour Frigg, comparez Gmc. Frije-dagaz (cf. O.N. frijadagr, O.E. frigedæg, O.Fris. frigendei, M.Du. vridach, Du. vrijdag, Ger. Freitag), de príj IE., femme, femme. aussi Freya, déesse d'amour et beauté dans mithology nordique. Gmc. Frij. (cf. O.N. Freyja, O.E. frea, O.S. frua, M.Du. vrouwe, Glace. Freyjudagr, Ger. Frau, Eng. Freya), il de prai de la racine de la TARTE, comme, aimez qui a donné prijós, noble, cher, bien-aimé, comme Gmc. frijaz (cf. Goths. freis, O.E. freo, M.H.G. vri, Ger. frei, Du. vrij), et d'autres dérivés ont raconté à libre, aimez, ami, comme prítus, paix comme Gmc. frithuz (O.H.G. fridu, L.Lat. exfred.re, Eng effrayé), príjonts, "bien-aimé", ami, comme Gmc. frijands (cf. Goths. frijonds, O.N. frændi, O.E. fr.ond, O.Fris. friund, M.H.G. friunt, Ger. Freund); aussi, comparez Gk. ....., Skr. priyah, pr... ti, Av. fr., Ltv. prieks, O.C.S. pr.jati, prijatelji, Russ. ........, Przyja polonais., sprzyja., O.Ir. ríar, Welshrhydd; par conséquent, Ausosés (déinos), le jour d'aube", Penqtóm (déinom), "cinquième (jour)", Sekst. (Dh.si.), "sixième (Fête)."

VI. Saturdayis une emprunt-traduction partielle de Lat. Saturni meurt, "jour de Saturne" (où Saturnus était un dieu Italique d'agriculture, poss. un emprunt d'Étrusque), il a traduit de Gk. ..... ......, "jour de Cronus"; comparez aussi Skr. Shani v.sara (Beng. Shonibar), de Sani, une des neuf Navagraha ou existences célestes fondamentales, concrétisé dans la planète Saturne, MIE Satúrnos. Comparez O.E. Sæterdæg / Sæternesdæg, Du. zaterdag, O.Fris. saterdi, M.L.G. satersdach; Ir. diaSathuirn, dydd gallois Sadwrn. Cependant, une coutume nordique ancienne est conservée dans O.N. laugardagr, Dan. lørdag, Swed. lördag, illuminé. "baignez jour" (cf. O.N. laug, "bain"). Ger. Samstag (d'O.H.G. sambaztag) semble être de Vulg. Lat. sambatum, de Gk. *les sambaton, une variante nasalisée familière de "sabbat" du sabbaton, ont aussi certifié dans Slave (cf. O.C.S. sabota, Rus. subbota, simbata) et même a Pendu. szombat; aussi roman (cf. Fr. samedi, Il. sabato, Station thermale. sábado, Pt. sabado). Le sabbat est observé par les Juifs comme un jour de reste et vient de shabbath hébreu, soutien. "jour de reste", de shabath "il s'est reposé." D'où, seulement deux noms semblent être correct pour MIE, IE Satúrni païen (déinos), et Sabbátom chrétien.

VII. Dimanche, le dernier jour de la semaine. en premier d'après tradition religieuse., est le "jour du soleil", Lat. meurt solis, emprunt-traduit de Gk. ..... ....., comparez aussi Skr. Ravi v.sara (Beng. Robibar); d'après Hindouisme, Ravi est Surya, le Soleil. Par conséquent, la version païenne devrait être S.wlós (déinos), le jour de Soleil", gen. de S.wel, soleil, v.i., et dans tradition chrétienne, Lat suivant. le dominicus meurt, Gk. ........, (de Gk. ......, seigneur, avec une base IE différente), Kuriakós/Dom.nikós (déinos).

Rootkew indo-européen, enflez, aussi voûtez, trou, donne kówos de l'o-niveau, cavité, comme Lat. cauus, comme dans le ków. (comme V.Lat. cova), caverne, kowésna, caverne, kówit., cavité, komkowós, concave, ekskow., excavez; kówilos, cavité, kowilí., enflez, comme Gk. ......, et kówilom, coelom, comme dans Eng. dérivés - cele, celiac, - coel; kówos, place creuse, cavité, comme dans le kówodei., tête du coquelicot, Gk. ...... qui donne kowodeín. (- ín., "alcaloïde"), codéine; le zéro-niveau a raccourci kúmolos, tas, masse, cumulus, comme Lat. cumulus, kumol., cumulate, ou adkumol., accumulez; zéro-niveau k.rós, "enflé", fort, puissant, d'où k..rios, maître, seigneur, comme Gk. ......, comme dans k.riakós, "du seigneur", comme dans MIE K.riakóm [d.mn], Seigneur [dôme] (de "maison", voyez dem -), comme k.riakon grec Tardif [d.ma] (cf. Med. Gk. k.rikon, dans W. Gmc. kirika, comme O.E. ciricem, Eng. église, Ger. Kirche), usagé surtout dans l'Est, c'était pourtant moins commun dans ce sens pour maisons d'adoration chrétienne depuis c.300, qu'ekkl.sí. (de Gk. ekklesía, voyez kela) ou basílik. (d'adj de l'emprunt. basilik., royal, Gk. ........, de basiliós, roi); k.weio, gonflement, et derivativek..mn, une grosseur, agitez, avec dérivés grecs comme Eng. cimaise, cyme, cymo -, kymo -; enk.i.nts, enceinte, comme Lat. inci.ns (comme Eng. enceinte).

Kela indo-européen, criez, plus vieux * kelh2, donne kl.uo (de * klah2) à verbe, rugissez, bas, comme Gmc. khl.wan (cf.  O.E. hl.wan, M.Du. loeyen, O.H.G. hluoje); kl.m suffixe., appelez, écriez-vous, réclamez, comme Lat. clam.re, comme dans kl.m.nts, clamant, kl.m.r, clameur, adkl.m., acclamez, dekl.m., déclamez, ekskl.m., exclamez-vous, prokl.m., proclamez, rekl.m., réclamez; kol., appelez, comme Gmc. khal.n (cf. M.Du. halen, Frank. halon, O.Fr. plus vigoureux, M.E. halen, peut-être aussi O.E. geholian); komkáliom (de kom -, ensemble, et zéro-niveau * k.h > kalio IE), réunion, rassemblement, conseil ("un appel ensemble"), komkali., conciliez, rekomkali., réconciliez; kálend.s, calends, de Lat. kalendae (en premier jour du mois, quand il a été annoncé publiquement sur lequel jours les none et ides de ce mois tomberaient), kalendásiom donnant, calendrier; kalo (kl différent.), appelez, comme dans l'ekkalo, appelez en avant qui donne ekkl.sí., assemblée, église, comme Gk. ........; kal., appelez, appelez, comme Lat. cal.re, comme dans l'enterkal., intercalez, nomnkl.t.r, nomenclator; kl.rós suffixe (de zéro-niveau * k.h), clair, éclaircissent, comme dans dekl.r., déclarez; klástis du zéro-niveau, sommation, division de citoyens pour service militaire, d'où armée, flotte, de Lat. classis, aussi classe.

61.  MIE Januáriosis probablement de jános IE, Lat. Janus, Ita ancien. divinité, dieu gardien de portails, protecteur de commencements et fins, illuminé. "la porte, couloir voûté" d'eí de la TARTE, va (cf. Skt. jana.). D'autres mois romains sont Februários (pl. de Lat. februum, purifications, unkn. origine), Mártios, (d'Ita. dieu Mars, Mamers dans Oscan, a emprunté de la divinité étrusque Mari. comme un dieu de guerre / agricultual Marsand a égalé avec Ares grec par romana de l'interpretatio), Aprílis (d'Ita. godd. Vénus, Apru étrusque, peut-être de Gk. aphrodite), Mágios (de Lat. Maia, de meg de la TARTE, grand), Júnios (de Lat. Junon, apparenté à Eng. jeune), Djówilios (de Lat. I.lius César, de djeus, dieu), Augústos (de Lat. Auguste César, d'aug), Sept.mris, Okt.mris, Now.mris, Dek.mris, tout de nombres IE qui suivent le calendrier romain (lequel a commencé en mars) et adj. suffixe - m (ns) ris, Lat. -bris, de TARTE m.n bas, mois.

a.    Pour eí de la TARTE, les entrains, promenade, comparent des Goths. iddja, O.E. .ode, Lat. courroux, iter, ier Umbrian, eítuns Oscan, Gk. ....,..., Skr. .ti, imas, ayanam, Av. a.iti, O.Pers. aitiy, Toch. i, O.Pruss. eit, Lith. eiti, Ltv. iet, O.C.S. iti, id. Rus. ...., I polonais., eimu du Gaullien, O.Ir. ethaim, ie Kamviri; Luw. i -.

b.    Pour meg de la TARTE, grand, comparez mégos des dérivés (Skr. maha -, Gk. ....., Phryg. meka -, Pers. meh), megilós ("beaucoup", comme Gmc. mekilaz, cf. Goths. mikils, O.E. micel, O.N. mikill, O.H.G. mihhil, M.E. muchel), magiós (comme Lat. majeur), magnós (Lat. magnus); cf. Skr. mahayati, mahat -, Av. mazant, Illyr. revue, Toch. m.k /m.k., Bras. mec, Gaule. Magior.x, O.Ir. mochtae, Maclgwn gallois, aube. madh, Kurde. mezin; Hitt. makkes.

c.    Jeu de la racine de la TARTE, "force vitale, vigueur jeune" et son juwen du zéro-niveau suffixe - (cf. Skr. yuván -, Lat. iuu.n-est), donnez júwntis, jeunesse, comme Gmc. juwunthiz / jugunthiz (cf. Goths. junda, O.S. juguth, O.E. geogu, O.Fris. jogethe, M.Du. joghet, O.H.G. jugund), et juwnkós, jeune, comme Gmc. juwungaz / jungaz, (Goths. juggs, O.S., O.Fris. jung, O.N. ungr, O.E. geong, M.Du. jonc, O.H.G. junc) et yowankos celtique (cf. Gaule. Jovincillus, O.Ir. ac, ieuanc gallois); comparez aussi Umb. iuengar, Av. javan, Pers. jav.n, Lith. jaunas, Ltv. jauns, jun slave., jun.c. (cf. O.C.S. ..., O.Rus. ..., O.Bulg. .., ....., ...., O.Cz. junec, junoch, Pol. junosza, junoch).

d.    Aug de la TARTE, augmentez, donne Gmc. aukan ("augmentez", cf. Goths. aukan, O.N. auka, O.E. eacan O.Fris. alias), Lat. augere, Umb. uhtur, Gk. ....., ........, Skr. ojas -, ugra, Toch. ok / auk, O.Pruss. auginnons, Lith. augu, aukstas, Ltv. augt. Les dérivés modernes communs incluent augon.mn, surnom, comme Gmc. aukanamon); augméntom, augmentez, augmentez, áugti.n, vendez aux enchères, de Lat. augere; aug., créez, de L.Lat. aug.re qui donne augtós a créé, áugtos, création, augt.r, auteur, créateur et augtoriti., autorisez; aug..r, devin (< "il qui obtient présage favorable", de "faveur divine, augmentation"), de Lat. présagez, comme dans l'enaugur., inaugurez; augsíliom, aide, support, assistance, de Lat. auxilium, et augsili.siós, auxiliaire. Aussi, les metathesized différents forment weg -, o-niveau et étendu avec - s, wógso, grandissent, Gmc. wakhsan (O.S., O.H.G. wahs, O.N. vax, O.E. weaxan, Du. été, Ger. Wachs, Eng. cire), et wógstus, taille, Gmc. wakhstus (cf. Goths. wahstus, O.N. vaxtr, Swed. vstm, O.H.G. wahst); de la même base IE, cf. Lith. vakas, O.C.S. vasku, Rus. vosk, Pol. wosk.

e.    Comparez pour MIE m.ns (gen. mntós), flânez, mois, cf. Lat. m.nsis, Gk. ..., Skr. m.sah, Av. mao.h, Pers. m.h, Toch. mañ / meñe, Bras. amis, O. Pruss. menig, Lith. m.nuo, Ltv. meness, O.C.S.  meseci, Russ. mesjac, Pol. miesi.c, O.Ir. mí, mi gallois, aube. muaj, Kurde. mang, Kamvirimos, Osset. mæj. Dans allemand, le "mois" vient d'IE m.n.ts, Gmc. mænoth - (Goths. menoþs, O.N. manaðr, O.E. monað, M.Du. manet, Du. maand, O.H.G. manod), "flânez" d'IE m.n.n, Gmc. menon -, (cf. Goths. mena, O.N. mani, O.E. m.na, O.S., O.H.G. mano, O.Fris. mona, Du. maan). Voyez aussi le m proto-Indo-européen., mesure.

62. Pour saison, année, temps, la TARTE avait des mots différents

A.    De racine j.r, comme j.rom, année, saison, cf. O.Pers. (du.i) jaram, Gmc. jæram ("année, saison" cf. Goths. jer, O.S., O.H.G. choquez, O.N. ar, O.E. .. ar/g.r, Dan. aar, O.Fris. ger, Du. jaar, Ger. Jahr); j.r., heure, saison, de Gk. h... ("heure, saison, année" comme dans À la mode.Eng. horoscope, heure); aussi, comparez Lat. hornus, Av. jare, O.C.S. jaru, probablement originairement "que qui va un cycle complet", de plus vieille racine verbale * h2eí, entrain, v.s. 

A.a. La meilleure option pour "saison" dans MIE serait d'utiliser dáitis j.rós, "année-temps", emprunt-traduit de composés IE aimez Ger. Jahreszeit, Fris. jiertiid, Du. jaargetijde, Swe.,Da. årstid, Rom. anotimp, Lith. met.laikas, Russ. ..... ...., Pol. roku du pora, Cz. období ro.ní, Slov. letni .as, Bert. koulz-amzer, etc., comme un composé de gen. de j.rom, a suivi par itis d (á), temps, comme Gmc. tidiz "division de temps" (cf. O.S. tid, Du. tijd, O.H.G. zit, Ger. Zeit), forme suffixe d'IE d., divisez, découpez; cf. d.mos, Gk. ....., aussi Skr. dati, O.Ir. barrage. et Gmc. t.m.n.

A.b. Le mot grec pour "saison" est epsogh IE., Gk. ....., époque, de TARTE enracine epi, sur, à, et les sogh, o-niveau de segh, tiennent, comme dans Gk. ....., Skr. saha -, sahate; d'autres dérivés sont ségh.s, victoire (< "une tenue ou conquête dans Bataille"), comme Gmc. sigiz - (cf. O.N. sigr, O.E. sige, O.H.G. sigu, sigo, comme dans Siegfried, M.Du. seghe), seghús, seghuerós, sévère, comme Lat. seu.rus, sghol., scolarisez, comme Gk. ....., sgh.mn, plan, comme Gk. ......

A.c. Aussi, MIE sáti.n, ensemencement, saison, de L.Lat. sess..nis (O.Fr. seison, Eng. saison, Du. seizoen, Rom. sezon), de Lat. sati., "un ensemencement", de pp. satum de siso du verbe, Lat. serere, un redoublez le verbe d'IE s., semez, comme Gmc. s.anan (Goths. saian, O.N. sá, O.E. s.wan, M.Du. sayen, O.H.G. s.en), Skr. s.yaka, Toch. s.ry, Lith. seju, s.ti, Ltv. s.t, s.ti, O.C.S. sejo, sejati, Russ. ....., Pol. sia., hil gallois, O.Ir. , et Hitt. sai. Il a aussi donné s.m.n, graine, sperme, sperme (cf. Lat. sperme, Umb. semenies, O.H.G.samo, O.Prus. sperme, O.C.S. seme, Rus. ...., Ger. Samen, Finlandais égal. siemen), et s.tis, ensemencez, comme dans Gmc. s.diz (cf. O.N. sað, O.S. triste, O.Fris. sed, M.Du. saet, O.H.G. s'assis, Ger.Saat).

A.d. Autre mot isstáti.n, de Lat. stat..nis (cf. Station thermale. estación, Pt. estação, Chat. estació), de sta IE (n) t -, Gmc donnant. standan (cf. O.S., Goths.,O.E. standan, O.N. standa, O.H.G. st.n, Swed. stå, Du. staan), et d'autres dérivés comme statós IE, L. statut, Gk. ......, Lith. statau, finalement de st de la TARTE., soyez debout, avec les dérivés qui signifient "résolu en bas, faites ou soyez ferme" et "place ou chose qui se trouve", comme dans IE st.dh., étalon, studhorse, coursier, de Gmc st.d. (cf. O.N. stoð, O.H.G. stuot, O.E. stod, M.H.G. cloutez, M.L.G. stod, Ger. Stute, et aussi O.C.S. stado, "troupeau", Lith. stodas, "une foule de chevaux"); comparez L. sistere, st. (de plus vieux st.i.) Umb. stahmei, Osc. staíet, Gk. ........, ....., ......, Skt. ti..hati, Av. hi.taiti, O.Pers. ai.tata, Pers. ist.dan, - stan (pays, illuminé. "où on se trouve"), Phryg. eistani, Toch. .t .m /st.m, Bras. stanam, O. Pruss. .. st.t, stacle, Lith. stojus, Ltv. st.t, O.C.S. ......, ...., stanu, staru (vieux, illuminé. "de longue date"), O.Russ. ....., ....., Pol. stoj., sta., O.Ir. táu (de plus vieux st.i.), sessam, gwastad gallois, aube. shtuara; Hitt. i.ta, Luw. i.ta, Lyc. ta-

A.e. Le mausam Hindustani (l'hindi ...., l'Ourdou ....) vient de Persan ...., dans le tour d'arabe ........, tannez, saison, temps.

B. Les langues romanes ont des mots dérivés d'átnos de la TARTE, année (de "une période allé dépression") qui a donné des mots allemands et Italiques, cf. Goths. aþnam, Lat. annus (Fr roman moderne.,Rom. un, Il. anno, Pt. ano, Station thermale. año, Chat. en), Osc.,Umb. akno -, d'IE à, allez, comme dans Skr. atati.

C. Les langues slaves modernes ont des mots différents pour "année, saison."

C.a Certains dialectes ont ghodhós d'o-niveau IE, originairement allez, adéquat, belongingtogether (v.i. pour Eng. bon) qui a développé dans O.C.S. ...., temps, "temps plaisant", O.Rus donnant. ...., Cro. godina, Bulg. ...... (cf. Ukr. ... i, Pol. gody, Cz. auge, Bulg. ....., Srb. ...., Slov. g.d), aussi a adopté dans Ltv. se balade (cf. 'adéquat' dérivés lettoniens, gadigs, gadit), finalement de TARTE ghedh bas, unissez, soit associé, convenable", aussi avec la signification de "bon."

C.b. Un autre mot slave commun est Pol., Cz., Rok slovaque, Ukr. ... (aussi, cf. Russ. .- .o.), d'O.C.S. ...., armez, main (cf. Russ. ...., Ukr.,Bel. ....., Slov. róka, Pol. r.ka), aussi trouvez dans Lith. rankà (gen. rañk.), Ltv. rùoka, "main" (cf. Russ. r.n.k., gen. r.nkan, Lith. renkù, rinka., riñkti, parankà) avec l'année comme une notion d'une "coudée mesure de temps"; le mot est cru pour être finalement d'une source apparentée à un IEwrnk étendu nasal. ['wr.-n.-ka:], de wer de la TARTE, tour, coude (peut-être à travers O.Ind. vrag, "coin, angle", vrangr, "faux").

C.c. Finalement, comparez leto slovène, Russ.pl. ..., Pol. lata, Cz., Slovaque. leto (cf. aussi Russ. ...., Pol. lato, "été"), peut-être analogue avec O.Ir. laithe, jour, reconstruit comme TARTE commune l.tom.

D. Dans Celtique, un commun a isolé la racine est trouvée, bhled MIE -, cf. O.Ir. bladain, Ir.bliain, Sc. bliadhna, blwyddyn gallois, Bert. bloaz, Maïs. bledhen.

E. Pour "année" dans les langues iraniennes modernes, comparez Av. sar.d, O.Pers. ýâre, Persan... (sâl), sal kurde, Pashto k.l, serre Zazaki, tout de TARTE j.r, déjà vu.  Aussi a emprunté dans Hindustani comme s.l (l'Ourdou..., l'hindi...), bien que certaines langues Indo-aryennes le dérivent de Skr. ...... (varsham, comme Marathi ...., varsha, et varsham Malayalam), "année, été, saison de la pluie", un mot que quelques-uns dérivent du son de la pluie, d'une source Dravidian.

F. Un autre mot de la TARTE avec une signification semblable est mouillé -, année, vieillissez, (cf. Aube. vit) qui donne wétrus des dérivés, animal d'un an, comme Gmc. wethruz (wether, cf. Goths. wier, O.S. wethar, O.H.G. widar, Ger. Widder), wét.s, année, âge, vieux, comme Lat. vetus, veteris ou Gk. ....; wétolos / m, animal d'un an, comme Lat. vitulus et Gk. ......; cf. Skr. vatsa., Osc. vezkeí, O.Lith. vetu.as, O.C.S. vet.c., Russ. ......., Pol. wiotchy, O.Ir. fethim, Maïs. guis, aube. vjet; Hitt. witt.

Je pour été:

I.a. Le séma de la racine de la TARTE, été, donne S.aros, et aussi sém., saison; comparez Gmc. sumaraz (cf. O.N.,O.S. sumar, O.E. sumor, O.F. sumur, M.Du. somer, O.H.G. sumar), Skr. sam., Av. hama, Toch. .ye de .me / .m, Bras. ama., havîn kurde; c'est aussi un mot celtique commun, cf. O.Ir. samain, samuin, samfuin, Ir. Samhain, Sc.Samhradh, jambon O.Welsh, haf gallois, Bert. hañv.

I.b. Pour Lat. aest.tis (cf. Fr. été, Il. estato, Chat. estiu, aussi Station thermale secondaire. estío, Pt. estio) un MIE Aist. (< * aidht (o) - t.) est reconstruit, d'aidh de la racine de la TARTE commun, brûlez, éclairez; cf. Lat. aed.s, Gk. ...., O.Ind. .t .ak., índdh. (forme nasalisée), Av. a.sma, Lith. íesme., O.Cz. nieste.je., Slov. iste..je.

I.c. Une autre forme commune est dérivée de Wésr, source (infra du vide), comme Lat. veranum (tempus)", de (temps) source" (cf. Station thermale. verano, Pt. verão, Rom. var.), Lith.,Ltv. vasara, aube. verë.

I.d. Pour le mot slave commun, MIE reconstruit n. L.tom (cf. Russ. ...., Pol. lato, Cz. léto, Srb.-Cro. ljeto).

II. MIE a pour automne, chute, mots indo-européens différents qui se reportent pour "moissonner."

II.a. Kérpistos, récolte, Gmc. *kharbistas (cf. Goths. .aírban, O.N. hverfa, O.S. hervist, O.E. hærfest, O.H.G. hwerban, Du. herfst, Ger. Herbst), de kerp de la TARTE, cueillez, rassemblez-vous, moissonnez (cf. Lat. carpere, Gk. ......, Skr.krpana, Toch. K.rp / kärp, Lith. kerpu, O.Ir. carr, M.Ir. cerbaim, moyenne galloise).

II.b. Ós.n (Gen. Osnós), de plus vieux * h3esh3en, moissonnez, comme dans Balto-Slave, O donnant. Pruss. assanis, Rus. ....., Ukr. ....., Pol. jesie., Srb.-Cro. jesen, jese slovaque., et aussi osnoio, gagnez, de Gmc. aznojanan (cf. Goths. asans, O.N. önn, O.E. earnian, esne, O.H.G. aran, Ger. Ernte); cf. aussi Lat. ann.na, Gk. ...., Bras. ashun.

II.c. Autúmnos (Lat. Autumnus, d'origine étrusque), est le mot commun dans langues romanes et l'anglais.

II.d. Dans Baltique 'les autumn'is ont trouvé comme Ltv. rudens, Lith. ruduo, "saison originairement rouge", dérivée de reudhós de la TARTE, rouge, rougeoyant. Comparez Gmc. rauthaz (cf. Goths. rauþs, O.N. rauðr, O.E. r.ad, Dan. rød, O.Fris. rad, M.Du. enracinez, O.H.G. r.t), Lat. ruber, (Lat.dial. rufus), Osc. rufriis, Umb. rufru, Gk. .......; Skr. rudhira -, Av. raoidita -, Toch. rtär / ratre, O.C.S. rudru, Rus. ....., ......., Pol. rumiany; Lith. raudas, Ltv. ruds, Gaule. Roudos, O.Ir. ruad, rhudd gallois, Bert. ruz.

III. Pour hiver MIE.

III.a. Il y a une TARTE commune Ghéimn bas, neige, hiver; comparez O.N. gói, Lat. hiems (de ghjéms IE alternatif), Gk. ..... (À la mode. Gk. ........), Skr. heman, Av. zimo, Pers. ...... (zemest.n), dai, Toch. .ärme / .impriye, Bras. dzme., Vieux semo prussien, Lith. .iema, Ltv. ziema, zima OCS, Russ. ...., Zima polonais, Gaule. Giamillus, Ir. gaimred, Sc. Geamhradh, gaeaf gallois, geimhreadh, Bert. goañv, aube. dimër / dimën, zivistan kurde, zistan, z Kamviri.; Gimma Hittite -. De la même racine, comparez ghéimrin., hibernez, de Lat. hibern.re de qui aussi (témp.s) ghéimrinom, Lat. (tempus) hibernum, "temps d'hiver" (cf. Fr. hiver, Ita.,Pt. inverno, Station thermale. invierno, Rom. iarn.), ou ghímri. ['ghi-mr.-i.a], chimère, de Gk. ........

III.b. Dans allemand, cependant, le mot vient de Gmc. wentruz (cf. Goths. wintrus, O.N. vetr, O.E., O.Fris., Du. hiver, O.S., O.H.G. wintar, Ger. hiver, Dan., Swed. Vinter), donc IE Wéndrus, "saison aqueuse", de racine de la TARTE épousent - / wod / ud, mouillez, eau. Comparez pour IE wódr / údr (ou a nasalisé wóndr / úndr) général, Gmc. watar, (cf. Goths. wat., O.N. vatn, O.E. wæter, O.H.G. wazzar, O.Fris. wetir, Du. eau), Lat. unda, Umb. utur, Gk. ...., Skr. udan, Toch. wär / guerre, Phryg.bedu, Thrac. udr.nas, Bras. obtenez, O. Pruss. wundan, Lith. vanduo, Ltv. .dens, O.C.S., O.Russ. ...., Pol. woda, O.Ir. uisce, gwer gallois, aube. ujë, Kashmiri od.r; aussi, Hitt. watar, et Vieillard bedu macédonien. Et pour údros de la forme alternatif, eau, "eau-créature", loutre, cf. Gmc. utraz (cf. O.N. otr, O.E. oter, O.H.G. attar, Swed. dites, Dan. plus bizarre, Du. loutre), Lat. lutra, Gk. ....., Skr. udra, Av. udra, Lith. .dra, O.C.S. vydra, Russ. vydra, O.Ir. uydr, odoirne Ir. odar, Osset. wyrd; aussi, deros ú (n) dérivé, enflez, comparez Ger. wanast, Lat. utérus, uenter, Skr. udara, Av. udaras, Lith. v.daras, Ltv. v.ders. Comme avec IE "tirez", (p.wr-egnís) Indo-européen avait deux racines différentes pour la "eau", un inanimé, faire référence à une substance inanimée, et les autres, apos, arrosent (animé), en se reportant pour arroser comme une force vivante (cf. Sk. apa.) qui vient probablement d'un plus vieil IE II racine * h2p -, pískos de la TARTE donnant, pêchez, plus vieux * h2p-isko -, cf. Gmc. fiskaz (cf. Goths. fisks, O.N. fiskr, O.E. fisc, O.H.G. fisc, Du. vis, Ger. Fisch), Lat. piscis, Russ. peskar', piskorz polonais, O.Ir. asc, pysgodyn gallois.

IV. Pour source indo-européenne moderne:

IV.a. Le mot de la TARTE commun était Wesr [nous-sr.]; comparez O.N. var, Swe. vår, Lat. v.r de qui L.Lat. vera du prima (cf. Station thermale.,Pt.,Il. primavera, Rom. prim.var.), Gk. ..., Skt. vasantah, Pers. . (b.h.r), Kur. bihar, Lith. vasara, Lith.,Ltv. pavasaris, O.C.S. vesna, Russ. ....., Pol. wiosna, Gael. Earrach, et même ilkbahar turc, bahar, un emprunt d'iranien.

IV.b. Le printemps est considéré habituellement la première saison, d'où la ressource commune de prendre des mots pour 'antérieur' ou 'tôt' a suivi par 'année', comme MIE Pr.j.rom/Pr.j.rom; cf. Dan. forår, Du. voorjaar, Ger. Frühjahr, Bul. ......, Srb.-Cro. prolje.e, pomlad slovène, aube. pranverë, originairement allumé. "antérieur-année"; aussi, Ger. Frühling, de M.H.G. vrueje, ou Cz. jaro, pot slovaque, de j.rom. Aussi, la plus vieille primevère a été substituée dans les 16e c en français. pour printemps, O.Fr. le prin bronze, dame guindé, de Lat. tempusprimum, illuminé. "en premier temps, en premier saison" qu'aussi a influencé Mi.Eng. perfection-temps; cf. aussi Faer. maitiid. Pour "avant" dans les composés, il y a pr IE. [pr..], avant, comme Gmc. fura (cf. Goths. faiura, O.N. fyrr, O.E. à l'avant, O.Fris. fara, O.H.G. forums, Ger. vor -), Gk. ....., Skr. pur., Av. paro, para Hittite -, aussi bien qu'IE pour - /pr., avant, devant, comme Gmc. fra - (cf. Goths. fram, O.N. fr., O.E. fram, écossais en arrière, Ger. vor -), Ita. pour -, Gk. ... -, Ind. pra -, Slave. pra -, Celte. ro -; bien qu'Eng. "à l'avant" il vient de TARTE par / pr -, base de prépositions avec les significations aime avancé, à travers, et d'autres sens étendus.

IV.c. Un autre terme allemand commun est Dlonghodéinos, comme Gmc. langa-tinaz, illuminé. "long-jour", (cf. O.S. lentin, O.E. lencten, M.Du. de carême, O.H.G. lenzo, Eng. Carême, Du. lente, Ger. Lenz), de ghós du dlo (n). peut-être un plus vieux commun, difficile-à-prononcez dlnghós [' ghos]., long, comme Gmc. lanngaz (cf. Goths. laggs, O.N. langr, O.E.,O.H.G. lang, M.Du. lanc), Lat. longus, Gk. ......., Skr. d.rgha, Av. dar.ga, O.Pers. darga, Pers. der.z, O.Pruss. ilgi, Lith. ilgas, Ltv. ilgs, OCS dl.g., Russ. dolgij, Pol. d.ugi, Gaule. Loggostal.tes, O.Ir. dala long, gallois, aube. gjatë, Kashmiri d.r, Hitt. dalugaes; et déinos IE, une signification de la racine "jour", infra du vide. Le composé fait référence probablement à la lumière du jour croissante au printemps.

63. Djéus indo-européen, Déiwos (les plus tardifs ont formé par e-insertion de diw du zéro-niveau -), veut dire originairement éclat, habituellement ciel, ciel, d'où dieu du ciel; cf. Gmc. T.waz (O.N. Tyr, Eng. Tiu, aussi dans mardi), Lat. deus, Iovis, comme dans Iuppiter (de plus vieux patér Djóus, "o engendrent Iove" cf. O.Ind. deva. pitar, Gk. Zeus pater), Gk. ...., gen. ...., Skr. deva. (comme dans Devan.gar.), O.Pers. da.va (comme dans Asmodeus), O.C.S. deivai, Lith. devas. De zéro-niveau le djóus est étendu djówis, Lat. Iouis, "Jupiter", comme djowiliós de l'adjectif, est "descendu de Jupiter", Lat. I.lius (nom d'un gens romains), dans Djówilios, juillet. Le déiwos de la forme, comme Gmc. t.waz, Lat. deus, donne deiwísmos, déisme, déiwit., divinité, deiwidhakós, deific, addéiwos, au revoir ("je vous recommande à Dieu", cf. Fr.,Eng.,Ger. adieu, Il. addio, Station thermale. adiós, Pt. adeus, Chat. adeu, Ni. adjø, Swe. adjö, Gk. ....., Slo. adijo, Lux. äddi, ayo Papiamento, etc.); aussi, de Lat. d.uus, l'emprunt rédige d.wos, artiste célèbre (fem. d.w., diva), et deiwinós, divine;déiw.s, riches ("heureux, bienheureux, divin"), comme Lat. diues; diwiós, céleste, comme dans Diwián., Diana, comme Lat. Di.na, déesse de lune; dj.us différent (de Lat. dj.), jour, comme dans djew.lís, quotidien, cadran, djew.siós, journal, dj.t., routine journalière, alimentation, national ou personne du pays assemblée législative (modification influencée par dj. de díait., façon de vivre, soyez au régime, de Gk. ...... dans Lat. diaeta), djousnós, diurne, "du jour", journalier, comme dans djousn.lís, diurne, journalier, d'où comme nom "bréviaire, journal" (comme Fr. journal), et aussi "salaire" (comme Prov. jornal), djóusnom, jour, djousn.t., jour, le voyage de jour, voyage, medh.dj.us, midi (de medhiei dj.us, de locatif de médhjos, milieu), midi qui donne medh.djewonos "de ou à midi", aussi méridien, et adjectif, medh.djewonós, "de ou concernant un méridien, méridional" de Lat. mer.di.nus, q.tidjewonós, quotidien; dejalós, éclaircissez, évident, comme Gk. ...., comme dans likós ps.ghodej (a), psychédélique, (voyez bhes) un mot de l'emprunt anglais qui utilise des mots de l'emprunt grecs. Aussi, avec le sens de briller, éclaircissez, jour, comparez Goth.sinteins, Lat. di.s, Gk. ....., Skt. diva, O.Ind. dinam, diw gallois, Bert. deiz, Bras. tiw, Prus. deinan, Lith., Latv. diena, O.C.S. ...., Pol. dzien, Ukr., Rus. ...., etc.

L'origine de mot allemand pour "Dieu" est probablement Gmc. guthan (cf. Goths. guþ, O.E. dieu, O.N. guð, Du. dieu, Ger. Gott), de ghútom du zéro-niveau, Dieu, "les invoqué" (cf. Skr. huta -, a invoqué, une épithète d'Indra), de ghwa de la TARTE, appelez, invoquez, bien que quelque trace il à ghúde "versé, les libated", de gheu de la racine de la TARTE, versent, versez une libation; comme Gmc. giutan (cf. Goths. giutan, SUR gjta, O.E. guttas, O.H.G. giozan, Ger. giessen, Eng. boyau), Lat. f.tis, Gk. ...., Skr. juhoti, Av. zaotar, Pers. z.r, Toch. ku, Phryg. Zeuman, bras. dzulel. Originairement neutre dans Gmc., le genre de "Dieu" a changé à masculin après la venue de Christianisme. Watkins suivant", (...)donné les faits grecs, la forme allemande a pu faire référence d'abord à l'esprit immanent dans un monticule de l'enterrement", par conséquent O.E. le dieu était probablement plus proche dans le sens de Lat. numen, un terme latin pour le pouvoir de ou une divinité ou un esprit qui informe des places et des objets. Un meilleur mot traduire Deus a pu être Æsir, Gmc. ansuz (cf. O.N. Ás, O.E. Ós), un nom pour les dieux principaux du panthéon de mythologie nordique, mais il n'a jamais été utilisé pour se reporter au Dieu chrétien. Il survit principalement en anglais dans le commencement des noms personnel dans Os - (cf. Oswin, Oswald, Osborn, etc.). Le nom allemand est cru pour être dérivé de TARTE (á) .sus 'souffle, dieu' apparenté à Skr. asura et Av. ahura, avec la même signification; bien que dans asura Sanskrit est venu pour signifier 'démon.' v.i. pour plus en signifiant le changement pour les divinités substituées dans les langues IE. Ánsus est dans le tour apparenté à ána, respirez, v.s.

64. Pr.bhast.r vient de Lat. professeur, nom de l'agent de profitieri, de Lat. pour -, "en avant", et bháto (p.part. bhastós < * bhattós), "reconnaissez, admettez, confessez", comme Lat. fateri (pp. fassus), le zéro-niveau de TARTE enracine bh., parlez, et pour -, déjà vu, aussi de pr.bhast latin Tardif., professez, kombhast., confessez, etc.

65. MIE Kolumnélis, Colonel, vient de Lui. colonnella "commandant d'une colonne de soldats à la tête d'un régiment", de colonella du compagna, "petite compagnie de la colonne" de kólumn IE., Lat. columna, "projeter l'objet, pilier, la colonne", d'o-niveau de kel de la TARTE, est proéminente, aussi colline. La colonne vient dans le tour d'hommes du kól (u) de l'o-niveau, sommet, sommet, de Lat. culmen qui donne des hommes du kol (u) du verbe., culminez, élevez, soulevez, de L.Lat. culmin.re. D'autres dérivés de la même racine sont kolobh.n, sommet, fin, colophon, de Gk. .......; zéro-niveau k.nis, colline, comme Gmc. khulniz (cf. O.N. hallr, O.E. hyll, M.Du. colline, L.Ger. écossez), k.mos, îlot dans une baie, prairie, comme Gmc. khulmaz (cf. O.N. holmr, O.E. holm), ekskeldo de la forme étendu (composé d'eks de la TARTE - et keld de la forme étendu -), élevez en haut, élevez, aussi "soyez éminent, excellez", de Lat. excellere. Comparez aussi des Goths. hallus, Lat. collis, celsus, Gk. ......., Skt. kutam, Lith. kalnelis, kelti.

66. Regmeant indo-européen originairement probablement ligne droite, d'où "mouvement ou dirige dans une ligne droite", règle, guide, rôle principal. Comparez des dérivés communs comme erg du verbe, gouvernez, menez tout droit, mettez droit, comme Lat. regere, Gk. ......., Av. razeyeiti; r.gtós, droit, ligne droite, droit, vertueux, sage, vrai, comme Gmc. rekhtaz (cf. Goths. raihts, O.N.rettr, O.E. riht, O.H.G., O.Swed. reht, Ger. recht, Eng. droit, droit), Lat. rectus, Gk. ......., O.Pers. rahst -, ar.ta, Pers. rahst, Lith. teisus, O.Ir. recht, rhaith gallois, reiz breton; r.gs, souverain, chef, roi, comme dans r.giós, royal, de Celtique (cf. Gaule. -rix, O.Ir. ri, gen. gréez, Gael. righ) dans Gmc. r.kjaz, "riche, riche", (cf. Goths. reiks, O.N. rikr, O.E. riz, O.H.G. rihhi, O.Fris. rike, Du. rijk, Ger. Reich, Eng. riche); r.gs, roi, chef, comme Lat. r.x, regis qui donne r.g.lís, royal, royal, royal; r.g.n, roi, rajah et règle du verbe, de Skr. r.j., r.jan, et r.jati.; r.gol., straightpiece de bois, tringle, "gouvernent" d'où, et comme verbe "réglez", de Lat. r.gula et L.Lat. r.gul.re; rog de l'o-niveau., demandez (< "étendez-vous la main"), de Lat. rog.re; et a allongé r.gio, de Gmc. r.kjan - rakjan (cf. O.N. rækja, O.E. reccan, O.H.G. giruochan, Ger. geruhen, Eng. reck). Dérivés de Lat. r.ctus incluent r.gtom, rectum, r.génts, régent, r.gim.n, r.gi.n, disr.go, (composé avec Lat. dis -, "séparément") diriger, disr.gtós, dirigent, komr.go, corriger, komr.gtós, corrigent, r.gt.r, pasteur, disr.gt.r, directeur, etc.

67. Au nord: de ner de la racine de la TARTE - au-dessous de, sous, aussi sur la gauche, d'où, "avec une orientation à l'est", nord, comme le nord est à gauche quand on fait face au soleil levant, N.tos donnant comme Gmc. nurthaz, O.N. norðr, O.E. norð; cf. Skt. narakah, Gk. enerthen, O.U. nertrak.

Originairement la TARTE avait (s) ros du kew (e), nord, northwind, cf. W.Gmc. sk.raz (cf. Goths. skura, O.N. skúr, O.S., O.H.G., O.E. sc.r, Ger. Schauer, Eng. douche), Lat. caurus, Bras. /c du c'urt' urd, Lith. .iaurus, .iaurys, .iaure, O.C.S. severu, Russ. coupez.

JE. D'autres dérivés IE pour "gauche" sont:

I.1. Indo-Europeanlaiwós, gauche, comme Gmc. laewaz (cf. SUR l.n, O.E.l.w. O.H.G. l.wes), Lat. laevus, Gk. laios, Illyr. Levo, Lith. i.laivoti, O.C.S. l.v., Russ.levyj, lewy polonais. La "gauche" anglaise est dérivée peut-être aussi de la même racine, à travers un laiwt étendu -, bien que probablement d'une source qui signifie "faible"; cf. O.E. lyft, E.Fris.luf, Du. cadran. loof, M.Du., Ger bas. luchter, luft.

Le vocabulaire allemand commun inclut Ger. liez, Du. monteur, d'O.H.G. slinc, M.Du. éclipsez-vous, apparenté à O.E. les slincan "rampent", Swe. les linka "boitent", les slinka "pendillent."

I.2. Le seujós de la TARTE, gauche, était la source pour Skr. savya, Av. haoya, Toch. -/saiwai, OCS .uj., Russ. .uj, aswy gallois.

I.3. Un sen IE reconstruit est dans l'origine de senesterós roman, gauche, sur le côté gauche, comme Lat. sinistre (en face de dexter), signifier le soutien. "la main plus lente" ou plus faible [Tucker], mais le Dollar suggère que c'est un euphémisme, suivi avec la racine de Skt. saniyan plus utile, plus avantageux."

Station thermale. izquierda, Gl.-Pt. esquerda, Cat.esquerra sont des emprunts tardifs d'ezkerra basque.

II.   Dérivés indo-européens pour "droit":

II.1. Le contraire de ner dans TARTE était probablement deks, droit, d'où Deksin. / Deksióssouth (faisant face est), Goths donnants. taíhswa, O.H.G. zeso, Lat. dexter, destrst Oscan, Umb. destrame, Gk. ......, Skr. dak.ina, Av. da.ina, Kashmiri d.ch.n, Toch. täk /, Lith. de.in., desnaya;desn OCS., Russ. ......., Gaule. Dexsiva, O.Ir. dech, deheu gallois, aube. djathtë. Les dérivés communs de latin sont des deksterós, le droit, à droite se met, d'où habile, dexter, comme, comme dans le dekstérit., dextérité, ou ambhideksterós, ambidextre.

II.2. Le dérivé habituel pour droit (dans les deux sens, direction et "ligne droite, juste") dans les langues romanes et allemandes modernes est encore fait de plus vieux r.gtós (cf. Eng. droit, Ger., Du. recht, Da.,Ni. rett, Swe. rätt, Station thermale. recto, Pt. reto), finalement d'erg de la TARTE, bien qu'un dérivé roman habituel vienne de deregtós préfixé, comme Lat. directus (cf. Fr. droit, Station thermale. derecho, Il. diritto, Pt. direito, Rom. drept, Chat. dret), et un allemand habituel est suffixé regtikós, comme Gmc. rektikhaz (cf. Ger. richtig, Da. rigtig, Ni.,Swe.riktig); aussi trouvez dans les deux, Lat. et Gmc. est adj. komregtós, correct (comme Ger.,Da. korrekt, Fr.,Du. corrigez, Station thermale. correcto, Pt. corretto).

II.3. Un autre mot habituel dans les langues slaves vient de TARTE bhew de la racine verbal (plus vieux * bheuh2), soyez, existez, grandissez, (voyez plus sur bhew) comme le zéro-niveau a réduit les suffixal forment - bhw -, comme dans le probhwós, "grandir bien ou simple", d'où bon, droit, correct, comme pr.vos slave (cf. O.Russ., O.C.S. ....., Pol. prawy, Cz.,Slk. pravý, Sr.-Cr.,Slo. pràv), Lat. probus, O.Ind. prabhú.

68. Vers le sud: raconté pour baser de Gmc. sunnon, de súnom, soleil, avec (swén-/sún-est des racines nasalisées alternatives pour TARTE s.wel) le sens de "la région du soleil", Ger. Süd, Südenare d'un Du. prononciation. O.Fr. sur, sud (Fr. sud), Sp. sur, sud - est des mots de l'emprunt de Gmc., peut-être d'O.N. suðr. Comparez Gmc. sawel / sunnon (Goths. sauil, sunno, O.N. sól, sunna, O.Eng. sigel, sunne, O.H.G. sunna) Lat. s.l, Gk. ....., Skr. s.ras, Av. hvar., Pers. -farnah -, Kamvirisu, Toch. sw.ñce/sw.ñco, aube. (h) yll, O. Pruss. saule, Lith. saul., O.C.S. slunice, O.Russ. ......., Pol. s.o.ce, butin gallois, O.Ir. súil.

69. L'Eastis la direction dans quelles les fractures du Soleil, d'aus de la TARTE, aube; cf. Gmc. austo / austraz (O.N. austr, O.E. .ast, O.H.G. .stra, Du.oost, Ger. Osten), Lat. aur.ra, auster, Gk. ...... (aurion),... (.. s), Skr. u..s, Av. u.astara, Lith. au.ra, Ltv. ausma, Russ. ...., O.Ir. usah, fáir, gwawr gallois. Pour Indo-européen Moderne nous utiliserons généralement Áustos comme Gmc. Est, et Austrós comme Gmc. De l'est (austraz) et pour Lat. auster; comme, Austror.giom, Autriche (cf. Gmc. austro+rikjan, Ger. Oesterreich), Austráli. (de Lat. Terra Austral, MIE Austr. (lís) Térs., Terre Du sud), etc.

70. À l'ouest: Wes de la racine de la tarte - est racine pour soir de la signification des mots, ouest, comme ros ouest (e) / wesperos / weskerosGmc. westraz (cf. O.N. vestr, Du. à l'ouest, Ger. À l'ouest), Gk. ....... (hesperos), Lat. vêpres, O.C.S. ve.eru, Lith. vakaras, ucher gallois, O.Ir. fescor, peut-être une forme agrandie de base de la TARTE nous -, descendre (cf. Skt. avah), et donc illuminé. "direction dans quels les ensembles du soleil."

71.  Lat. platea:courtyard, l'espace ouvert, rue générale, vient de Gk. plateia (hodos), général (chemin), fem. de p.tus, général, Gk. ......, de tige de la TARTE tressez, étendez-vous, général, à plat. Cf. Gmc. flataz; Lat. planta; Skt. prathati, Gk. pelanos, Hitt. palhi; Lith. platus, plonas; O.Ir. lethan. Été en rapport avec pl.k, être plat; cf. Gmc. flakaz (Eng. flocon), Lat. pl.c.re, Gk. plax. Les deux formes étendues de TARTE p bas. ['Pl.-un:] (de pel), plat, étendue; cf. Gmc. felthuz (Eng. champ), Lat. pl.nus, Gk. plassein, Sla. polje, etc.

IE tressent est une extension de pel de la racine de la TARTE, appartement et étendue. Comparez péltus, à plat terre, champ, comme Gmc. felthuz (cf. O.Fris. feld, O.E. feld, M.H.G. velt, Ger. Feld, Eng. présentez, même pelto finlandais, "présentez", de Proto-germanique), pl.rus, sol, terre, comme Gmc. fl.ruz (cf. O.N., O.E. flor, M.H.G. vluor, M.Du. vloer, Ger. Flur, Eng. sol) ou llawr gallois, pl.nós, appartement, niveau, égal, ordinaire, clair, de Lat. pl.nus; p.m., refilez, comme Lat. palma;pl.n.t., "divaguer", planète, comme Gk. ........, de pl.n., divaguez (< "étendez-vous), de Gk. .........; aussi pladhio du zéro-niveau, moisissure, "étendue, comme Gk. ........ (plassein), d'où plastikós (< * pladhtiko -), pládhm., - pladhia, plastós (< * pladhto -), etc. Dans Slave il y a des polís de l'o-niveau, ouvrez, et pól., terre plate générale, champ.

Le vieux territoire de la tribu de Polans (Polanie), MIE Polános, avait un nom qui est devenu l'état polonais cela dans le 10e siècle. MIE Pólisk., Pol. Polska (Eng. Pologne, "terre des Polonais"), a exprimé les deux significations et vient d'IE suffixe adjectif - isko -, comme dans le poliskós, cire, Póliskos, Polonais, f. Polisk. d.gh.s ou n. Póliskom, langue de la cire. Le nom de la tribu vient d'une source de la TARTE apparentée à perche polonaise, "présentez, champ ouvert"), de pól IE.

72. Wer de la TARTE, parlez, est la source de zéro-niveau w.dhom, mot, comme Gmc. wurdan (cf. Goths. waurd, O.N. orð, O.S., O.E., O.Fris. rédigez, Du. woord, O.H.G. wort), wérdhom du plein-niveau, verbe, de Lat. verbum (originairement "mot"), comme dans l'adwérdhiom, adverbe et pr.wérdhiom, proverbe, pr.iwérdhiom, preverb; wério, dites, parlez, comme Gk. ...... de qui werioneí., ironie, comme Gk. ........; wr.t.r, orateur public, rhéteur, comme Gk. ..... de qui wr.t.rik., rhétorique, comme Gk. ........, ou wr.mn, mot, rheme, comme Gk. ....; comparez aussi, avec le sens de parlez, commandez, consentez, appelez, appelez, allongez-vous, etc., Umb. uerfalem, Skr. vrata -, Av. urv.ta, Vieux w.rds prussien, Lith. vardas, Ltv. v.rds, vra OCS., Russ. ....., O.Ir. fordat, Hitt. ueriga.

73. Ékwos indo-européen, ékw., et k.sos, ayez aussi un autre synonyme dans Celtique et allemand. peut-être un emprunt de Gaullien., márki., jument, comme Gaule. markan, O.Ir. marc, marche galloise, Bert. marh, et Gmc. markhjon, cf. O.N. marr, O.E. mearh, aussi fem. O.S. meriha, O.N. merr, O.E. simple / myre, O.Fris. merrie, O.H.G. marah, Eng. jument, Ger. Mähre.

74. Bak de la racine de la TARTE, usagé pour "personnel", est la source pour bákolom, tringle, accompagner le bâton, comme Lat. baculum, et bákillom diminutif, personnel, bacillum, et peut-être nbakillós, imbécile, faible, faible. Aussi, pour báktrom, tringle, de Gk. ......., et son bakt.riom diminutif, bactérie, petite tringle, pour Gk. .......... Français prêtent rédige débâcle (debákol MIE.) et baguette (de Lui. bacchetta, de bacchio, dans le tour de Lat. baculum) est aussi des dérivés modernes. Comparez aussi Lith. bakstel.ti, Ltv. bakst.t, O.Ir. bacc, bach gallois.

75. Pour bhel indo-européen, allumez, clair, aussi luisez, comparez Gmc. blaik - (cf. Goths. bala, O.N. b.l, blár, bleikr, O.E. blæcern, bl.can, bl.wen, O.H.G. blecken, bleich, bl.o), Lat. flagr.re; fl.vus, Oscan Flagiúi; Flaviies, Gk. .......; ....., Skr. bharga; bh.lam, Phryg. falos, Toch. pälk / pälk, Illyr. balta, Thrac. balios, Bras. bal, O.Pruss. ballo, Lith. blagnytis, baltas, Ltv. balts, Russ. belyj, bia.y polonais, Gaule. Belenos, Ir. beltene, blár, bal gallois, blawr, aube. ballë. Donc ex. Bhaltikós indo-européen moderne, Baltique, Bhel.rús, Biélorussie, "Ruthenia Blanc", et peut-être Bhélgi. /Bhélgik., de la tribu celtique du Bhélg.s, Belgae pour les Romains.

76. Téutameans IE originairement gens, tribu; comme Gmc. theudo (cf. Goths. þiuda, O.N. þjóð, O.E. þeoð, O.H.G. diutisc, M.Du. duitsch, Eng. Hollandais, Ger. Deutsch, glace. Þýska, L.Lat. theodice, Il. tedesco), Osc. touto, Umb. totam, Illyr. teuta, O.Prus. tauto, Lith. tauta, Ltv. tauta, Gaule. teuto, O.Ir. tath; Hitt. tuzzi. Lyc. tuta. Aujourd'hui l'adjectif allemand équivalent à MIE Teutiskós est utilisé principalement pour décrire des Allemand (aussi dans un sens plus large de gens De langue allemande) et Allemagne (cf. Dan., Ni, Swe. tysk, Du. Duits, glace. Þýskur, Lat. theodisco, Il. tedesco, Rhum. tudestg, même d chinois., doitsu japonais, dogeo coréen ou Ð.c vietnamien), d'où Téutiskom, langue allemande, Teutiskoléndhom, Allemagne, d'O.H.G. Diutisklant, Ger. Deutschland.

Les dérivés finlandais et estonien sont de saksa du mot de l'emprunt, MIE Sáks.n, de L.Lat. Saxo., Saxon.s, dans le tour d'Ouest nom tribal allemand saxon, traditionnellement a regardé comme de sóksom, sakhsam allemand, "poignardez", (cf. O.E. Seaxe, O.H.G. Sahsun, Ger. Sachse), par conséquent 'Saxon'could ont voulu dire illuminé. "guerrier avec poignarde", "escrimeurs", apparenté à sók., outil coupant, scie, comme Gmc. affaissez-vous. (cf. O.E. seax, secg, O.N. sõg, Norw. affaissez-vous, Dan. sav, M.Du. saghe, Du. zaag, O.H.G. saga, Ger. Säge), de sek de la racine de la TARTE, coupe. Sek athématique., comme Lat. sec.re, donne des dérivés communs comme sékti.n, section, sekméntom, segment, enséktom, insecte, sekt.r, secteur, dissek., disséquez, etc. D'autres dérivés incluent skend, pelure de, écorchez-vous, et skends, peau, comme Gmc. skinths (cf. O.N. skinn, O.H.G. scinten, Ger. schinden, Flem. schinde); sáksom, lapidez (peut-être de "cassé-fermé morceau"), de Lat. saxum; sékit., faucille, faux, comme Gmc. segith. (cf. O.S. segasna, O.E. sigði, M.L.G. segede, M.Du. sichte, O.H.G. segensa, Ger. Sens). Comparez aussi Lat. s... n., s.k slave., s.kti (cf. O.C.S. ...., ....., O.Rus. ...., ...., Pol. si., siec., Srb.-Cro. sijecem, sijehi), O.Lith. .. sekti, i.sekt, O.Ir doescim, Ir. ésgid, Bert. lésinez, aube. shat.

77. Adjectif qu'entergnation.lís vient d'enter+gnationalis, et est un mot de l'emprunt moderne habituel (de Lat. inter+natio des termes) dans les langues romanes et allemandes, aussi bien que dans Celtique et Slave du Sud. Dans quelques langues modernes slaves, bien que les mêmes emprunts latins existent (cf. Russ. ....., ............. -, Pol. nacja, internacjonal -, etc.), le composé habituel est fait par medhjonorodhós (cf. Russ. ..... + ........, Pol. mi.dzy+narodowy, etc.) de médhjos de la TARTE, milieu et nórodhs, nation.

Énter indo-européen, entre, parmi, a donné Lat. enterrez et est trouvé en commun l'emprunt rédige enteriós, intérieur, enternós, interne et entern.lís, interne. Aussi, comparez d'autres dérivés semblables comme ro de l'ént (e), comme dans l'éntr., intime, dans, de Lat. intr., comme dans l'entroduko, introduisez, entrospeko, "regardez à l'intérieur de", introspect (voyez spek); ou éntr., à l'intérieur de, dans, de Lat. intr., comme dans l'entr du verbe., entrez, ou entra du suffixe -, intra -; aussi trouvez dans l'énterim, (avec suffixe ablatif - im) entr.nseqós (d'énterim et séqos, le long de), et entmós, intime, intime, et son entm du verbe., intimez, avec - mo - être un suffixe suprême. Les mots IE semblables incluent entós, dans, de Gk. ....., énterom, intestin, enteron, de Gk. ......., et Skr. antara -.

Les dérivés antérieurs sont dérivés finalement de racine de la TARTE en dans lequel donne Gmc. dans (nan) (cf. Goths. dans, O.N., O.Swe. I, O.E. auberge, inne, O.Fris, O.H.G. M.Du., Eng. dans), Lat. dans, Gk. .., Skr. un -, O.Pruss. en, Lith. ., Ltv. iek., O.C.S. sur -, O.Ir. dans, yn gallois -, Luw. anda.

D'autres dérivés communs incluent enerós, intérieur, plus loin dans, de Gmc. innera comparatif; Gk. et Lat. endós, intérieur dans lequel donne endostruós, appliqué, industrieux, de Lat. industrius (O.Lat. indostruus), donc éndostru., industrie, et Lat. endogénts du mot de l'emprunt, indigent. Ens étendu, dans, comme Gk. ... (eis) qui donne epensódiom, épisode, d'epi IE et ensódios, entrer, de Gk. ........ (eisodios). Ens en outre suffixe., dans, donne ensoterikós, ésotérique, et ensotropikós, esotropic, de grec ....

B. IE commun rédige pour les gens, course, hommes, nation, à part téuta, génos, homme, w.ros:

B.1. Pour rodhs du Balto-Slave, genre, sorte, genre, famille, clan et nórodhs, gens, nation. apparence au parallélisme avec gén.s et gnáti.n., comparez Lith. rasm., Ltv. rads, rasma, r... (de plus vieux rádhi.), O.C.S.,O.Russ. ...., Russ. ..., ....., Pol. ród, naród, etc. Il est jugé pour être forme de l'o-niveau de redh de la TARTE, augmentez dehors, étendez en avant, une base indo-européenne apparenté à verbe de la TARTE wr.dh, grandissez, et aussi haut, escarpé; comparez Skr. várdhati, Av. varait, aube. rit, et (douteusement) Bras. ordi, "fils", Lat. arbre, "arbre" (peut-être mais TARTE improbable * wrdh.r, peut-être meilleur MIE Lat. prêtez árb.r), Hitt. hardu. Un dérivé commun est le zéro-niveau a suffixé wrdhuós, droit, avec comp MIE. elem. wrdho -, comme Gk. .... -, Eng. ortho -.

Une préposition indo-européenne commune est reconstruite comme TARTE un., sur, comme Lat. dans - (dans quelques cas, et aussi un -), Gk. ...,..., Av ana, aussi sur, en haut, sur, comme Gmc. ana, un. (cf. Goths. ana, O.N. Á, O.E. un, sur, un, O.H.G. ana, Du. aan), et forme du Balto-Slave différente non, comme na slave (cf. O.C.S. .., Ukr.,Bul.,Russ. .., Cz.,Pol. na), O.Pruss. n., n., Lith. nuõ, Ltv. .

B.2.  Tucker suggère du même redh de la base de la TARTE qu'un rádhios romans communs, personnel, ont parlé d'une roue, poutre de lumière, comme Lat. rayon qui donne rádhi., courez, de L.Lat. radiainto Il. razza, Fr., Eng. courez, Station thermale. raza, Pt. raça. En tout cas, si originairement a raconté ou pas, les deux mots sont écrits Indo-européen Moderne à cette entrée.

B.3. Un mot allemand commun est p.gom, gens, hommes, de Gmc. folkam (cf. O.N. folklorique, O.E. folc, O.Fris. folklorique, M.Du. volc, Ger. Volk) qui est comparé habituellement avec Lith. pulkas, O.C.S. pluku, les deux croyaient pour avoir été emprunté de Proto-germanique. Il est mis en rapport avec pl.dh.s, gens, multitude, comme Lat. pl.bs, pl.b.s, et plédhuos, multitude, comme Gk. ......, tout de pel de la racine de la TARTE, remplissez, soyez plein. D'autres dérivés incluent plnós, plein, comme Gmc. fulnaz, fullaz (cf. Goths. fulls, O.N.fullr, O.E. plein, O.Fris. ful, O.H.G. fol, Ger. voll); p.io, remplissez, comme Gmc. fulljan (cf. O.S. fulljan, O.N. fylla, O.E. fyllan, O.Fris. fella, Du. vullen, Ger. füllen); pl allongé., remplissez, et pl.nós, a rempli, plein; plaús, plus, de Lat. Pl. (premier O.Lat. plous); polús de l'o-niveau, beaucoup, beaucoup, de Gk. .....; verbe pl.dhuo, soyez plein, comme dans pl.dhu.r., pléthore, de Gk. .......; adjectif pl.rós, plein, comme Gk ......; pl.i.n, plus, comme Gk. ......; ou pleistós (suprême), la plupart, comme Gk. .........

B.4.  Le populus latin, "gens", est vu habituellement comme un emprunt d'Étrusque. Il est reconstruit comme pópolos MIE, par conséquent peut-être une racine secondaire a dérivé d'o-niveau de pel -, plein, déjà vu dans folkand allemand prolos latins. Les dérivés connus sont popol.lís, public, populaire, et poplikós, public, d'O.Lat. poplicus qui a été influencé par Lat. pubis, "adulte", dans Lat. publicus, et donc aussi publikós MIE qui est un mot de l'emprunt latin commun aujourd'hui.

B.5.  Le lúdhis indo-européen, gens, est trouvé dans Gmc. liudi (cf. Goths. liudan, O.N. ljl.od, O.H.G. liut, Ger. Leute, aussi trouvé dans Ger. Lette, Eng. Lett, nom médiéval pour letton), Osc. Lúvfreís, O. Pruss. ludis, Lith. liaudis, Ltv. .audis, OCS ljud.je, Russ. ...., Pol. lud, O.Ir. luss, llysiau gallois, aube. lind. Il vient de léudh du verbe de la TARTE, montez en haut, grandissez. comparez le parallélisme avec gen.s/gnati.n, wr.dh/redh., comme Skr. rodhati, Av. raodha. Aussi, leudherós, libre, "appartenir originairement peut-être aux gens, public", comme (bien que le développement sémantique soit obscur) dans Lat. l.ber, Gk. ........., et dérivés communs comme leudher.lís, libéral, leudher., libérez, léudhert., liberté, deleudher., délivrez, etc.

B.6.  Une autre TARTE racine commune est kei, mensonge, lit, divan, bien-aimé, cher; comme kéiuom, membres d'un ménage, postérieur, O.E. h.wan; kéiuidh., mesurez de terre, ménage, peau, O.E. h.gid, h.d; kéiuis, citoyen, membre d'un ménage, Lat. c.uis, comme dans le keiuikós, civique, keiuilís, civil, ou kéiuit., ville; kéilijos, compagnon, comme Eng. ceilidh, d'O.Ir. céle; koin., tenez délicatement, de Lat. cunae; koim., mettez pour dormir, et aussi kóim., village, comme dans Gk. ..... -, ...., et borrowingkoim.t.riom commun, cimetière, de Lat. coemeterium, il de Gk. ...........; kiuós du zéro-niveau, propice, cher, comme dans Skr. .iva; kéims, personne, domestique et kéimi., ménage, domestiques domestiques, famille, comme O.C.S. ...., ......, O.Russ. ......, ......, Ukr. .i..., Bulg. ........., O.Pruss. seim.ns, Lith. .eimà, .eimýna, Ltv. sàim. Aussi, comparez Lith. kaimas, "village."

Il donne kei de la racine (d'ad+kei) (t) secondaire, résolvez, demeurez, soyez à la maison, comme dans (t) le kóimos, maison, résidence, village, de Gmc. khaimaz (cf. Goths. haims, O.N. heimr, O.E. h.m, O.Fris. ourlez, hame M.Du, O.H.G. heim) qui donne koimghórdhos, refuge, hangar, de Gmc. haimgardaz dans O.Fr. hangard; tkiso, trouvez, résolvez, les metathesized forment de Gk. .......; aussi probablement sítus suffixe Italique (de plus vieux metathesized * ktítus), emplacement, situs et situ., situez, localisez; comparez aussi Skr. k.eti, Av. .a .iti, Bras. .. m.

B.7.  Wel de la TARTE commun, la foule, cohue, est reconstruite pour wólgos MIE, gens communs, multitude, foule, comme dans Lat. uulgus, et adjectivewolg.lís, "de ou avoir rapport aux gens communs, commun, ordinaire, ordinaire", a étendu alors avec le temps comme péjoratif vulgaire; cf. Skr. varga., "division, groupez", et aussi Gk. ......, M.Bret. gwal'ch, gwala gallois.

B.8. Un autre MIE traduction de l'emprunt commune est swédhnos, bande de gens qui vivent ensemble, nation, gens, de Gk. ..... (ethnos), illuminé. les "gens d'on sont propre genre" de TARTE s (w) e réfléchi -. Comparez aussi swedhnikós des dérivés, ethnique, swédhni., ethnia, course.

B.9. Persón latin., personne, (de phersu étrusque, "masquez", et ce de Gk. ........), et famíli., famille, ménage, de Lat. fámolos, "domestique", les deux (comparez le parallélisme avec paire du Balto-Slave keims / kéimi.) d'étymologie incertaine, sont laissés comme mots de l'emprunt dans Indo-européen Moderne.

78. MIE r.gios, roi, r.gi., damez, est des emprunts allemands de Celtique, dans le tour dérivé de TARTE a allongé r.g bas, un mot indo-européen commun pour le roi tribal. Les emprunt-traductions latines correctes arer.gs, roi, r.g.n., damez (peut-être suffixé premier r.g.), pendant que ceux de sanskrit sont r.g.n, raja, r.genis, rani; R.giom indo-européen est la source celtique pour royaume de la signification des mots allemand, royaume, empire, comme Gmc. rikjam (cf. O.N. r.ki, O.E. r.ce, O.H.G. rihhi, Ger. Reich).

Anglais "dament", d'O.E. cwen, "reine, souverain féminin", aussi "femme, que la femme" vient de Gmc. kweniz, ablaut différent de kwen. (source d'À la mode.Eng. quean), de cén de la TARTE., "femme, femme", infra du vide. Les langues indo-européennes ont habituellement les mêmes mots pour Roi et Dament, en utilisant le marqueur féminin quand nécessaire. Cependant, anglais avait un changement de la signification (et phonétique) qui pourrait être utilisé dans Indo-européen Moderne. comme avec "Chancelier" au lieu de "Premier ministre" pour l'Allemagne et l'Autriche. se souvenir de cette particularité de la langue anglaise, d'où parenthèse Cénisbetween.

79. Pour w.ros, homme, homme libre, comme dans Eng. être-loup. Comparez Gmc. weraz (cf. Goths. wair, O.E. wer, O.N. verr), Lat. uir, Umb. viru, Skr v.ra, Av. v.ra, Toch. wir, O.Pruss. wirs, Lith. vyras, Ltv. v.rs, Gaule. uiro -, O.Ir. fer, Wel. gwr. Les dérivés habituels sont w.r.lís, viril, w.rt.ts, virilité, excellence, bonté, vertu, w.rtuónts (ós), vertueux, habile, de grande valeur, virtuose, dekmw.r.s, decemvir (ordre de dix hommes) ou komw.ri., "hommes ensemble", curia, cour. Il est trouvé dans le wirw.qos composé (de wíros raccourci), loup-garou, comme Gmc. wer-wulfaz (cf. O.E. werewulf, O.H.G. loup-garou, M.Du. weerwolf, Swed. varulf, et aussi Frank. wer-wulf dans O.Fr. garoul, alors leu-garoul, de Lat. lupus, il de w.qos, d'où Eng. loup-garou, illuminé. "loup-loup-garou"), et wíralts, monde, v.i.

IE commun rédige pour homme, mâle, à part mánus:

JE. Le mot roman commun vient de Lat. hom. (cf. Fr. homme, Il. uomo, Station thermale. hombre, Pt. homem, Chat. maison), dans le tour d'IE (dh) ghóm.n, homme, "habitant de la terre", être humain, (cf. Bras. ......., dghamard, "homme") qui donne ghomonidós des dérivés, hominid, faible. ghomonkolós, homuncule, ghomok.diom, homicide, ghomon.ti.n, hommage (d'Oc. homenatge), a raconté attentivement avec (dh) gh.m.nos, être humain, genre, humain, les deux apparenté avec ghómos MIE (dh), monde, terre, sol, comme Lat. humus, (cf. Osc. huntruis, Umb. hondomu) lequel donne des dérivés communs comme ghomilís, bas, inférieur, humble, et ghomílit., humilité, ghomili., humiliez, eksghom., exhumez, enghom., inhumez, transghom., bétail du mouvement de façon saisonnière, comme dans Eng. transhumance. Ils viennent tous de dhghem de la racine de la TARTE, monde, (comme dans Pers. zam.n, zamin Kashmiri) qui donne IE dhgh.m commun [gho:m] (gen. dhghmós [ghm.' os]), monde, et d'autres dérivés comme (dh) gh..n ['ghm.-sur], équipez, "habitant de la terre", dans Gmc. gum.n (cf. Goths. guma, O.N. gumi, O.E. guma, O.H.G. gomo, trouvé dans Eng. marié, Ger. Bräutigam; À la mode. Eng. les groomwas ont changé 16e c. par étymologie folklorique après marié "garçon, jeune homme", il d'une source apparenté à verbe grandissez); metathesized comme ghdh.m, Gk. ...., comme dans autoghdh.m, autochthon; ghm du zéro-niveau (dh) [ghm.], sur la terre, comme Gk. ....., comme dans ghmlé.n, caméléon ("terre-lion", lézard, lé.nis d'origine sémite adoptée en grec et le latin), ghmm.l.n, camomille ("terre-melon", de Lat. mot de l'emprunt m.l.n, melon, court pour Gk. m.lo-pepp.n, "pomme-gourde"); les mots Balto-slaves communs viennent de ghémi IE (dh)., terre, monde, comme O.Pruss. même, Lith. .em., Ltv. zeme, O.Russ. zemi, Pol. ziemia, Cz. zem., aussi trouvez comme zemlja, dans O.C.S., Russ., Srb.-Cro., etc. D'autres dérivés IE communs sont Skr. k.a, Phryg. zemelo;zamelon, Thrac. semele; semela, Toch. tkam / ke., O.Ir. du, dyn gallois, aube. dhè, Osset. zæxx; Hitt. tekan, Luw.dakam-,

I.1. Mots communs pour monde, débarquez, à part dhgh.m, pol., et léndhom:

I.1.a. Le "monde" allemand vient de wíralts, "vie ou âge d'homme", comme Gmc. wirald - (cf. O.N. verold, O.S. werold, O.E. woruld, worold, O.Fris. warld, O.H.G. weralt, Du. wereld, Ger. Trépointe, Sca. jord), un composé de w.ros, équipez, (cf. Adam hébreu, "homme" et adamah, "monde" et le contraire avec Lat. hom., "habitant de la terre", déjà vu), et altós, grand en haut, d'où vieux, adulte et grand, haut, profond, comme Gmc. althaz (cf. (cf. Goths. alþeis, O.E. eald, O.Fris. ald, Du. oud, Ger. alt), Lat. altos, comme dans l'eksalt., exaltez, ou altit..d .n, altitude.

Adjectivealtós vient d'al de la racine de la TARTE, grandissez, nourrissez, trouvez dans l'almós, en élevant, nourrir (comme dans l'alm. m.t.r, "mère nourrissante", université); Alo du verbe latin, nourrissez de qui pres.part. alomnós, beingnourished (de qui álomnos, enfant adopté, pas-enfant, ancien élève, étudiant), alobhilís, alible, aloméntom, aliment, aussi bien qu'adalesko du composé suffixe, grandissez, comme dans l'adaleskénts, adolescent ou partie. adaltós, grand en haut, adulte; suffixé apaleio composé causatif, retardez l'augmentation de, abolissez; pr.l.s composé (de pour-al.s), progéniture; et aldho étendu, allez bien, comme dans Gk. ......

Les IE adéquats rédigent pour vieux est senós, cf. Goths. sineigs, SUR sina, Lat. senex, Gk. henos, Skr. sana, Av. hana, Bras. hin, Lith. senas, Ltv. sens, Gaule. Senognatus, O.Ir. sen, hyn gallois. Il est trouvé (de Lat. senex, MIE sén.ks, un aîné), dans sen.tus, sénat, senilís, sénile, seniós, plus vieux, comme dans sénios latin, aîné, señor, signore, Monsieur, père, sen.kt.ts, senectitude, etc. Un fem commun. sén.is a certifié comme Gk. hén., Skr. .an .-, Lith. senà, Lyc. lada.

I.1.b. Terra roman, le "monde, Terre", vient de térs de la TARTE., "terre sèche", dans les dérivés comme ters.nos, terrain, suptersaniós, souterrain, tersaqiós (de térsa+áqa), terraqué, etc. Ters de la TARTE, séchez qui donne t.stus, sécheresse, soif, Gmc. thurstuz (cf. O.E. thurst), trskós, séché, comme Gmc. thurskaz (cf. O.N. thorskr, O.E. cusk); tors., séchez, desséchez, brûlez, comme Lat. torr.re, aussi comme mot de l'emprunt dans le torsénts, torrent ou torsidós, torride, p.part. torstós, brûlé, dans torst., grillez, et torstát du nom.; zéro-niveau t.sos, tarsos, cadre de vannerie (originairement pour sécher du fromage), d'où une surface plate, plante du pied, cheville, Gk. .......

I.1.c. Le "monde" anglais vient de Gmc. erth. (cf. Goths. airþa, O.N. jörð, O.E. eorðe, M.Du. eerde, O.H.G. erda), d'où ert MIE., "fondez, souillez, terre sèche", aussi utilisée pour le "monde physique", de (par opposition aux cieux ou la pègre) er de la racine de la TARTE -.

I.1.d. Mundus latin, "univers, monde", illuminé. "nettoyez, élégant" est d'origine inconnue, d'où wod de l'emprunt móndos MIE qui donne mond.nós, mondain, qui "appartient au monde", (comme distinct de l'Église) usagé comme une traduction de Gk. ...... (MIE prêtent kósmos du mot) dans son sens Pythagoricien de "l'univers physique" (le sens original du Gk. le mot était "ordre, arrangement ordonné"). L. le mundusalso a été utilisé des "ornements d'une femme, habille" et est été en rapport avec l'adj. mondós, nettoyez, élégant.

Le proto-Indo-Européen avait un wes de la racine commun, pour robe, vêtir, comparez Gmc. wazjan (cf. Goths. gawasjan, O.N. verja, O.E. werian, O.H.G. werian, Eng. portez, Ger. Wehr), Lat. uestire, Gk. hennynai, Skr. vaste, Av. vaste., Toch. wäs / wäs, Bras. zgenum / zkenum, gwisgo gallois, Bert. gwiska, aube. vesh; Hittite wa.. Les dérivés latins communs sont wéstis, vêtement, indewestio, que les devest, enwestio, investissent, transwestio.

I.1.e. G grec., monde, (m..., f. ....) est aussi d'origine inconnue et est parti donc dans les dérivés, comme ge..

I.1.f. La "terre" anglaise vient de Gmc. grunduz (cf. O.N. grunn, O.E. grund, O.Fris. grund, Du. grond, Ger. Grund), d'origine inconnue, grúndus MIE, fondation, terre, surface du monde, place originairement profonde, touche le fond, fond de la mer.

I.2. La "mariée" anglaise vient de Gmc. bruthiz (cf. Goths. bruþs, O.E. bryd, O.Fris. breid, Du. bruid, O.H.G. brut, et de ceci dans Mi.Lat. bruta, et de ceci dans O.Fr. bruy), peut-être originairement belle-fille, plus tard aussi "femme qui se marie", mariée. Dans la coutume IE ancienne, la femme mariée est allée vivre avec la famille de son mari, donc la seule "femme du jeune marié" dans un tel ménage serait la belle-fille. Reconstruit comme bhrútis MIE, il est dérivé probablement comme zéro-niveau de bhrew du verbe de la TARTE, le furoncle, bulle, est en effervescence, brûlez, avec dérivés qui font référence à cuire et préparer, comme bhrútom, bouillon, de Gmc. brutham (cf. O.E. broþ, V.Lat. brodum). D'autres dérivés incluent bhréuwo étendu, infusion, comme Gmc. breuwan (cf. O.N. brugga, O.E. breowan, O.Fris. briuwa, M.Du. brouwen); bhréutom, nourriture cuite, pain levé, comme Gmc. brautham (O.E. br.ad, O.N. brot, Dan. brød, Ger. Brot); la variante a allongé bhr.to, chauffez, o-niveau donnant bhr.t dénominatif., "un chauffage", éclore, en élevant de jeune, couvez, comme Gmc. br.d., et verbe bhr.tio, arrière jeune, élevez, comme Gmc. br.djan, chair du rôti, ou bhr.t.n, chair du rôti, comme Gmc. br.d.n (cf. O.H.G. br.to, O.Fr. braon); bhrés., charbon brûlant, cendre ardente, d'où (d'O.Fr. brese) braisez, brise, braze;bhérm.n, levure, comme Gmc. berm.n (cf. O.E. beorma, M.L.G. barm, Du. accotement), ou bherméntom en outre suffixe, levure, ferment, comme Lat. fermentum; bherw étendu., bout ou fermente, comme Lat. feru.re, comme dans le bherwénts, fervent, bherw.r, la ferveur, eghbherwesko, est en effervescence, etc.; et, comme mots très archaïques pour source, comparez bhrún.n, comme Gmc. brunnon, et bhr.wr suffixe, comme Gk. ....., comme dans le bhrewtikós, phréatique. D'un bher de la racine de la TARTE original - est aussi Skr. bhurati, Gk. phurd.n-migd.n, Gaule. Vober., O.Ir. bréo, M.Ir. berbaim, beru gallois, aube. burmë, et aussi probablement a allongé bhr., sentez, respirez de qui bhr.tos, odeur, exhalation, souffle, comme Gmc. br.thaz (cf. SUR bráðr, O.E. br.þ, O.H.G. br.dam, Ger. Brodem).

II.  Une forme presque restreinte à Ouest allemand est koirós, grisonnez, d'où "gris", vénérable, vieux, comme Gmc. khairaz (cf. O.E. h.r, O.H.G. son, comp. herro, "noble", Ger. Herr, Du. heer, kóireros MIE), de koi de la TARTE, éclat.

III. Une forme grecque vient d'IE * h2ner, équipez, avec sens de base de vigoureux, vital, fort, comme dans (a) n.r, Gk. .... (an.r), et zéro-niveau dans composés comme anr -, andro -, - anros, - androus, "avoir des hommes", - anri., - andry, etc

IV. Hindustani .dm. (l'hindi: ...., L'Ourdou ....), de Persan... il d'arabe ...., aussi trouvez dans adam turc, cf. ... (adam) qui est l'origine du nom Biblique Adam.

V.    Une forme curieuse est b.rbat roumain (bhardhátos MIE), "barbu", de Lat. barba, de farba Italique (cf. Barfa celtique, comme dans barf gallois), une forme du metathesized de bhárdh de la TARTE., barbe, certifiée dans les dialectes européens. Comparez Gmc. barde. (aussi "hachette, broadax", cf. O.H.G. barta, comme dans l'halmbarta, dans M.Fr. hallebarde, Eng. hallebarde), O.Pruss. bordus, Lith. barzdà, Ltv. barzda, b..rda, O.C.S. ....., Russ. ......, Broda polonais. La "barbe" anglaise vient de bhárdhos, Gmc. bardaz (cf. Goths. barres, O.N. barðr, O.E. barbe, M.Du. baert, O.H.G. bart),

80.    Dwenós, bon (< "utile, effectif, actif"), comme Lat. prime, vient de rosée de la TARTE, faites, exécutez, faveur du spectacle; aussi, formdwén adverbial., bien, comme dans dwen.déikti.n, bénédiction, dwen.dhakt.r, bienfaiteur, etc.; dwenelós diminutif, beau, joli, fin, comme Lat. bellus; dw.io, faites bienheureux, comme Lat. be.re, dans dw.iatós, bienheureux, dw.iatidhak., betify, etc.; aussi peut-être mais improbable apparenté à dunamikós, dynamique (de dúnamis, Gk. ......., force). Le mot allemand pour bon est g.daz (cf. O.Eng.g.d, O.N. g.ðr, Du. goed, O.Ger. guot, gigat, Goths. g.þs, gadilings, Ger. étripez, gätlich), de gh.dhós indo-européen Moderne qui vient de ghedh de la racine de la TARTE, unir, joignez, crise. Comparez Skr. gadhjas, Lith. guõdas, Ltv. se balade, gùods, aube. ngeh, ngae, O.C.S. dieu., Russ ...., gody polonais, Toch. k.tk /k.tk.

81. Áutom, auto, est un diminutif d'automóghwibhili, automobile, de Gk .... - soi-même, on est propre, (dans le tour de ....., soi-même, même, d'au IE) et meghw de la TARTE, bougez, dans le moghw., cf. Lat. mou.re (cf. aussi Lat. uoue. < * woghw-.j.), Hitt. mugawar; il est reconstruit habituellement comme de miaulement de la TARTE, le mouvement, comme motós du nom du zéro-niveau de la TARTE, a bougé, mouvement, (cf. Lat. motus, Gk. ameusasthai, amuno, Skt. -muta, mivati, Lith. mauti, etc.). Les mots que k.sos (ou kárros) et k.som (ou kárrom), de Celtique et parent latin (dans le tour de kers de la TARTE, course) avec voiture anglaise Moderne, veulent dire dans charriot indo-européen Moderne, charrette, wagon, "véhicule originairement à roues."

Pour kers de la TARTE, comparez krso du zéro-niveau, course, comme Lat. currere, donner des dérivés modernes comme k.sos, cours, krsénts, courant, krs.r, le curseur, komkrso, coïncide, komk.sos, les concurso, diskrso, s'imaginent, disk.sos, discours, eksk.si.n, l'excursion, enkrso, encourt, enterkrso, mélangez avec, enterk.sos, une course entre, l'interposition, obhkrso, se produit, rekrso, reproduisez-vous, etc.; k.sos, ou comme kárros du mot de l'emprunt, wagon à deux roues, dérivés donnants comme krsári., carrière, krsik., portez, chargez, diskrsik., déchargez, krsikatós. (ou karikatúr., d'italien), etc., et krspéntom, voiture à deux roues de qui krspent.sios, charpentier. Voyez aussi un parent allemand possible k.sos, cheval.

82. TARTE par être la racine pour particules et signification des mots "avancez, à travers", et une grande gamme de sens étendus tel que "devant, avant, tôt, en premier, chef, vers, contre, proche, à, autour." Les dérivés incluent péri, Gmc. fer -, loin - (cf. Eng. pour -, Du.,Ger. ver -) qui est utilisé comme préfixe intensif qui dénote destruction, renversement ou achèvement; son superlatif est par (e) ro, plus loin loin, loin, comme Gmc. ra du fer (e) (cf. O.N. fjarre, O.E. feorr, Du. ver, Ger. fougère); par, par -, à travers, pour, comme Lat. par; péri, autour, proche, au delà de, sur, comme Gk. ...., Skr. pari, O.Iran. pari;per -, autour, encore, comme Slave par -. Aussi, pr du zéro-niveau, avant, dans, Gmc. entartrez-vous, comme Eng. for;prt, avancé, comme Gmc. furth, Eng. en avant; p.tero, plus loin loin, Gmc. furthera, Eng. plus loin; pr, por, en avant, avancé, comme Lat. por -; p.s.d, avancé, parget, comme Lat. porr.; prmós, Gmc. fruma / furma, Eng. fondateur; prmistós, premier, Gmc. frumista / furmista;pristós, en premier, premier, Gmc. furista; prówari., "partie avancée d'un bateau", proue, de Gk. .....; en premier, prowtós premier, comme Gk. .....; p.a, avant, antérieur, comme Gmc. fura; pára, à côté de, alongsideof, au-delà, comme Gk. ....; pr., avancé, loin de, comme Gmc. fra; prómo, de, comme Gmc. fram;pr.w., dame, Gmc. fr.w., de prówom, seigneur, Gmc. frawan; pr.wós, vrai, comme pravu;pro slave, avant, pour, au lieu, comme Lat. pour; pronos, s'appuyer, avancé, comme Lat. pronus; proqe, proche, comme Lat. prope; proqinqós, proche, comme Lat. smós du propinquus;proq (i), plus proche, comme Lat. proximus, comme dans l'adproqsm du verbe., approximatif; probhwós (bhw-o -, grandissez, de bhew de la racine de la TARTE), grandir bien ou simple, droit, bon, vertueux, comme Lat. probus; pour, avant, en avant, devant, avancé, comme Gk. ..., Skr. pra -; proteros, avant, organisez, comme Gk. ........; (p) ro, préfixe intensif comme ro celtique; étendu forme pr.i, prei, avant, comme Lat. prae; préijos, précédent, plus haut, supérieur, comme Lat. antérieur; preiwós, sélectionnez, seul ("être debout devant", "isolé d'autres"), comme Lat. priuus, comme dans le preiwtós, privé; peut-être * propreiwós, mais triós du soutien (a) plus possible, on est propre, particulier, comme Lat. proprius; en premier, preismós premier, comme Lat. pr.mus;préismkaps (de preismós+kaps), chef, chef, empereur, comme Lat. pr.nceps (analogue à Ger. fürsten, de la même source comme Eng. en premier); preistanós, organisez, plus tôt, comme Lat. pr.stinus; préscus, homme vieux, vieux, (cu -, "aller", de verbe c., entrain) comme dans Gk. .......; próti / professionnels, contre, vers, proche, à, comme Gk. ..... D'autres dérivés incluent Skr. pr., Lith. par, pour, Hitt. par.

Pour IE c., allez, venez, et cem, venez, comparez Gmc. kuman (cf. Goths. quiman, O.E. cuman, Ger. kommen, Eng. venez), comme dans le bhicem, devenez, comme Gmc. bikuman (d'ámbhi); cém.n, "il qui vient", l'invité, dans welcém.n, accueille, "un invité désirable", comme (de wel de la TARTE, souhait, volonté) Gmc. wilkum.n; cemio suffixe, venez, comme Lat. uen.re, dans l'adcemio, advene, adcémtos, venue, adcemtós., aventurez-vous, adcemt., l'avenue, kikromcemio, circonvient, komtr.cemio, enfreignez, komcemio, convoquez, komcémtos, couvent, komcémti.n, convention, ekcémtos, événement, ekcemtu.lís, éventuel, entercemio, intervenez, encemio, inventez, encemtósiom, l'inventaire, pr.icemio, prévient, procemio, venez de, recemio, retour, supcemio, souvenir, supcémti.n, que les subventio, supercemio, surviennent; cmio suffixe, comme Gk. bainein, entrain, promenade, pas, avec cátis, base, une marche, pas, base, et - catos, aller, et - chat., suffixe de l'agential, "un qui va ou pas, un qui est basé", comme dans l'akrocát., acrobate, comme Gk. ........., anacátis, diacátis, acáti., diacmio, allez à travers, dans le diacát., diabète; aussi c.m., marchez, asseyez-vous, plate-forme levé, comme Gk b.ma.

De wel de la TARTE, le souhait, volonté, est io du wel (l) des dérivés, désir, comme Gmc. jan du wil (l) (cf. Goths. wiljan, O.S.willian, O.N. vilja, O.E. wyllan, O.Fris. willa, O.H.G. wellan, Du. willen, Ger. wollen), aussi wéli., désir, volonté, pouvoir, comme Gmc. wilj.n, et wél., bien-être, richesse, richesse, comme Gmc. wel.n; wolio de l'o-niveau, choisissez, comme Gmc. waljan (cf. Goths. waljan, Ger. wählen), aussi wolós, bon, bien, comme Frank. walaz, dans wol., prenez-le facile, réjouissez-vous, comme Frank.Lat. ual.re (alors O.Fr. galer), comme dans wol.nts, vaillant, aussi de wolop franc., galopez, rossez, d'O.Fr. galoper (O.N.Fr. waloper); de wel de la forme de base (l) o, souhait, désir, comme Lat. uelle (o-niveau de la tige présent Lat. uol -), comme dans le weleit., velléité, wolíti.n, volonté, wolont.siós, volontaire, dwen.wolénts, bienveillant, maliwolénti., malveillance; probablement welpís de l'adjetive étendu, vouloir, dans le wólup de l'adverbe, avec plaisir, dans wolúpt., plaisir, comme Lat. uolupt.s, dans woluptuónts (ós), voluptueux. Comparez aussi Gk. elpis, Skt. v.noti, varya., varanam, Av. verenav -, Lith. velyti, O.C.S. voljo, voliti "volonté", et veljo, veleti", ordre", gwell gallois.

83. Épi indo-européen, ópi, proche, à, contre, est la base pour op (et op du prefixal réduit -), "avant, à, contre", comme Lat. ob, ob -, aussi "sur", comme O.C.S. ob; epi, "sur, sur, à", comme Gk. ..., ou opisten, "derrière, au dos", comme Gk. opisthen; pi du zéro-niveau, sur, dans Gk. piezein (voyez sed); et ops, supplémentaire sur le côté, avec, comme ópsom, condiment, nourriture cuite, comme dans l'opsóniom, provision, comme Gk. ........

84. Ánt de la racine proto-Indo-européen, le devant, front, avait un ánti dérivé commun, contre, et aussi devant, avant, fin; ántia, fin, limite, comme Gmc. andja (cf. Goths. et, O.N. endir, O.E. ende, O.Fris. enda, O.H.G. endi); Lat. première mise, comme dans l'antiénts, vieillard, antiriós, antérieur, etc.; enantios, contraire, comme Gk. ........; antiqós, "paraître avant, avoir l'aspect antérieur", fondateur (dans le composé avec oq de la TARTE -, voyez), antiquité, comme Lat. antiquus;.ti, loin de, jusqu'à, à, comme Gmc. und;ántos, fin, comme Skr. antah. D'autres dérivés IE certifiés sont Osc. fourmi, Toch. .nt / .nte, Lith. fourmi, O.Ir. étan, Hitt. .anta, Luw. hantili, Lyc. xñtawata.

La particule précédente construit un composé commun, probablement un pluriel (voyez la déclinaison plurielle), ánt-bhi, "des deux côtés", ámbhi de la TARTE donnant (plus tôt * h2n.-bhi), autour, comme Gk. ...., les deux, bothsides qui donne ambhícios, amphibie, comme Gk ........, ou ambhithéatrom, amphithéâtre, de Lat amphitheatrum, il de Gk. ...........; Ambhi MIE, ambh, "autour, au sujet de", comme en latin, donne ambhol., allez au sujet de, marchez, ambulate, ambhol.nti., ambulance, pr.iambholós, marcher devant, pr.iámbholom, préambule; aussi, Gmc umbi (cf. O.N. um, umb, O.E. bi, soyez, ymbe, Du. bij, O.H.G. umbi, bi, Ger. um, bei, Eng. par, mais); de Celtique, ambhágtos, embassador, sevant, vassal et ambhágti., ambassade, de Lat. ambactos, de Celte. actos de l'amb (i). Aussi, dans d'autres langues IE, Skr. abhita., Av. aiwito, aibi, O.Pers. abiy, Toch. .mpi, Lith. abu, O.C.S. oba, Gaule. ambi -, O.Ir. imb -, Ir. um, Gallois est.

85. Annonce de la TARTE, à, proche, à, vers, par, donne Gmc. à (cf. O.N., Goths. à, O.E. æt, O.Fris. et, O.H.G. az), Lat. annonce, Osc. adpúd, Umb. un., Skr. adhi, Phryg. addaket, Gaule. annonce, O.Ir. annonce, Gallois ajoute, et Vieillard addai macédonien.

86. Comparez pour al de la racine de la TARTE, au delà de, comme dans l'olse -, olsos, comme O.Lat. ollus, ols qui donne olteriós, ultérieur, oltmós, dernier, oltm., ultime, etc. Aussi, formes suffixe avec adj. comp. -tero -, alterós, et anterós alternatif, "l'autre de deux", seconde, autre, cf. Lat. changez, adulter.re, Gmc. antharaz (Goths. anþar, O.S. athar, O.N. annarr, O.E. oþer, Ger. ander), Skr. antara., Lith. antras, voyez dwo. D'autres dérivés sont des aliós, alnós, autrement, autrement, "autre de plus de deux", aussi bien qu'alienós, alenós, étranger, étranger; comparez Gmc. aljaz (Goths. aljis, O.N. allr, elligar, O.E. elles, el-lende, O.H.G. tout, eli-lenti), Lat. alius, ali.nus, Osc. allo, Gk. ....., Skr. anja, ára.a, Av. anja -, airj., O.Pers. .rija, Toch. Alje, .lak / allek, Phryg. alu -, Bras. soyez souffrant, Gaule. alla, O.Ir. oll, les ailes, allan gallois, sont souffrant; Lyd. a.a., probablement Hitt. uli -, alu.

Comparez aussi MIE appelle alienós, étranger, mais l'emprunt rédige Ariánom (de TARTE gen.pl. Alienóm), Iran, et Arianós (de TARTE Alienós), iranien, aussi 'aryan', de Skr. .rja., "noble, honorable, respectable", le nom qui Sanskrit-parle des envahisseurs d'Inde s'est donnés dans les textes anciens, en "appartenant à originairement l'hospitalier" d'O.Ind. arjas, álios de la TARTE, seigneur, seigneur hospitalier, "protéger le fromaliós plus étrange" originairement, étranger. Persans anciens leur ont donné le même nom (cf. O.Pers. arija -, Pahlavi.ry.n, Parthian ary.n); dans le temps d'Ardashir .r .n (de gen Avestan. pl. Ary.n.m) a retenu cette signification, en dénotant les gens plutôt que l'état.

87. Le de de la TARTE est la base de prépositions différentes et adverbes; comme, l'o-niveau a allongé d., à, vers, montant, Gmc. t. (cf. O.S., O.Fris.to, O.E. t., Du. aussi, O.H.G. zuo, zeGer. zu); q.mdo composé (de qo), comme quando;de Italique, de, hors de, comme deterós, et deteri.s, pire qui donne deterios., détériorez-vous. Aussi, comparez Lat. donec, Gk. suffixe - de, Lith. da -, O.C.S. faites, d celtique., O.Ir. faites.

88.     Kom de la préposition, à côté de, proche, par, avec, est certifié comme cum latin (O.Lat. com), co -, Slave (cf. O.C.S. k., Russ. .,..,.. -, O.Pol. k, ku), aussi Gk. kata, Hitt. katta (< zéro-niveau km-ta), dans allemand comme ga du préfixe participial, collectif et intensif - (cf. Goths., O.H.G. ga -, O.N. G -, O.E. ge -), "ensemble, avec", aussi marqueur du participe passé, et dans kom celtique -, O.Ir.cét, inclinaison / gan galloise. D'autres dérivés incluent kómtr latin., contre, en face de, comme komtr.siós, contraire; aussi, comparez IE reconstruit habituellement * ksun, comme Gk. ... qui est jugé un greek-psi substrate (Villar) de kom, aussi dans le komiós du metathesized, commun, partagé, comme Gk. ......, d'où Komi., Koine, de Gk. ...... Aussi, le - m est perdu habituellement dans les dernières syllabes avant voyelle (comme dans métrique), cf. Lat. aduertere de l'animum > animaduertere. Dans Indo-européen Moderne, le - mis toujours écrit, bien qu'il puisse être prononcé sans lui. 

89. Pour eghs de la TARTE, dehors, et eks de la forme différent, comparez Lat. ex, Oscan eh -, ehe Umbrian -, Gk. eks, le Vieux Prussien est, Lith. i., i., Ltv est, iz, O.C.S. iz, iz., est, Russ. iz, Gaule. ex -, O.Ir. âne, gallois un, aube. jashtë. Pour composés verbaux trouvés dans les langues différentes, comparez bhero de l'ek, portez dehors (de bher, portez), cf. Gk. .. - ...., Lat. ef-fer., O.Ir. comme-biur, ou eksei, sortez, cf (d', entrain). Gk. .. - ...., Lat. ex-e., Lith. i.-ei.ti, O.C.S. iz-iti. Les dérivés incluent eks, eks -, hors de, loin de, comme Lat. ex, ex -; eks, ek, hors de, de, comme Gk. ex, ek, comme dans l'ekso -, exo -, eksotikós, exotique, eksoterikós, exotérique, komekdok., synecdocha (voyez dek), de Gk. .........; suffixé ekstrós différent comparatif, extérieur (ekstr féminin., à l'extérieur), comme dans ekstr.niós, extrange, ekstrnós, ekstriós, extérieur, ekstrn.lis, externe, etc; ekstmós, le plus à l'extérieur, extrême (- mo - fonctionner comme suprême, voyez comparaison d'adjectifs), cf. entmós, mais aussi ekstr.mós, comme Lat. extr.mus; eghskmtós, le plus à l'extérieur, dernier, Gk. ......., comme dans l'eghskmtologí., eschatology; Eks celtique, dehors (de), ou iz du Balto-Slave, de, hors de.

Pour dek de la TARTE, prenez, acceptez, comparez dek., va (de "soyez acceptable"), Lat. dec.re, comme dans le dekénts, décent; suffixé dok de l'o-niveau causatif., enseignez (de "cause accepter"), comme Lat. docere, comme dans dokénts des dérivés, dokilís, docile, dokt.r, doktrín., dokoméntos, etc.; doko, paraissez, paraissez, pensez (de "cause accepter ou soit accepté"), comme dans le dókmn, dogme, dokmntikós, dogmatique, doktologí., doxologie (de jambe), parádoktos, être en conflit avec attente, comme Gk. ......... (de para -, à côté de, voyez par) comme dans le parádoktom, paradoxe, comme Lat. paradoxum, ou wrdhodoktí. (voyez wrdho -, tout droit), orthodoxie, wrdhódoktos, orthodoxe, comme Gk. .........; forme suffixée dék.s, grâce, ornement, comme Lat. decus, decoris et dekos des emprunts., décorez, dek.s, bienséance, élégance, beauté, dekosós, bienséant; les deknós, digne, méritoire, approprié, daignent, déknit., dignité, komdeknós, adéquat, deknidhak., donnez de la dignité, disdekn., dédaignez, endekn., indign, endekn.nts, indigné; didksko redoublé, apprenez, Lat. discere, comme dans skípolos du di (dk) des emprunts, disciple, skiplín du di (dk)., discipline; Les mots grecs incluent pandékt.s, comme Gk. ........., ekdeko, comprenez, komekdeko, prenez sur une part de, comme Gk. ............., et komekdok., synecdoque, comme Gk. .........; aussi, dókos du suffixe de l'o-niveau, poutre, support, comme Gk. ....., dans le dwiplodókos, diplodocus (voyez dwo).

90. Pour upo de la TARTE, sous, en haut de sous, sur, comparez Gmc. upp (cf. Goths. iup, O.E. en haut, uppe, O.H.G. uf, M.L.G. en haut, Ger. auf); uponos, "mettez ou installez-vous, ouvrez, comme Gmc. upanaz (cf. O.N. opinn, O.E. ouvrez, O.H.G. offan, Swed. öppen, Dan. aaben, O.Fris. epen); fréquemment, upt suffixe (o) comme Gmc. uft (a) (cf. Goths. ufta, O.N. optez, O.Fris. ofta, Dan. ofte, Ger. souvent); la variante soupe, comme Lat. remplacez, dans le súpter, secrètement, comme Lat. subter, et súpo, comme Gk. ... -; upso différent (cf. aussi Hitt. upzi), comme úpsos grec, hauteur, sommet; d'upo-sto composé - (pour st - voyez st.), "un qui se trouve au-dessous", domestique, jeune homme, comme Cel. wasso -, dans V.Lat. uassus, d'où upóstos MIE, vassal;úpolos, opale, Skr. upala., différent d'uperós, inférieur, comme Skr. upara - (d'upo, Skr. upa, "au-dessous de"), plus tard a emprunté comme Gk. opallios, Lat. opalus. Comparez Gmc. upp, Ita. sous / soupez, Gk. hupo, Ind.-Ira. upa, Toch. /spe, Bal.-Sla. po, Cel. wo (cf. Gaule. Vo -, O.Ir. fo, entrain gallois).

91.  Pour TARTE - w., ou, cf. Lat.ue, Gk. ..., O.Ind.,Ira. v., Toch. wa-t / papa-t, Cel. ue, O.Ir. [n] ó, [n] ú, gallois [ne -] u.

92. Bhábh de la TARTE., fève, fève générale, comme Lat. faba, O.Pruss. babo, Russ. ..., Pol. bób, ffâen gallois, aube. bathë; aussi différent forme bháun., comme Gmc. baun. (cf. O.N. baun, O.E. b.an, O.H.G. bona, Ger. Bohne), et bhákos, lentille, comme Gk. ......

93. Snéich indo-européen, neige (et snéichs du nom, neige), comme Skr. sn.ha, Av. sna..a, Toch. .iñcatstse, O.Pruss. snaygis, Lith. sniegas, Ltv. sniegs, O.C.S. snegu, Russ. ...., .nieg polonais, O.Ir. snechta, nyf gallois. D'autres dérivés sont snóichos de l'o-niveau, comme Gmc. snaiwaz (cf. Goths. snaiws, O.N. snjór, O.E. sn.w, O.S., O.H.G. sneo, O.Fris., M.L.G. sne, M.Du. snee, Du. sneeuw), et snichs du zéro-niveau, comme Lat. rien, niuis et sních., comme Gk. .....

94. Les wegh du verbe, entrain, transportent dans un véhicule, bougez, est certifié comme "ayez le poids, soulevez, portez" dans Gmc. wegan (cf. Goths. gawigan, O.S. weganO.N. vega, O.E. wegan, O.Fris. wega, Du. wegen, O.H.G. [bi] wegan, Ger. bewegen, wiegen), Lat. veh., Osc. veia, Umb. a.veitu, Gk. ekhos, Skr. vahati, Av. vazaiti, Toch. Wkä. / yakne, O.Pruss. vessis, Lith. ve.u, Ltv. investissez, O.C.S. vesti, Russ. vezti, wie polonais., Gaule. Uecturius, O.Ir.fecht, fén, gwain gallois, aube. vjedh, udhë. Les dérivés communs incluent w.gh., pesez, unité de poids, faites pipi, de Gmc. w.g.; wéghtis, poids, comme Gmc. (ga) wikhtiz (cf. O.N. vætt, O.E. gewiht, O.Fris. wicht, M.Du. gewicht); wéghos, chemin, cours de voyage, comme Gmc. wegaz (cf. Goths. perruques, O.E., O.S., Du., O.H.G. weg, O.N. vegr, O.Fris. wei); wóghnos de l'o-niveau, wagon, comme Gmc. wagnaz (cf. O.N. vagn, O.E. wægn, O.S., O.H.G. wagan, O.Fris. wein, Eng. charrette); wóghlos, populace, bande, multitude (< "masse en mouvement"), comme Gk. .....; de Lat. l'uehere est p.part. weghtós, a porté, weght.r donnant, vecteur, wegheménts, véhément, wéghikolom, véhicule, komwéghti.n, convection, etc.; wéghi., chemin, route, comme Lat. uia, weghi.tikom donnant, voyage, voyage, Lat. uiaticum, weghi.tik.lís, viatical, komweghi., transportez, et komwóghis, convoi (a emprunt-traduit de Fr. convoier, différent de conveier), deweghi., déviez, obhweghi., évitez, obhweghiós, évident, pr.iweghiós, antérieur, weghi.déuktos, viaduc, etc.; aussi, weghs., agitez (de "ensemble dans le mouvement"), comme Lat. uex.re; aussi, komweghsós, convexe, de ("porté ou attiré ensemble à un point") Lat. conuexus.

95. Originairement ter de la racine de la TARTE, sur, donne tero du verbe, traversez, passez à travers, vaincu, comme Skr. tirati, tarati; aussi contracté comme tr athématique., comme O.Lat vraisemblable. tr.re qui a donné s à tran (t) à travers, sur, au delà de, à travers, comme Lat. trans. D'autres dérivés incluent le zéro-niveau t.ilos, trou (< "un forage à travers"), comme Gmc. thurilaz (cf. O.E. þyrel, M.H.G. dürchel, Eng. frisson); t.qe, à travers, comme, Gmc. thurkh / thurukh (cf. Goths. þaírh, O.S. thuru, O.E. þurh, O.Fris. thruch, M.Du. faiseur, Du. porte, O.H.G. durh); aussi, dans nékt.r, nectar, boisson de dieux, de nek, mort, et - goudron, victoire, comme Gk. ......, et nektarín dérivé.; verbe tr.io, protégez, comme thr.ja iranien; truks étendu, sauvage, violent, menaçant (de "vaincre, puissant"), comme Lat. trux, comme trukulénts, brutal; et par conséquent aussi a nasalisé maillot de bain étendu, tronc, déshérité de branches ou membres, a mutilé (de paralysé, estropié), Lat. truncus. Comparez tout le meanig de dérivés IE à travers, au delà de: Gmc. thurkh, Lat. trans, Umb. traf, Gk. goudronnez, Skr. tiras, Av. goudron., O.Ir. tre, tra gallois.

Pour neks, la mort, personne morte, assassine, mort violente, comparez SUR Naglfar, Lat. nex, Toch. näk, Lith. na.lys, Ir. éc, angeu gallois. Les dérivés incluent nekrós, mort, cadavre, comme Gk. ......; nekio du verbe, blessez, faites du mal, comme Skr. na.yati, Av.nasyeiti et son nok de l'o-niveau., comme Lat. noc.re, dérivés communs donnants comme nokénts, nocent ou .nokénts, innocent ou nokuós, nocuous; aussi noks de l'o-niveau., blessure, mal, dégât, comme Lat. noxa, dans le noksiós, malfaisant, toxique, et obhnoksiós, odieux.

96. Verbd indo-européen., donnez, a évolué (dehors langues allemandes) comme Lat. osez, Osc. dede, Umb. dadad, Gk. ......, Skr. d., dád.ti, Av. dad.iti, Pers. dad.tuv, Pers. d.dan, Phryg. dadón, Bras. tal, O.Pruss. d.twei, Lith. dúoti, Ltv. pointillez, deva, O.C.S. ...., Russ. ...., Pol. da., Gaule. doenti, O.Ir. dán, aube galloise, aube. dhashë, (dhënë Tosk, Geg dh.në) Osset. daettyn, Kashmiri d.y.n; Hitt. d., Luw. da -, Lyd. da -, Lyc. da. Les dérivés incluent le zéro-niveau (comme Lat. défi) datós, donné de qui dát., date (La convention romaine de fermer chaque article de correspondance en écrivant "donné" et le jour et mois, signifier "donné à messager", mené aux données, "donné (pl.)"devenir un terme pour "le temps et la place a déclaré"), dat.iuos, datif ("le cas de donner"), dátom, la donnée, commerce, transdo, délivre (de trans+da), donnez, faites du commerce, partie. transdatós, a délivré, a donné sur de qui transdáti.n, livraison, reddition, un donner sur / en bas, signifier les deux dans langues romanes et l'anglais, comme Lat. traditio qui a donné O.Fr. ison du tra (h) (Anglo-Fr. treson, Eng. trahison, cf. Il. tradimento, Station thermale. traicio), et O.Fr. tradicion (Eng. tradition, Fr. tradition, Il. tradizione, Station thermale. tradicio); perdo, faites avec loin, détruisez, perdez, jetez, comme dans perdáti.n, ruine, la destruction, perdition;redo, donne en arrière, revenez, restaurez, part;redatós donnant, a rendu, et redát dérivé., location, paiement pour usage de propriété (rendita roman à travers V.Lat. reddita, influencé par Lat. vendita, a "vendu", ou peut-être Lat. prendita, "occupé"); wesnomdo, (de wésnom, v.i.), vendez, louez, comme Lat. uendere (a contacté de Lat. uendumare, de plus vieil u.numdare); aussi d.nom, cadeau, comme dans d.n.r, donateur, d.n., donnez, présent, donnez, komd.n., pardonnez, d.n.ti.n, donation, d.nat.iuos, donateur, perd.n., accordez, pardonnez, pardon; d.tis, dot, mariage, portion, comme Lat. dos, aussi d.ti slave., cadeau, dacha, comme Russ. dacha; dórom, cadeau, comme Gk. .....; partie. dótis, quelque chose de donné, comme grec ....., givingantídotom, antidote, illuminé. "donné contre", anékdot., anecdote, apódotis, apodosis, etc.

Pour wes de la TARTE, achetez, comparez wésnom, vente, de Lat. u.num, comme dans wesn.lís, vénal; wosno suffixe, achetez, comme dans le wosn., acheter, opswosn, la nourriture cuite, opswosno, achète de la nourriture, d'où opswósniom, acheter de vivres, comme Gk. ....... de qui monopswósniom, monopsony;wés., vente qui donne Eng. bazar (voyez qel); les weslís suffixe, bon marché, basent, henceworthless, vil, comme Lat. u.lis, avec likeweslidhak des dérivés., influence bon marché, vilifiez, weslipendo, vilipendez (de (s) le stylo).

De wes de la racine de la TARTE, vivez, demeurez, passez la nuit, comparez des dérivés allemands qui ont l'intention d'être, comme l'o-niveau était (comme O.E. wæs), w.z allongé (cf. O.E. wære), ou wesan (cf. O.N. le vesa, vera, "est"), ou Lat. Vesta, déesse du ménage, wástus, ville, "place où on demeure", de Gk. astu, dans Lat. compétence, travaillez (pratiqué dans une ville), comme dans le wastutós, avisé; aussi, wésenom, maison, comme Pers. vahanam, comme dans diwésenom/diw.n, divan, d'O.Ira. dipivahanam, "maison du document", de dip., écriture, document, de tuppu Akkadian.

Stylo indo-européen, attraction, que l'étirement, rotation, donne à spenuo, rotation, comme Gmc. spinnan (cf. Goths. spinnan, O.N., O.Fris. spinna, O.H.G. spinnan, Dan. spinde, Du. spinnen, Ger. spinnen) de qui spéntr., "fileur", araignée, comme Gmc. spinthr. (cf. O.E. sp.þra, Dan.spinder et d'autres parents M.L.G., M.Du., M.H.G., Ger. spinne, Du. rotation); pend étendu. (intransitif), pendez, et pendo, causez pour pendre, pesez, p.part. penstós (< * pendto -), avec penst du frequentative., pesez, considérez, comme Lat. pens.re, comme dans le pendénts, pendentif, péndolom, pendule, que pénsti.n, pénstom, pèsent, le peso, adpende, attache, adpénd.ks, appendice, kompendi., compend, kompéndiom, abrégé, kompenst., dédommagez, dépendez., dépendez, dependo, payez, consacrez, ekspendo, consacrez, enpendo, inpend, propend., propend, rekompénst., récompensez, supspendo, suspendez, etc.; péni suffixe., manque, pauvreté (< "une tension, épuisement"), comme Gk. ....., habituellement trouvez comme suffixe - peni.; peno, travailler dur, et pónos de l'o-niveau, le labeur, pono du verbe, travaille dur, comme dans le geoponikós, geoponic, lithoponos (de Gk. líthos du mot de l'emprunt, pierre), lithopone; pon de l'o-niveau -, comme dans le spono, durée, étirement, lien, comme Gmc. spannan (cf. O.E. spannen, O.H.G. spannan, M.Du. spannen), spon., couvrez, Gmc. durée. (cf. O.E. spann; Gmc. le mot a été emprunté dans M.L. spannus, d'où Il. spanna, O.Fr. espanne, Fr. les empan "distancent"); aussi, spong., serrez, pailletez, de Gmc. spang. (cf. M.Du. spange); póndos, poids, expression latine donnante pónd l.bra., "équilibrez par poids" (a emprunté dans Gmc. punda, "livre", cf. Goths. pund, O.Fris., O.N. pund, O.H.G. pfunt, Ger. Pfund, M.Du. pont); pónd.s, poids, dérivés donnants (a affecté par rhotacism, cf. Lat. pondus, considérez -), pondes., pesez, considérez, comme dans pr.ipondes., preponderate; aussi, comparez sponde, "de son propre accord", comme Lat. sponte (peut-être de Gmc. spanan, "attirez"), comme dans le spondaniós, spontaneus.

97. Bháres indo-européen - / bhars, épeautre, l'orge, grain, est la racine pour Gmc. bariz / barz (cf. Goths. bariz.ns, O.N. barr, et aussi O.E. bær-lic, i.e. "orge-comme"), Lat. loin (contenez farr -), Osc.,Umb. loin, Phryg. brisa, OCS bra..no, bara gallois. Les dérivés latins incluent l'ín du bhar., farine, le ou les bhar in.kiós, farinacé, bhars.g., farrago, mélange, mélange de grains pour alimentation animale.

98. Les bhélmeans du verbe de la TARTE se développent, fleurissez, poussez, comme dans le bhóliom, feuille, comme Lat. folium, Gk. ......, comme dans l'eksbholi., exfoliez, debholi., défeuillez, perbholi., perfoliate, prtbhóliom, portefeuille, etc; o-niveau suffixé bhl.uo, à fleur, coup, comme Gmc. bl.wan (cf. O.E. blawan, O.H.G. blaen), bhl.m.n, fleur, fleur, comme Gmc. bl.m.n (cf. Goths. bl.ma, O.S. blomo, O.N. blómi, Du. bloem, O.H.G. bluomo, Eng. fleurissez); bhl.s, fleur, fleur, comme Gmc. bhl.s (cf. O.E. bl.stm, bl.stma, Eng. fleur), Lat. fl.s (contenez fl.r dû à rhotacism), comme dans bhl.s., flore, bhl.s.lís, floral, etc.; bhl.tom, sang, comme Gmc. bl.than (cf. Goths. bloþ, O.N. blóð, O.E.,O.Fris. bl.d, M.Du. bloet, O.H.G. bluot), bhl.dio, saignez, comme Gmc. bl.thjan (cf. O.N. blæða, O.E. bl.dan, Ger. bluten), bhl.tis., bénissez, illuminé. "traitez ou sanctifiez avec sang", (originairement un sang qui répand sur les autels païens, ce mot a été choisi dans O.E. Bibles traduire Lat. benedicereand Gk. eulogein, et n'est pas trouvé avec ce sens dans d'autres dialectes allemands); bhlótos, lame, feuille, de Gmc. blathaz (cf. O.N. blad, O.Fris. saigné, Ger. blatt). D'autres dérivés incluent Oscan Fluusaí, Toch. pält / pilta, O.Ir. bláth, blawd gallois.

Un mot de la TARTE adéquat car le sang est kréwis (racine précédente * kreuh2), comme dans O.E. hrot, Lat. cruor, Gk. ....., O.Ind. kraví., Av. .r .-, .r .m, O.Pruss. krawian, Lith. kraujas, Ltv. krevele, OCS ....., O.Pol. kr., Russ. ....., O.Ir. cró, crau gallois. Un adjectif commun est krowós de l'o-niveau, cru, cru, "sanglant", comme Gmc. khrawaz (cf. O.N. hrár, O.E. hr.aw, M.Du.rau, O.H.G. hr.o, Eng. cru, Ger. roh), Lat. crudus, O.Ind. kruras, Av. .r .ra.

99.  Der de verbe IE, la fente, pelure, s'écorche, comme Gmc. teran (cf. Goths. gatairan, O.E. teran, O.S. terian, M.Du. teren, O.H.G. zeran), Gk. ......, Skr. darati, Bras. terem, O.C.S. dera, et dérom, morceau, comme Bert. zut; d.tom, "quelque chose est séparé ou a abandonné", crotte, Gmc. turdam (cf. O.E. tord, O.N. tord -, M.Du. torde, Du. délit civil -); le der (r) est, leathercovering, derris, de Gk. ......; dérmn, peau, derme -, comme Gk. ....., dans dérmnto des composés -, dermato -.

Anglais "déchirent", (laissez tomber d'oeil) vient de dákrus de la TARTE, certifié comme Gmc. takhruz (cf. Goths. tagr, O.N. tár, O.Fris. goudronnez, O.E. t.ahor, O.H.G. zahar), Lat. lacr.ma (de dákru-m suffixe., O.Lat. dacruma, comparez avec évolution d'O.Lat. dingua - > Lat. lingua), Gk. ....., Skr. a.ru, Av. asr.azan, Toch. .kär /akr.na, Bras. arc'unk', Lith. a.ara, Ltv. asara, O.Ir. dér, deigryn gallois.

100.  Gno de la racine de la TARTE, sachez, donne gn.uo, comme Gmc, aux dérivés. kn. (w) un, (cf. O.E. cn.wan, O.H.G. bichnaan, irchnaan), g.o, sachez, sachez comment à, soyez (mentalement) capable à, Gmc. kunnan (cf. Goths. kannjan, O.N. kenna, O.E. cunnan, O.Fris. kanna, O.H.G. irchennan), o-niveau gónio causatif, faites connu, déclarez, comme Gmc. kannjan (cf. O.N. kenna, O.E. cennan, Eng. compétence), gntós, connu, célèbre, habituel, excellent, familier, comme Gmc. kunthaz (cf. O.E.c.th, Eng. couth), g.tit., connaissance, connaissance, amitié, parents, comme Gmc. kunthith. (cf. O.E. cyththu); gn.sko, komgn.sko, commencent à savoir, est fait connaissance avec, comme dans gn.títi., avis, gn.ti.n, notion, gn.tosiós, notoire, komgníti.n, la connaissance, rekomgn.sko, reconnaît, etc.; suffixé - ro -, comme .gn .r., ne pas savoir, négligez, ignorez, ou gn.ros, savoir, expert, et gnar du verbe (r)., dites, racontez, racontez; gn.dhlís, connaissable, connu, célèbre, noble, comme Lat. n.bilis; partie. gn.tós, connu, nom gn.tis, connaissance, enquête, gn.m.n, juge, interpréteur, progn.tis, diagn.tis, agn.ti., etc., comme Gk. ......, ......; g.tis, connaissance, comme Av. zainti -; aussi probablement gn.t., note, marque, signe, cypher, comme Lat. nota, comme dans adgn.t., annotez, komgn.t., signifiez, etc., et aussi gnórm., le carré de charpentier, règle, modèle, précepte, norme, comme dans gnorm.lís, normale, apgnorm.lís, anormal, eghnormís (d'eghs+gnorm -), irrégulier, extraordinaire, très grand, peut-être un emprunt d'Étrusque à travers gn.rm.n grec, ......, le carré de charpentier, règle. Pour les dérivés IE, comparez Lat. n.sc. /cogn.sc., Umb. naratu, Gk. .........., Skr. j.n..ti, Av. paitiz.n.nti, O.Pers. x.n.s.tiy, Toch. kn.n/n.n, Bras. canot', O.Pruss. posinn.ts, Lith. .inóti, .ina., Ltv. zin.t, zinu, O.C.S.,O.Russ. ....., ...., Russ. ....., Zna polonais., Ir. gnath, gnawd gallois, aube. njeh, Kashmiri z.nun Osset. zon; Hitt. kanes.

101.    Ni de la racine de la TARTE, en bas, au-dessous de, donne Skr aux dérivés. ni, Gk. neiothen, O.C.S. nizu, Russ. .... Un dérivé commun est nitero -, en bas, vers le bas, au-dessous de, sous, comme niterosin Gmc. nitheraz (cf. O.S. nithar, O.N. niðr, O.E. niþera, neoþera, O.Fris. nither, Du. neder, Ger. nieder), ou niterom dans Skr. nitaram.

Pour TARTE .dher, sous, aussi peut-être a dérivé de ni, comparez Gmc. au-dessous (cf. Goths. undar, O.N. undir, O.Fris. au-dessous, Du. onder, O.H.G. untar), Pers. z.r, Bras. .ndhup; aussi, comparez .dhos, au-dessous de, comme Skr. adhah; ndhrós, inférieur, comme Av. aðara -, Lat. .nferus, et ndhriós, inférieur; ndh.nos, inférieur, enfer, et ndhrn.lís, infernal; .dhr., infra, au-dessous de.

Enfer anglais, une traduction de Lat. infernus, vient d'un nom de l'o-niveau dérivé de kel de la TARTE, couvrez, dissimulez, sauvez, (cf. Skr. cala, O.Ir. cuile), viz. koli., la pègre (de "place cachée"), Gmc. khalj. (cf. O.N. hel, O.E., O.Fris. helle, Ger. Hölle, Goths. halja; Eng. l'enfer peut être d'O.N. Hel, la pègre, déesse de mort, un autre transfert d'un concept païen et son mot à un idiome chrétien); kol (l)., place couverte, couloir, comme (de façon dialectique géminé) Gmc. khall. (cf. Goths. halja, O.N. höll, O.E. heall, O.H.G. halla, Du. hal); koleiós suffixe, fourreau, comme Gk. ......; zéro-niveau k.os, trou, cavité, comme Gmc. khulaz (cf. Goths. nous-hulon, O.N. holr, O.Fris., O.H.G. hol, O.E. hol, hulu, M.Du. hool, Ger. hohl, Eng. trou, écossez); kl.m étendu, en secret, comme Lat. palourde, dans klamdest.inós, clandestin (peut-être un fusionnez de klam-de - et entest.inós, interne, d'entos dans lequel donne pl. entest.ina, intestin), kalupio, couvrez, dissimulez, comme Gk. kaluptein, partie. kaluptós, couvert, comme dans (a) le sukalúptos, de Lat. eucalyptus, et apokalúptis MIE, révélation, de Gk. .........., aussi apocalypsis, d'Église Lat apocalypsis; kélmos, casque, barre, "revêtement protecteur", comme Gmc. khelmaz (cf. Frank. gouvernez, O.E. gouvernez, O.H.G. gouvernez, M.Fr. casque, faible. d'helme); obhkolo, couvrez sur, et partie. les obhkoltós, couvert, occultent de qui obhkolt., occulter; kól.s suffixe, de Lat. couleur; kéln., réserve, chambre, cave, comme Lat. cella; kéliom, paupière inférieure, cilium; allonger-niveau k.l., cachez, comme dans komk.l., dissimulez.

102.   Un klau de la tige proto-Indo-européen, accrochez, la branche tordue (utilisé comme une barre ou enferme dans les structures primitives) ou fourchue est reconstruite pour kláustrom, barre, verrou, barrière, comme Lat. claustrum, et kláustr., barrage, mur, barricade, forteresse, pour Lat. claustra; kláwos, clou, pour Lat. clauus; kláwis, clef, pour Lat. clauis; skláuso, fin, Gmc. skhleusan (cf. O.E. beclysan, O.H.G. sliozan, Ger. schlieel); aussi, comparez Gk. kleidos, klobos, Lith. kliuti, kliaudziu, kliuvu, O.C.S. kljucu, kljuciti, O.Ir. clo, M.Ir. clithar.

Les bhec du verbe de la TARTE, courus, fuient, est certifié dans Balto-Slave comme Lith. begu, O.C.S. begu, bezati; aussi bhécios, ruisselez, (peut-être d'un bhécio du verbe de l'unattested) dans Gmc. bakjaz (cf. O.N. bekkr, Eng. beck); et en grec avec la signification de fuyez dans la terreur, aussi les bhoco du verbe de l'o-niveau, mis à vol, effraient, et bhócos du nom, panique, vol, peur, comme Gk. ..... (d'où - bhocí., Gk. -.....).

103.   Pour ka de la TARTE (u) mis, conduisez, et aussi figue. surmontez, fin supérieure, la personne principale, chef, compare Gmc. khaubuthan (Goths. haubiþ, O.N. haufuð, O.E. heafod, O.H.G. houbit, O.Fris. haved, Ger. Haupt), Skr. kapucchala, Lat. caput.

104.   Dem du verbe de la TARTE, domestiquez, donne domio de l'o-niveau, apprivoisez, domestiquez, comme Gmc. tamjan (cf.  Goths. gatamjan, O.E. temja, O.E. tem, O.H.G. zemmen); les domós, domestiqué, apprivoisent, Gmc. tamaz (cf. O.N. tamr, O.S., O.Fris., M.L.G., M.Du., O.E. tam, O.H.G. zam, Ger. zahm); dom., apprivoisez, subjuguez, comme Lat. dom.re;d.o, apprivoisez, comme Gk. ....., avec ndmánts dérivé [' fourmis], pas malléable, indomptable, (illuminé. "pas domesticable") et aussi diamant, de Vulg.Lat. diamas, - antis, modifié de Lat. ad.mas, - antis, de Gk. ...... D'autres dérivés incluent Skr. d.myati, Av. endiguez, Pers. d.m, O.Ir. damnaim, addef gallois, Osset. domun; Hitt. damaa.zi.

Pour spek, observez, regardez à, comparez spék.n, observateur, espion, comme Gmc. spekh.n (cf. Frank. spehon, O.H.G. spehon, M.Du. spien, Ger. spähen, Spion, Eng. espion); de Lat. les specere sont spékim.n, spéktrom, spekol., especulate, spékolom, adspéktos, aspect, ekspekt., attendez, perspekt.iu., perspective, respekt., regardez, respectez, supspekt., soupçonnez, etc.; spéki.s, voir, vue, forme, espèces, comme dans speki.lís, special;speks, observateur, "il qui voit", dans Lat. composés; d.spek., méprisez, regardez en bas; metathesized Grek forme comme spekio (Gk. skepio), examinez, considérez, comme dans le spektikós, sceptique, Gk. .........; ou spókos de l'o-niveau (Gk. skopos), un qui regarde, ou objet d'attention, but, cible, (comme Eng. étendue) et spok du verbe., voyez, comme dans jorospókos moderne, horoscope, illuminé. "temps-observateur", de Gk. ........., q.lespókiom, d'À la mode.Lat. telescopium, ou epispókos, surveillant, évêque (Eng. l'évêque vient d'O.E. bisceope, il d'ebiscopus latin Vulgaire), epispok.lís, épiscopal, etc. . le spek du changement - > la ruche s'est passée comparativement en retard en grec pour être reconstruit dans une langue IE commune adéquate.

105.   Pour sals de la TARTE, salez, comparez Lat. s.l, Umb. salu, Gk. hals, Skr. salila, Illyr. Salapia, Toch. s.le /s.lyiye, Bras. un., O.Pruss. sal, Lith. saldus, Ltv. s..., soli OCS, Russ. ...., Sól polonais, O.Ir. salann, halen gallois, aube. gjelbson. Il donne des dérivés comme sáldom, Gmc. saltom (cf. O.S., O.N., O.Fris., Goths. salez, O.E. sealt, O.H.G. salz, Du. zout), zéro-niveau s.di., salez, marais du sel, marinade, comme Gmc. sultj. (cf. M.E. cylte, Dan.,Ni. sylt, Eng. envasez-vous, et O.Fr. sous, dans Eng. trempez), saldo, saler, comme Lat. sallere, et p.part. salstós (< * saldtós), comme dans le sálst., sauce, salsa; de Lat. s.l est salásiom, salaire, salát., salade, ou salámis; il donne aussi des mots pour mer, de "eau salée", comme en grec, ou dans sálom latin.

Le sol de la racine de la TARTE (ou * solh2) veut dire entier et est certifié en commun soluós dérivé, entier, intact, indemne, comme Gk. .... (Ion. .....), Skr. sarvah, Av. haurva, O.Pers. haruva, donner des mots modernes comme soluokáustom, holocauste (de Lat neutre. holocaustum, il de Gk. .........., "brûlé trou"), soluograbhikós, holographe (pour gerbh -, v.i. A), ou katsoluikós, universel, catholique (comme Lat. cathol.cus, Gk. ........., pour kat, v.i. B). Aussi, comparez solidós, solide, dans le komsolid., consolidez, solid.siós, conjointement responsable (source apparenté à Eng. soldat), sol (i) d.tos, soldat, de Lat. solid.tus (de sólidos, une pièce de l'or romaine, aussi salaire, "illuminé avoir le salaire", cf. Il. soldato, Fr. soldat, Station thermale., Pt. soldado, Swe., Ni., Ger. soldat, Du. soldaat, Russ., Ukr. ...... etc.); sólos, entier, entier, non cassé, comme solikitós, sollicitez, soucieux, ou solemnís, solennel, de Lat. (forme géminée dialectique) sollus; comme zéro-niveau sál.ts, santé, comme dans le salut., saluez; aussi dans le saluós, totalité, coffre-fort, sain, indemne, de Lat. salvus (dans O.Fr. sauf, et alors à Eng. sûr).

A.    Pour gerbh de la TARTE, grattez, comparez Gmc. kerban (cf. O.E. ceorfan, O.H.G. kerban, Eng. sculptez, Ger. kerben); zéro-niveau g.bhis, une coupure (fermé), comme Gmc. kurbiz (O.E. cyrf, Eng. rainure); gróbhis de l'o-niveau, crustacé comestible, comme Gmc. krabiz / krab (b) (cf. O.E. crabba, O.N. krafla, O.H.G. kerbiz, L.Ger. krabben, Eng. personne revêche, écrevisse, crawl); grbho, le grattement, attraction, écrit, comme g.bhmn ['gr.bh-mn.], image, lettre, oeuvre écrite et g.bhm., réglez, avec dérivés comme (mots de l'emprunt) grbhmntik., grammaire, de Gk. .........., et gh.bhikos, graphique, anágrbhmn, anagramme, epígrbhmn, épigramme, .ghrbhí., agraphia, epigrbh., épigraphe, comme Gk. ........, parágrbhos, paragraphe, prógrbhmn, programme, etc; aussi, W.Gmc. grafa, "compte" (cf. M.Du. graave, M.L.G. tombe, Ger. graf, Eng.-tombe), peut-être un emprunt de grbh.us, Gk. grapheus, "scribe." Pour d'autres dérivés IE, comparez O.Pruss g.rbin, Ltv. gr.psta, O.C.S. .r .b., Russ. .rebij, Bras. kerel / gerel, aube. gërvish.

B.    Pour kat de la TARTE -, en bas, comparez kata grec, duvet et kátolos de la forme suffixe, jeune chiot, jeune d'animaux ("laissé tomber"), comme catulus latin.; aussi trouvez dans la Glace. haðna, M.H.G. hatele, Sla. se du kotiti. (cf. Russ. koti.t.sja), cadran. ko.t.ka, Sr.-Cr. kot, Pol. wy-kot

106.   Pour bhl.ig indo-européen, brillez, comparez Gmc. bl.kh (j) un (cf. O.N.blíkja, O.Ice. bleikr, O.H.G. bl.hhan, bleih, O.E. bl.can, Ger. Blech), Lith. blaik.ta.s, blaik.týtis, bly.k..ti, Ltv. bli... t, blaiskums, O.C.S. ......, ........, Russ. blesk, Pol. blask.

107.   Bhel du verbe de la TARTE, le coup, gonflement, gonfle, est la racine pour plusieurs dérivés y compris objets ronds et la notion de masculinité tumescente; comme, bh., vaisseau rond, objet arrondi, bol, tronc, graine, comme dans Gmc. taureau. (cf. O.N. bolle, bolr, O.E.,O.H.G. bolla, M.H.G. tronc, M.Du. bolle, bille); zéro-niveau et bh..n, foulon, comme Lat. plein.; bh..nos, taureau, comme Gmc. bull.naz (cf. O.N. boli, O.E. bula, M.Du., Ger. bulle), bh.okos, taureau, comme Gmc. bullukaz (cf. O.E. bulluc), bh.nos, phallus, comme Gk. ......; os du bhól (l) de l'o-niveau (de façon dialectique géminé - l dans allemand), balle, bhól (l)., balle, balle, rouleau rond, ikos du bhól (l), testicules, bollix (cf. O.E. beallucas); bholtós, gras, de Gmc. balthaz (cf. Goths. balþei, O.N. ballr, baldr, O.E. chauve, beald, O.H.G. chauve); bhólnis suffixe, mugissements, balle gonflée, comme Lat. follis (cf. Eng. follicule, folie, idiot); peut-être bhálani., baleine, de Gk. ........

108.  MIE d.m.n, temps, est une traduction de l'emprunt de t.m.n allemand, (cf. O.Eng. t.ma, O.N. timi, Swe. timme), et est dérivé de racine de la TARTE d., divisez, comme dans d.mos, gens, terre (de "division de société"), de Gk. ....., comme dans d.mokratí., démocratie v.i., d.mogrbhí., démographie, epid.mí., pand.mí., d.mag.gos, etc.; dajo de la racine alternatif, divisez, comme dans ge.dáisia, division de monde, géodésie; dáim.n, diviseur, fournisseur, d'où divinité, "démon plus tardif, daimon", v.i.; itis d (á), division de temps, temps, saison, comme Gmc. t.diz (cf. O.S., O.E. tid, Du. tijd, O.H.G. z.t, Ger. Zeit, Eng. marée), et verbe d.tio, passez-vous, de "produisez-vous dans le temps", Gmc. t.djan (cf. O.E. t.dan).

C'est sans rapport à Lat. tempus qui a une origine inconnue. Pour le mot latin et ses dérivés, mot de l'emprunt des usages indo-européen Moderne témp.s; comme, komtempos.siós, contemporain; témpos., temple (cf. Lat. tempora > V.Lat. tempula); tempes., adoucissez, modérez, réglez; tempositi., temporisez, etc.

Krátos de la TARTE, pouvoir, force, (comme Gk. ......) donne le suffixe - kratí., pouvoir, règle, comme Gk. - ......, kratús de l'adjectif, fort, comme Gk. ...... ou kartús alternatif, dur, comme Gmc. kharthus (cf. Goths. hardus, O.N. harðr, O.E. entendu, O.H.G. harto, Du. difficilement), peut-être de kar de la racine de la TARTE -.

Grec ...... a signifié la divinité. Pour les Grecs et les dæmons des Romains était des existences surnaturelles "remplies avec connaissance", "pouvoir divin", "destin" ou "dieu", pas nécessairement mal. Dans la tradition chrétienne, les idées de "démons" ont dérivé comme beaucoup de la littérature qui est venue pour être regardé comme apocryphe et même hérétique comme il a fait de la littérature acceptée comme canonial. Il s'est passé plus ou moins aimé avec TARTE dj.us (signifier le ciel originairement, ciel, d'où ciel-dieu, cf. O.E. Tig, Lat. deus, Gk. ...., Skr. deva., Lith. devas, O.C.S. deivai), réduit dans sa signification persane comme un genre spécial (mauvais) de divinité, da.va donnant, "esprit, démon", donc dans Asmodeus, Vieil Æshma persan, Æshmadæva plus tardif.

109.   Bher de la racine de la TARTE -, avec les dérivés qui signifient brun, en brillant, donne bhr.nós, faites dorer, en brillant, comme Gmc. br.naz (cf. O.E. br.n, O.N. brúnn, M.Du. bruun, adopté dans langues romanes à travers M.L. brunus, cf. Il., Sp. bruno, Fr. brun); bhébhrus redoublé, animal brun, castor, comme Gmc. bebruz (cf. O.E. beofor, O.H.G. bibar, Ger Bas. bever), Lith. bebrus, Cz. bobr, befer gallois; Bhér. / bhérnus, portez, illuminé. "animal brun" (comme O.E. bera, O.H.G. bero, de Gmc. ber., ou O.N. björn, de Gmc. bernuz). Comparez Lat. fibre, Gk. phrynos, Skr. bhallas, babhrus, Av. bawra, Toch. parno / perne, parä. / perne, O.Pruss. bebrus, Ltv. b.rs, bebrs, Lith. b.ras, bebras, Russ. bobr, Gaule. Bibrax, befer gallois.

110.   Línom indo-européen, lin, bien que quelquefois ait considéré un emprunt d'une langue non-Indo-européenne, est trouvé dans beaucoup de dialectes IE; comme, Gmc. linam (cf. Goths. lein, O.E. lin, O.H.G. lin, O.N. lín, Ger. Leinen, Eng. lin), Lat. l.num, Gk. linon, O.Pruss. linno, Lith. linas, Ltv. lini, O.C.S. l.n., Russ. lën, len polonais, O.Ir. lín, llin gallois, aube. liri / lîni.

Pour TARTE w.n., laine, comparez Gmc. wuln. (cf. Goths. wulla, O.N. ull, O.E. wull, O.Fris. wolle, M.Du. wolle, O.H.G. wolla, Du. wol, Ger. Wolle), Lat. l.na, uellus, Gk. l.nos, Skr. .r.., Av. var.n., Pers. gurs, O.Pruss. wilnis, Lith. vilna, Ltv. vilna, O.C.S. vl.na, Russ. volna, Pol, we.na, Lith. vilna, O.Ir. olan, gwlan gallois; Hitt. hulana.

111.    Chen de la TARTE, le coup, assassinat, tue, comme Gk. ....., ....., Skr. hánti, Av. .ainti, O.Pers. ajanam, Bras. gan, O.Pruss. guntwei, gunnimai, Lith. genù, giñti, ginù, gìnti, Ltv. dz.nu, dzìt, O.C.S. ......, ...., O.Russ. ......, ...., Cz. hnáti, .enu, gna polonais., O.Ir. gonim, Ir. gandr, gonadh, aube. gjanj; Hitt. kwen, Lyd. q.n; G.nan slave. qui est debout dehors dans un dialecte Satem semble être d'une source apparentée à O.Ind. (.) ghn.nás, Av. ava.n.na, un ghn original - forme qui n'a pas subi la tendance du satemization. Il donne des dérivés comme o-niveau chón.n, tueur, cause de ruine ou destruction, comme Gmc. ban.n (cf. Goths. banja, O.N. bani, O.E. bana, O.Fris. bona, O.H.G. bana) qui donne aussi MIE prêtez chon du mot., chemin, route, comme dans l'autochon., Autobahn, cf. M.H.G. interdisez, peste, Ger.Bahn, "chemin, route (de "coup" dans un sens technique comme "andain")"; ch.ti suffixe., guerre, bataille, comme Gmc. gundj. (cf. O.Ice. gandr, O.E. g.þ, O.N.gunnr dans O.E. gunne, donner À la mode. Eng. pistolet), aussi dans chnti.pán.n, standard, "drapeau de la bataille", comme O.H.G. gundfano, Il. gonfalone (pour casserole -, v.i.); chend de la forme suffixé, en donnant des verbes préfixés en latin comme d.chendo, évitez, défendez, et obhchendo, frappez contre, soyez offensif, offensez; aussi, zéro-niveau suffixe ch.tros, poison, comme Pers. zahr, O.Ira. jathra -.

112.    Génus de la TARTE, donnez un coup de genou, peut-être originairement angle, donne Lat. gen., Gk. gonu, Skr. j.nu, Av. znum, Pers. z.nu, Illyr. Genusus, Toch. kanwe./ken.ne, Bras. cunr, Russ. .....; Hitt. genu, ginu Palaic -. Les variantes incluent les formes de l'o-niveau grecques, comme gónus, donnent un coup de genou qui donne polúgonom, polygonum et g.ni., orientez, coincez qui donne gonós, suffixe neutre à angle, et dérivé - gonom, Eng. -gon; aussi, gnew de la forme alternatif -, gnéwom du nom neutre donnant, genou, comme Gmc. knewam (cf. Goths. kniu, O.N. kne, O.E. cn.o [w], O.Fris. kni, M.Du. cnie, O.H.G. kniu), et gnewio du verbe étendu, agenouillez-vous, "avec genou du penchant", comme Gmc. knewjan (cf. Goths. knussjan, O.E. cneow [l] ian, Eng. agenouillez-vous), ou Gk. .....

Une autre signification pour génus de la TARTE est mâchoire, joue, mâchoire. Comparez Gmc. gennuz (de génwus différent, cf. Goths. kinnus, O.N. kinn, O.E. cin, O.H.G. chinni, Eng. menton, Ger. Kinn), Lat. gena, Gk. genre, Skr. hanu (de ghénus de la forme alternatif), Av. zanu, Pers. goune (h), Phryg. azon, Toch. .anwem, Bras. cnaut, Lith. .andas, Ltv. zods, genou gallois, O.Ir. gin, et Vieillard kanadoi macédonien. Un dérivé commun est zéro-niveau g.dhos alternatif, mâchoire, de grec.

113.     Chers de la TARTE, chauffez, chauffez, donne des dérivés communs comme alternative allemande forme chrenuo, brûlez, soyez en feu, intransitif, comme Gmc. brennan (cf. Goth.brinnan, O.N. brenna, O.E. beornan, byrnan O.H.G. brinnan), et chrenuio, brûlez, allumez, transitif, comme Gmc. brannjan (cf. O.E. bærnan); chróndos, brûler ou torche en flammes, d'où aussi épée, comme Gmc. brandaz (cf. O.E. marquez, brond, Du. branden, aussi Frank. marquez, dans O.Fr.,O.Prov. marque); chermós / chormós, chauffez, chaud, et chérm., chauffez, chérmom neutre, donner - chermi., Eng. -thermy, comme Gk. ....... Aussi, Lat. chórkaps, (- le kaps est Lat. les agential suffixent, - keps, "- preneur", de kap de la TARTE), forceps; chórnos, four, comme Lat. furnus;chórniks, voûte, voûte (de ""four de la brique voûté"), comme dans le chornik., forniquez; ch.tom, beurre clarifié, ghee, comme Skr. gh.tam. D'autres dérivés connus sont Skr. gh..a, Av. gar.ma, O.Pers. garmapada, Pers. garm, Phryg. germe, Thrac. germas, Bras. jerm, O.Pruss. goro, Lith. garas, Ltv. gars, Russ. .ar, O.Ir. fogeir, gori gallois, aube. zjarr, germi Kashmiri, gar.' m; Hitt. guerre.

114.     Éus du verbe indo-européen, brûlez, est certifié dans Gmc. uzjan (cf. SUR usli, et dans le composé [visez] uzjo, cf. comme O.N. [eim] yrja, O.H.G. [eim] uria, O.E. [.m] erge, Ger. [Amm] ern, Eng. [emb] er), Lat. .r., Gk. heu., Skr. o.ati, Lith. usnis, Ltv. usna, aube. ushël.

115.     Noch de la racine de la TARTE -, nu, donne nochetós / nochotós, comme Gmc. nakwethaz / nakwathaz (cf. Goths. naqaþs, O.N. nökkviðr, O.Swed. nakuþer, O.E. nacod, O.Fris. nakad, O.H.G. nackot, M.Du. naket), nochedós, comme Lat. n.dus, nochmós, metathesized dans Gk. ...... (gumnos), comme dans le nochmasí., gymnastique, nochmást., gymnaste, de Gk. ........., etc., et nochnós, comme Skr. nagna, Av. ma.na, O.Pers. nagna -; comparez aussi Lith. nuogas, Ltv. nogs, OCS se querellent., Russ. nagoj, nagi polonais, O.Ir. nocht, noeth gallois, Kashmiri na.gay, Hitt. nekumant.

116.     Indo-Europeancer, montez, donne aussi cor., montagne; cf. Hom.Gk. ......, Att.Gk. ......, ......, O.Ind. girí., Av. gairi -, O.Pers. gar, g.r, Bras. ler, O.Pruss. garian, Lith. girià, guras, O.C.S. ...., ...., Russ. ...., Pol. góra, aube. gur.

Anglais rédigent la "montagne" vient d'Anglo-Fr. montez, il d'O.Fr. mont et O.E. munt, les deux de Lat. mons, montis, móntis MIE, montagne, (cf. Mynydd gallois) qui donne montanós, mountanious, móntani., montagne (de V.Lat. montan.a, nom féminin de montaneus V.Lat, dans le tour de Lat. montanus), montíkolos, monticule, mont., montez, montez, grimpez, montez, comme dans l'admont., montant. Il est dérivé de TARTE hommes bas, ressortez, projetez, source de quelques mots indo-européens De l'ouest pour projeter des parties du corps, comme zéro-niveau m.tos, bouche, Gmc. munthaz (cf. Goths. munþs, O.N. munnr, O.E. muþ, O.Fris. muth, M.Du. mont, Ger. Mund), ou méntom, menton, comme Lat. mentum;m.., projeter le point, menace, minae latin, mn.ki donnant., menacez, pr.mn., conduisez (animaux) en avant, (de pr., en avant, et mn., animaux de la promenade avec les cris) comme dans pr.mn.t., promenade;mn., projetez, soyez en saillie, menacez, comme ekmn., ressortez, ekmnénts donnant, éminent, enmn., surplombez, enmnénts donnant, inminent ou promn., soyez en saillie dehors, comme dans le promnénts, proéminent, ou promntósiom, promontoire, de p.part. promntós.

Un mot de la TARTE adéquat car la "bouche" est .s, comme dans O.E. .r, SUR oss, Lat. .s, Skr. .s, o..ha, Av. aosta, O.Pruss. austo, Lith. uosta, Ltv. osta, Russ. usta, Kamviri â.a, Hitt. ai. Les dérivés affectés par rhotacism sont habituellement de Lat. contenez .r, comme dans .s .lís, oral, .sidhákios, orifice, mais la plupart n'est pas affecté, comme faible. .skillom, balancement (de "petit masque de Bacchus"), verbe donnant .skill., oscillez, et nom .skill .ti .n, oscillation; aussi, .skolom, osculum, en.skol donnant., fournissez une ouverture, inosculate, et aussi .stiom, porte, ostium, .sti .sios donnant, portier, ostiary (M.Eng. hostiary), etc.

117.    Racine de la TARTE c.us, fem. intimidez, ou masc. faites monter, boeuf, peut-être finalement imitatif de mugir (cf. non-IE gu sumérien, ngu chinois, ngo), donne Gmc. k.uz (> k.z, cf. O.N. kú, O.E. C., O.H.G. cuo, Eng. intimidez, Ger. Kuh), Lat. b.s (contenez bou -), Gk. bous, Skr. gauh. Les dérivés incluent coukán., corne, barrissez, "bellower" (composé avec kan -, chanteur, v.i.), coukanat.r, buccinator; cóucalos, gazelle (orig. "vache sauvage"), plus tard intimidez, comme Gk. ........ (comparez avec Lat. b.bulus, et comme cówalos alternatif avec Skr. gavalah., tout qui fait référence aux animaux sauvages); cóunos suffixe, boeuf, comme Pali go.a; c.uros, boeuf sauvage, comme Skr. gaurah.; le zéro-niveau a suffixé cw., comme dans le smkmtómcw composé., hécatombe, "sacrifice de cent boeufs", Gk (voyez sem, un, kmtóm, cent). ......... Comparez tous les dérivés IE: Gmc. k.uz, Lat. b.s, Osc. buv -, Umb. traînez, Gk. ...., Skr. gaus, Av. gáus, Pers. g.v, Thrac. bonassos, Toch. ko / ke., Bras. kov Ltv. govs, Russ. govjado, O.Ir. bó, buw gallois, que Kamviri vont, Kashmiri g.v, Osset. fille.

118.   Ármos du nom, bras, bras, plus tôt * h2rmo -, est certifié comme Gmc. armaz (cf. Goths. armes, O.N. armr, Eng. earm, O.H.G. aram, O.S., M.Du., armez, O.Fris. erm), Lat. armus, Gk. ....., Skr. irmas, Bras. armunk, O.C.S. ramo, O.Prus. irmo Osset. bras. Les dérivés intéressants incluent árma, (pl. d'ármom), outils, armes, armatós, armé, armát., armée, armátolos, tatou, armatós., armature, alárm du mot de l'emprunt. (d'O.It. allarme, d'all'arme, "aux armes" qui pourraient être emprunt-traduits comme bras de l'annonce.), désarmez., désarmez, gendárme du mot de l'emprunt (est "monté des soldats, hommes d'armes", d'O.Fr. monsieur-d'armes qui pourrait être emprunt-traduit comme gntárm.); armoní., de Gk. ....., joignez, épaule. La base bras-vient finalement d'ar de la racine de la TARTE - qui donne derivaitves comme ártis, art, compétence, habileté, de Lat. ars, comme dans l'artio du verbe, instruisez dans les arts, comme Lat. art.re, et son p.part. artitós, habile dans les arts qui donnent artiti.nos, artisan (de Lui. artigiano, de V.Lat. artiti.nus), artíst., personne lettrée, artiste, de Med.Lat. artista; artiós en outre suffixe, fiting, même, comme Gk. ......; ártus, joint (Lat. artus, traduction de Gk. arthron, v.i.) comme dans l'artíkolos, joint, article; artós, serré, comme dans l'art., comprimez, et komart., coarctate;árdhrom, joignez, de Gk. ......, comme dans l'ardhrótis, enardhrótis, komardhrótis, etc.; suffixé aristós suprême, le mieux, comme dans l'aristokratí., aristocratie, de Gk. ............

Probablement de la même racine est (alors l'o-niveau a suffixé la forme) .rdhio, commencez à tisser, comme Lat. .rd .r.; .rdh .n en outre suffixe, commandez (originairement une ligne de fils dans un métier à tisser), de Lat. .rd., comme dans l'emprunt rédige .rdhon., ordre, .rdhonatós, ordonnée, aide-infirmier, kom.rdhon., coordonnez, sup.rdhon., subordonnez, en.rdhon., démesuré, .rdhon .siós, ordinaire, etc.; ou différemment .rn suffixe., ornez, orné, comme Lat. .rn .re.

Aussi forme différente r., considérez, comptez, confirmez, ratifiez, comme Lat. r.r., comme dans le ratós, calculé qui donne ráti.n, calcul, ration, ratio, raison ou rát., estimez, (Med. Lat. rata, de Lat. pr. rat. parte, "d'après une partie fixe", pr MIE. rát. párti); redho suffixe, conseillez, expliquez, conseillez, et rédhos, conseil, opinion, comme Gmc. redan, redaz (cf. Goths. rapjo, O.N. radan, redan, O.Fris. reda, Du. raden, O.H.G. radja, reda, ratan, Eng. lisez, rede, terreur, Ger. reden, Rede, raten), comme dans le redhislio, énigme, Gmc. redisljan (cf. O.E. rædels, O.S. radisli, M.Du. raetsel, Du. rakadsel, O.H.G. radisle, Ger. Rätsel, Eng. énigme).

119.    Pour TARTE bhr.t.r, frère, comparent Gmc. brothar (cf. Goths. br.þar, SUR bróðir, O.E. br.þor, O.H.G. bruoder), Lat. fr.ter, Osc. fratrúm, Umb. fratrom, Gk. ....... (phr.t.r), Skr. bhr.t., Av. br.tar, O.Pers. br.tar, Pers.bar.dar, Kurde. soutien-gorge, Phryg. brater, Illyr. soutien-gorge, Toch. pracer / procer, Bras. ...... (e.bayr < * erbair), O.Pruss. br.ti, bratr.kai, Lith. broter..lis, brolis, Ltv. br.tar.tis, br.lis, OCS ......, ....., Russ. ...., Gosse polonais, Gaule. br.tir, O.Ir. bráthir brawd gallois, Kamviri b.o, garçon Kashmiri, Osset. ærvad Lyd. brafr -, vhraterei Venetic. Les dérivés incluent bhr.trí commun., fraternité, phratry, comme O.Cz. brat.ie, O.Pol. braciá, Gk. .......; O.Ind. bhr.tryam; aussi, bhr des dérivés latin., fra, moine, bhr.tern.lís, fraternel, bhr.térnit., fraternité, bhr.terniti., fraternisez, kombhr.t.r, confrère, bhr.trik.diom, fratricide (le meurtre), bhr.trik.d., fratricide (le tueur).

120.   Pour cén., la femme, femme, a "honoré la femme originairement peut-être", comparez Gmc. kwen.n (cf. Goths. qino, O.N. kona, O.S. quan, O.E. cwene, O.H.G. quena, Eng. quean), Gk ...., O.Ind. janis, gn., Av. jainish, g.n., Pers. .. (zæn), Phryg. bonekos, Toch. . / .ana, Bras. parent, O.Pruss. genno, O.C.S. .ena, Russ. .ena, .ona polonais, aube. zonjë, O.Ir. salle, benyw gallois; Luw. wanatti. Les dérivés incluent Gmc Ouest. c.nis, femme, femme, reine, comme Gmc. kw.niz (cf. Goths. qéns, O.E. cwen, voyez la "reine"), et c grec. [gwn..], donner - cn., - gyne, cno -, gyno -, - cnós, - gynous, - cnia, - gyny, et dérivés avec cnai-ko - (voyez un-declensionin noms pour plus sur ce dérivé spécial qui paraît aussi dans Arménien et lequel donne À la mode.Gk. .......), gyneco -, comme cnaikokratí., gynécocratie, cnaikologí., gynécologie, etc., aussi bien que V.Gk. ......, efféminé, etc.

Pour les d'autres dérivés IE qui signifient la "femme, la femme" compare:

JE. Latin a:

I.A. De dh de la TARTE. (i), sucez, allaitez, (aussi "produisez, rendement") comme dh.mn., femme, illuminé. "elle qui allaite", comme Lat. femina (cf. Fr. femme, Rom. femeie, comme À la mode.Eng. femme), dh.mn.inós, féminin, ekdh.mn., efféminé, semblable à dh.lus, femme, fructueux comme Gk. ...... D'autres dérivés de la même racine incluent dh.tos, grossesse, maternité, progéniture, avec adj. dh.tós, -., - óm, enceinte; suffixé dh.kuondós réduit, fructueux, fécond; dh.nom, foin (de "produits alimentaires"), comme Lat. f.num, faenum; dh.l (l)., sucez, comme dans dh.l (l) .ti .n, fellatio;dh.l.ks, fructueux, fertile, chanceux, heureux, comme Lat. felix, comme dans dh.l.kit., bonheur, félicité, .dh .l .kit., tristesse, infelicity, dh.l.kit., felicitate;dh.l., la poitrine de mère, mamelon, comme Gk. ...., d'où endodh.l., endothelium, epidh.l., épithélium, medhjodh.l., mésothéliome. D'autres dérivés incluent Gmc. /d. (Goths. daddjan, O.Swed. dia, O.H.G. tila), Skr. dhayati, dhayah, O.C.S. dojiti, dojilica, deti, Russ. ...., Pol. dziej., O.Prus. dadan, Lith. dele, O.Ir. denaim, dinu.

I.B. De dóm.nos, seigneur (cf. O.Ind. dam.nas, Lat. dominos), est dóm.n., femme, femme en charge, dame, Lat. domina (cf. Il. donna, Chat. dona, aussi trouvé comme Fr. femme, Station thermale. doña / dueña, Pt. dona), a dérivé de d.mos, logez, déjà vu. De Fr. la femme est des mots de l'emprunt comme Ni. femme, Ger. Femme, etc. aussi bien qu'Eng. madame, madame, madame, d'O.Fr. femme du ma, illuminé. "ma dame", de L. domina du mea (cf. Il. madone), m MIE. dóm.n.

I.C. Lat. mulier (cf. Station thermale. mujer, Pt. mulher, Rom. muiere) est reconstruit comme MIE mli.r. Bien que probablement sans rapport, comparez melg, tomilk (dans la parallèle avec la paire dh.-dh.mn.), comme dans le zéro-niveau m.g., traire, comme Lat. mulg.re; mélg du niveau plein, traire, comme Gmc. melkan (cf. O.N. mjolka, O.E.,.O.H.G. melcan Du., Ger. melken), et mélugs, lait, comme Gmc. meluks (cf. Goths. miluks, O.N.mjölk, O.E. meoluc, milc, O.H.G. miluh, Du. melk, Ger. Milch); comparez Lat. mulge., Gk. amelg., Skr. marjati, Toch. malke / malkwer, Lith. mel.ti, Russ. molozivo, O.Ir. bligim, blith gallois, aube. mjelalso. Aussi, melks différent, trayez, comparez Gk. ......, Lith malkas, melzu, Ltv. malks, O.C.S. ....., Russ. ......, Mleko polonais.

Un .k-t semblable (peut-être raconté à travers un zéro-niveau précédent * - (m)) le mot de la TARTE est (ga) lakts, lait, comme Gk. galakt -, Lat. lact -, aussi Hitt. galank, trouvez dans (ga) le laktiós, laiteux, galaktikós, galactique, galákti., galaxie, etc.

Les mélits de la TARTE (tôt * mélh1-il -), miel, pourraient aussi être racontés originairement; comparez Gmc. miliths (cf. Goths. miliþ, Eng. mild.aw, O.H.G. milltou, Eng. moisissez, Ger. Mehltau), Lat. mel, Gk. melitos, Bras. me.r, Gaule. Melissus, O.Ir. mil, gallois, Cor. mel, aube. mjal; Hitt. milit, Luw. mallit -, malit Palaic -.

Et toutes les bases de la TARTE susmentionnées ont pu être dérivées originairement (mais improbable) de racine mel / mol (de plus vieux * melh1), à corvée, frottement, cohue, avec les dérivés qui font référence à plusieurs terre ou substances croulantes. Les dérivés communs incluent mélu.n, farine, repas, comme Gmc. melwan (cf. Goths. malan, O.N. mala, O.E. melu, O.H.G. malan, Eng. repas, Ger. malen), m.d., sol, monde, comme Gmc. muld. (cf. Goths. mulda, O.N. moulez, O.Fris.,O.E. molde, O.H.G. molta); mol., meule, moulez (le repas grossier a répandu habituellement sur les animaux sacrificatoires), comme dans Lat. molere qui donne mol.sís, molaire, molínom, moulin, moulin, enmol., immolez, ekmolo, broyez dehors, comme dans l'ekmoloméntom, émolument, gain, originairement le prix d'un meunier pour grain broyeur; mélijom suffixe, millet, comme Lat. milium; suffixé málnios différent, marteau, maillet, Lat. malleus; zéro-niveau m grec., m.os, meule, moulin; ml.nos étendu, crêpe épaisse, comme O.Russ. blinu. Aussi, comparez Umb. kumaltu, Toch. Malyw - / mely, Bras. malem, Lith. malti, Ltv. maltez, melj OCS., Russ. melju, mle polonais., O.Ir. melim malu gallois, aube. miell; Hitt. mallanzi.

Melmeans de la racine de la TARTE aussi:

a.    Mel IE, "doux", avec les dérivés qui font référence à matières douces ou adoucies de plusieurs genres. Étendu comme meldo, fondez, comme Gmc. meltan;meldio, laitance, comme Gmc. miltja (cf. O.E., M.Du. milte), móldos, malt, comme Gmc. maltaz (cf. O.N. maltez, O.E. maltez, mealt, Ger. Malz); suffixé mlédsnos différent, vase, comme Gk. blennos; mldús, doux, comme Lat. mollis; nasalisé mlandós différent, lissez, en caressant, flatter, à la voix douce, comme Lat. blandus; smeld de la forme différent, fondez, comme Gmc. fondez (cf. O.E. fondez, smylt, O.H.G. smalz, M.Du, M.L.G. smelten, Ger. Schmelz, et O.Fr. esmail), aussi mot de l'emprunt (d'un Gmc. source dans Lui. smalto ou Prov. esmalt), smáldos, smalt, émail, aspect vitreux; meldhiós étendu, doux, comme Gmc. mildjaz (cf. Goths. mildiþa, O.N. mildr, O.E. milde, O.Fris.milde, O.H.G. milti, Du. doux); máldh., mélange de cire et monte, comme Gk. maltha; les mélskos, doux, s'adoucissent, comme Gmc. milskaz (cf. O.E. melisc, mylsc, Eng. paillis), mlakos, doux, comme Gk. mlakós [' kos], doux, comme Gk. ......., comme dans le mlakologí., malacology, osteomláki.; Mólt.n celtique, mouton, comme O.Fr. moton dans Eng. mouton; mlús du zéro-niveau, émoussé, émoussé, faible, comme Gk. amblus. D'autres dérivés incluent Skr. mrdu., Lat. molere, Gk. myle, O.C.S. mlato, emprunter aussi mallas finlandais.

Anglais "doux" vient d'O.E. softe "doux, facile, confortable", de W.Gmc. samfti, MIE de Gmc. samftijaz "égal, égal, lisse, doux, doux" (cf. O.S. safti, O.H.G. semfti, Ger. sanft, M.Du. sachte, Du. zacht), sombhtís MIE, sombhtijós, d'IE som bas - "aller, consentant", comme dans sombhtowor composé anglais moderne., logiciel.

Pour wer de la TARTE, percevez, regardez dehors pour, comparez (kom) worós, vigilant, informé, alerte, prudent, comme Gmc. (ga) waraz (cf. Goths. guerres, O.N. varr, O.S. giwar, O.E. (ge) wær, O.H.G. giwar, M.Du. gheware, Eng. prudent, Ger. gewahr); wórtos suffixe, garde, veille, gardien, comme Gmc. wardaz (cf. O.S. protégez, O.N. vörðr, O.E. weard, O.H.G. verrue, aussi Fr.,Da. garde, Station thermale.,Pt. guarda, aussi dans Eng. 'seigneur' et 'économe'), andwort., garde, salle, comme Gmc. ward.n (cf. O.N. varða, O.S. wardon, O.E. warian, wearian, O.Fris. wardia, O.H.G. warten, M.Du. waerdenGer. warten, O.N.Fr. gardien de prison, O.Fr. guarder); wor., marchandises, protection, articles, comme Gmc. waro (cf. O.E. waru, O.Fris. été, M.Du. été, M.H.G., Ger. articles, Du. waar, Swed. vara, Dan. vare), comme dans sombhtowor des traductions de l'emprunt anglais., logiciel, et kartuwor., matériel (voyez kratós); aussi, wóruos suffixe, garde, comme Gk. ouros; swor différent., voyez, comme Gk. hor.n, dans le panswóramn, panorama; wer suffixe., respectez, sentez la crainte pour, comme Lat. uer.r., dans le rewer., révérez.

b. Mel MIE, fort, grand, meliós, mieux (originairement plus "fort"), comme Lat. melior, dans le melios., meliorate; mltos du zéro-niveau suffixé, beaucoup, beaucoup, comme Lat. multus; comparez aussi Osc. moltam, Umbr. motar, mutu, Gk. mela, Ltv. milns.

c. Le mel IE, faux, mauvais, mal, donne mális latin, mal, malós, mauvais, comme (< mali-chnós, malfaisant, de chen IE) dans le malghábitos, maladie, de mali-ghabitós, en condition pauvre (voyez ghabh), mal.ria, "mauvais air", malaria (de mal.-.weri.), malidhakt.r, malfaiteur, malidhakós, maléfique, etc.; ml du zéro-niveau, dans mlsbh.mós, en "parlant le mal", blasphémez (de bh., parlez); meliós, traître, comme Av. mairiia -, dans Eng. 'markhor.'

II.   Allemand a:

II.A. La "femme" anglaise est peut-être de TARTE racine nominale ghw.bhs, honte, pudenda, comme Toch. kip / kwipe, "pudenda féminin", w.bhom donnant (gh), femme, femme, de (avec fléchir sémantique de la signification originale) Gmc. w.bam (cf. O.N. vif, O.S., O.Fris., O.E. wif, Dan., Swed. viv, M.Du. wijf, O.H.G. wib, Ger. Weib). Quelques-uns reconstruisent finalement cette racine comme de la même source comme cén IE général., femme.

La "femme" anglaise est un composé spécial restreint en anglais et hollandais, illuminé. "femme-homme", O.E. w.fmann, de w.f ('femme adulte', Eng. femme) et mann, wimman plus tardif (pl. wimmen), comme Du. vrouwmens, "femme"; il a été opposé originairement à wæpen-mann, "arme-homme", mâle, avec les harmonique sexuels clairs.

Le wébnom MIE, arme, est la reconstruction IE régulière de Gmc. wepnam (cf. O.S. wapan, O.N. vapn, Dan. vaaben, O.Fris. wepin, M.Du. wapen, O.H.G. waffen, Ger. Waffe), sans dérivés connus à l'extérieur d'allemand.

II.B. Pr.w indo-européen., la maîtresse, femme, donne Gmc. fraw. (cf. O.H.G. frouwa, M.H.G. vrouwe, Ger. Frau, Du. vrouw, froy yiddish), et vient de TARTE par.

III. Aurat Hindustani commun (cf. L'Ourdou ...., l'hindi.) vient de Pers. ...., dans le tour d'arabe ....... (imperfection), bien que le mot persan habituel soit zæn, de cén indo-européen.

121.     Proto-Indo-Europeanékwos a pu être un eku de la forme suffixe - apparenté à l'adjectif de l'o-niveau allongé .kús, rapide, rapide (comme Lat. ocior, ocius, Gk. ...., Skr. .. ús); comparez Gmc. ekhwaz (cf. Goths. ai.a, O.N. iór, O.Eng. eoh) Lat. equus, Gk. ....., Skt. a.va, Av. asva -, Phryg.es, Pers. aspa / asb, Kamviri u.pa, Toch. yuk / yakwe; Vieux. Pruss. awinan, Lith. a.va, Gaule. epos, O.Ir. ech / chacun; Ebol gallois; Bras. .., Thrac. esvas, ekvon Venetic; Hitt. a.uwas Lyc. esbe -. Les mots communs dérivés de grec sont des ekwopótmos, hippopotame (de Gk. pótmos, rivière, d'animal familier, v.i.), allumé. "rivière-cheval", ekwokámpos, hippocampe, ekwodrómos (de Gk. -......, champ de courses), hippodrome, ekwogr..ps, hippogriffe (de Lui. grifo, Lat. gryphus, Gk. gr.ps).

Pour animal familier de la TARTE, la ruée, mouche, compare pétr des dérivés., empennez, comme Gmc. fethr. (cf O.N. fjöðr, O.E. feðer, M.Du. vedere, Ger. Feder), peto, allez vers, cherchez, comme Lat. petere, comme dans petíti.n, petolánts, irritable, adpeto, efforcez-vous après, adpetítos, désir fort, l'appétit, kompeto, rivalise, enpeto, attaque, énpetus, élan, enpetuós, impétueux, repeto, repeat;pétn., plume, aile, comme Lat. penna, pinna, comme dans le petn.kolom diminutif, apogée; propetiós (dans le composé avec professionnel -, en avant), favorable, gracieux, propice, originairement une signification du terme religieuse "tomber ou se dépêcher en avant", d'où "passionné", "bien disposé" a dit des dieux; aussi, de pte de la racine alternatif -, ptér.n, plume, aile et ptér.ks, aile, comme Gk. ......, comme dans ptero des composés - et - pteros, pter.ks; ptíl.n, plumes douces, en bas, plume; pt.nos, ailé, qui vole; redoublez pipto, chute et adjectif verbal pt.tós, en tombant, dérivés baissés, et nominaux pt.tis, chute, ptosis et pt.mn, une chute, corps baissé, cadavre, comme dans le kompipto, convergez, coïncidez de qui kompt.tós, croiser, et .kompt .tós, ne croiser pas, asymptote, et aussi kómpt.mn, un événement, symptôme d'une maladie; pótmos de l'o-niveau (dans le composé avec Gk. suffixe - amo -), "expédier de l'eau", rivière; péttrom, plume, feuille, comme Skr. pattram.

"Le cheval anglais moderne "vient de Gmc. khursaz (cf. O.Eng. hors, O.N. hross, O.Fris. hors, M.Du. ors, Du. ros, O.H.G. hros, Ger. Roß) qui a une origine incertaine; suivant changements phonétiques allemands qu'il devrait être traduit comme MIE k.sos qui est raconté peut-être avec kers de la TARTE, course (cf. O.N. horskr, Lat. currere, Lith. karsiu, karr celtique), d'où peut-être originairement le même mot de la TARTE k.sos, kárros celtique donnant, wagon.

122.   Pour gher de la TARTE, saisissez, joignez, comparez des dérivés comme ghrdhio du verbe, ceignez, entourez, et ghrdhs du nom, ceinture, circonférence, comme Gmc. gurd - (cf. O.N. gjördh, O.E. gyrdan, gyrdel); ghórtos de l'o-niveau suffixé (ou Gmc. ghórdhos), clôture, d'où jardin, pâturage, champ, comme Gmc. gardaz (cf. Goths. gards, O.N. garðr, O.E. geard, O.Fris. garda, O.H.G. garto, Du. gaard), Lat. hortus, Gk. khortos, O.Ir.gort, Bert. garz, et aussi, avec une signification plus large de maison, village, la ville, ville, compare des Goths. garþs et O.Ice. gerði, Phryg. -gordum, Gk. ........, Aube. garth, - dhi, Toch. kerciye (de ghórdhiom), et (pas satemized) O.Ind. g.hás, Av. g.r..., Lith. gar.das, gardin.s, O.C.S. ....., Rus. ....., - ...., Pol. gród, d'où Proto-Balto-Slave gard.s, suggérer une évolution irrégulière (pour satemized formes Baltique, cf. O.Pruss. sardis, Ltv. zardi). Aussi, a préfixé et zéro-niveau du suffixd komgh.tis, clôture, jardin, compagnie de soldats, multitude, cohorte, comme Lat. cohors, cohortis, ou cors, cortis, d'où aussi cour, comme dans le komghrtisí., politesse, révérence ou komghrtíti., cortège, komghrtiti.nos, courtisan, (de Lui. cortigiano) et komghrtiti.n., courtisane; et ghóros grec, en dansant terre, dansez, choeur dramatique, comme dans ghor.lis, chorale, chorale (pour Med.Lat. cantus chor.lis, MIE kántos ghor.lís), ou ghoríst., choriste, etc.

123.   Adjectif sw.dús, sucré, agréable, est l'origine de Gk. ...., Skr.  sv.du, Av.xw.sta, Toch. sw.r/sw.re, Lith. s.dyti, s.odki polonais, Gaule. Suadu, O.Ir. sant, chwant gallois, et même de supplémentaire a suffixé * sw.duís, charmant, comme Lat. su.uis. Aussi, comparez des dérivés de racine de la TARTE sw.d, comme sw.diós, dessert, comme Gmc. swotijaz (cf. Goths. sutis, O.N. sötr, O.S. swoti, O.E. sw.te, O.H.G. suozi, M.Du. soete, Eng. sucré, Ger. süß); sw.d., conseillez, préconisez (< "recommandez comme bon"), comme dans les dérivés modernes sw.sti.n (< * sw.dtio), conseils, dissw.d., persw.d.; aussi, sw.d.s, plaisir, aedes, comme Gk. ...., et sw.don en outre suffixe., plaisir, comme Gk. ....., donner sw.donikós, hedonic et sw.donísmos à dérivés modernes, hédonisme.

124.   Neqt de la racine de la TARTE - vient probablement d'un plus vieux nec de la racine verbal, soyez sombre, soyez nuit. Les mots communs certifiés sont habituellement d'o-niveau nóqts / nóqtis (mais compare plus vieux Hitt. nekuz, peut-être d'IE II néqus), comme Gmc. nakhts (cf. Goths. nahts, O.N. natt, O.E. niht, neaht, O.H.G. naht, O.Fris., Du., Ger. nacht), Lat. nox (contenez noct -), Gk. ..., Skr. nakti, Toch. nakcu/nekc.ye, Vieux naktin prussien, Lith. naktis, Ltv. nakts, O.C.S. nosti, Russ. ...., Noc polonais, O.Ir. innocht, nos gallois, aube. natë. Les dérivés incluent nóqtu., hibou de la nuit; et necrós de la racine verbal ordinaire suffixe, noir, comme Lat. niger, comme dans le denecr., noircissez, souillez, d'où dénigrez.

125.   Pour mreghús de la TARTE, mettez au courant, comparez mrghijós du zéro-niveau, "court-durable", d'où agréable, comme Gmc. murgijaz (cf. Goths. gamaurgjan, O.E. myrige, O.H.G. murgi, Eng. joyeux), ou étendu * mreghuís, comme Lat. brevis; comparez aussi Gk. brakhus, Av. m.r.zujiti.

126.   Kan indo-européen, chantez, donne Gmc. khannjo (cf. O.E. hana, O.H.G. henné, M.Du. henne), khan (e) n. (cf. O.E.hen, henn), Lat. canere, kant du frequentative., comme Lat. cant.re, comme dans kant.t., adkántos, accent, enkant., enchantez, enkant.ti.n, incantation, enkánt.iuos, motivation; kán suffixe., chanteur; opskan, "un qui chante avant les augures", comme Lat. oscen, un oiseau chanteur usagé dans la divination; kánm.n, chanson, poème, charme, Lat. carmen.

127.    La TARTE différente rédige pour "bateau, nef":

JE. Pour n.us / náwis indo-européen, bateau, la nef, peut-être d'un premier nau de la racine verbal, nage, comparez O.E. n.wend, SUR n.r, Lat. nauis, Gk. ...., Skr. n.u, Av. nav.za, O.Pers. n.viy., Bras. nav, Ir. nau, noe gallois, aube. anije, Osset. nau. Les dérivés communs incluent naw.lís, naval, nawig., naviguez, náwigiom, transportez, (pl. náwigia, bateaux de qui Eng. marine); de Gk. ...., ......, est des náut MIE., marin, marin, nautikós, nautique, nautílos, marin, nautile, .weronáut., aeuronaut (voyez wer, air), aqanáut., aquanaute (voyez aq., eau), astronáut., astronaute (voyez ast.r, étoile), kosmonáut., cosmonaute (de Gk. kósmos, cosmos).

I.1. Le terme "marin" anglais vient de móris de la TARTE, mer, lac, étang, comme Gmc. mariz (cf. Goths. marei, O.N. marr, O.E. simple, O.H.G. gâtez., M.Du. meer, Ger. Meer), Lat. jument, Skr. mary.d., O.Pruss. mary, Lith. marios, Ltv. jument, O.C.S. morje, Russ. plus, morze polonais, Gaule. (Est) morici, O.Ir. muir, môr gallois, aube. përmjerr; móriskos des dérivés donnant, marais, terre eau-enregistrée, comme Gmc. mariskaz (cf. O.E. mersc, merisc, O.Fr. maresc, mareis, Du. gâte, Ger. Marsch); morinós, marin, moriqéltos., mariculture, oltr.morinós, bleu outremer.

I.2. Pour áwis IE (plus tôt * h2ewis), oiseau, comparez Lat. avis, Umb. avif, Gk. aetos, Skr. vis, Av. v., Bras. hav, Lith. vi.ta, Ltv. vue, Ir. aoi, hwyad gallois; les dérivés incluent awi.siós, volière, awiqéltos., l'aviculture, awiáti.n, aviation et MIE prête le mot pour avion, awi.n (cf. Fr. avion, Station thermale. avión, Pt. avião, Rom.,Slo. avion); awispéks, augure, auspice ("observateur d'oiseaux", voyez spek, observez).

Peut-être d'o-niveau est ówjom, oeuf (alsoa ójjom de la forme alternatif, les deux de plus tôt * h1óh2wiom), comme Gmc. ajjam (cf. Goths. ada, O.N. oeuf, O.E. .g, O.H.G. ei, Eng. [cockn] ey) Lat. .uum, Gk. .ion, Pers. x.yah, Kurde. hék, Bras. dzu, O.C.S. aj.se, Rus. jajco, Ir. ubh, .y gallois, Bert. ui, aube. ve, vo. De latin est owjalís, ovale, ówjolos, ovule, ovolo ou owjásios, ovaire; de faible. owjókos, O.Ira. .vyakah, est MIE 'partiel' mot de l'emprunt owj.r ou 'plein' mot de l'emprunt kawj.r, caviar, de M.Pers. kh.vyar, à travers Turc dans caviar français.

Pour "avion", les mots différents existent dans MIE, comme l'emprunt rédige (d'anglais qui utilise des mots latins) .weroplánom, de .w .r + plánom (cf. Lat. aeroplanum, Eng. avion, Gk. ........., Il.,Station thermale.,Pt. aeroplano, Lith. aeroplanas, Russ. ........, Pol. aeroplan, aube. aeroplan, jarplan Saami égal, .vir .n hébreu, etc.), Pleukom.ghan allemand., de pléuk+m.ghan. (cf. Ger. Flugmaschine, Da. flyvemaskine, flyver, Swe. flygmaskin, Fris. fleanmasine) ou plánom (cf. Swe. [flyg] plan, Eng. avion), Balto-Slave [somo] lékts (m., cf. Lith. l.ktuvas, Russ. ......., Ukr. ....., Pol. samolot, Cz. letadlo, letoun, Slk. lietadlo, Bulg. ......., Slo. letalo).

Un wer de la racine (á) indo-européen, augmentation, ascenseur, que l'influence a suspendu, plus vieux * h2wer, est reconstruit pour les dérivés grecs différents: awero, augmentation et awrtéri., trachée, artère, aussi metáworos, météore, "soulevée dans l'air", Gk (de méta -, meta -, et - aworós, soulevé). ........; .w .r, aérez (de .wer allongé), comme dans .weri .lís, aérien, ou mal.-.weri., malaria, illuminé. "mauvais air" (voyez Lat. malós, mauvais); áur du zéro-niveau., souffle, vapeur, aura.

Pour pleu indo-européen, coulez, comparez metathesized Lat. pluere, comme dans le plewiós, pluvieux, pluvious, plewi.lís, pluvial; Pléutis grec, naviguer, pleusis; le zéro-niveau a suffixé plúos, dépression, cuvette, dissimilated dans pyelos grec; pléum.n suffixe, "baigneur", poumon, comme Lat. pulm (de plumon), Gk. pneum.n (influencé par pneu, "souffle"), Skr. kloman, O.Pruss. plauti, Lith. plau.iai, Ltv. plau.as, Russ. plju.e, serbe. plu.a, comme dans pleumonós/pleumon.siós, pulmonaire, ou pleumoní., pneumonie; plóutos de l'o-niveau, richesse, richesse (< "déborder"), comme dans le ploutokratí., ploutocratie (voyez kratos), comme Gk. ............; l'o-niveau a allongé pl.wo, courant, comme Gmc. fl.wan (cf. O.N. floa, O.E. fl.wan, O.H.G. flouwen, Du. vloeien), pl.tus suffixe, eau coulante, déluge, inondation, comme Gmc. fl.thuz (cf. Goths. fiodus, O.N.floð, O.E. fl.d, O.Fris. flod, M.Du. vloet, Ger. Flut); pleuko étendu, montez à travers air, volez, aussi nagez, comme Gmc. fleugan (cf. O.N. flügja, O.E. fl.ogan, O.H.G. fliogan, M.Du. vlieghen, Ger. fliegen), Lith. plaukiu, et pléuk., volez, insecte volant, comme Gmc. fleug.n (cf. O.S. fleiga, O.N. fluga, O.E.fl.oge, M.Du. vlieghe, Ger. Fliege), et aussi peut-être pleuko, fuyez, prenez vol, comme Gmc. fleukhan (cf. O.N. flöja, O.E. fl.on, O.H.G. fliohan, Du. vlieden, Ger. fliehen, bien que quelquefois ait reconstruit comme Gmc. thleukhan, comme goth. þliuhan, alors plus tard a influencé par cette racine), ploukio causatif, mis à vol, comme Gmc. flaugjan (cf. O.E. flygan, flegan, Eng. fley), pléukik., fléchez, de Gmc. fleugika (cf. Francique dans O.Fr. flèche, Il. freccia, Station thermale.,Pt. flecha); plúktis du zéro-niveau, vol, comme Gmc. flugtiz (cf. O.E. flyht, fluht, Ger Bas. flugt, Ger. Flucht); aussi plúgos, oiseau, dissimilated comme Gmc. fuglaz (cf. Fugls Gothique, O.E. fugol, O.N. fugl, M.Du. voghel, Ger. vogel, Goths. fugls), aussi dans le plúgilos, aile, comme Gmc. flugilaz (cf. M.H.G. vlügel, Ger. Flügel); pleudo étendu, flotteur, baignade, comme Gmc. fleutan (cf. O.E. fl.otan), et pléutos, flotte, martinet, comme Gmc. fleutaz (cf. O.N. flj.tr, O.E. fleot), aussi comme plud du zéro-niveau (i) o, flotteur, comme Gmc. flot.n (cf. O.E. flotian, Fr. flotter, Station thermale. flotar, aussi de même racine Lith. plaukti, Du. vloeien),

Le pneu de la TARTE, souffle, est probablement une racine imitative qui paraît dans le pneuso, éternuement, comme Gmc. fneusan (cf. O.N. fnysa, O.E. fn.osan, O.H.G.fnehan, Eng. éternuement), pnus du zéro-niveau (k) o, éternuement, ronflement, comme Gmc. fnus (k) un (a affecté par rhotacism, cf. O.E. fnora, semblable à M.H.G. snarchen, Du. snorken, Ger. schnarchen, Swed. snarka), et pneso différent, reniflez, grincez ses dents, comme Gmc. fnesan (cf. O.E. fn.ran, Eng. ricanement). Les dérivés grecs modernes incluent pnówi de l'o-niveau., - pnowi., respirer, et pnow., souffle, comme dans .pnówi., apnée, (a) supnówi., eupnea, superpnówi., hyperpnea, supopnówi., hypopnea, etc.; aussi, pnéumn, souffle, vent, esprit, comme dans le pneumo -, pneumnto -.

Aussi, un Indo-européen Moderne a reconstruit lúptus, l'air, ciel, est la source de Gmc. luftuz (cf. Goths. luftus, O.E. lyft, O.N. lopt, O.H.G. luft, Du. lucht).

Pour magh, soyez capable, ayez le pouvoir, comparez Gmc. magan (cf. Goths. magan, O.N. méga, O.E. magan, O.H.G. magan, Ger. mögen, Eng. , aussi dans V.Lat. exmag.re, MIE [d] eksmagh., "privez de pouvoir", effrayez, O.Fr. esmaier, desmaiier anglo-normand, Eng. consternez, Station thermale. desmayar), Att.Gk. ....., Dor.Gk. ....., Skr. magha, Toch. mokats, Bras. mart'ans, Lith. mãgulas, magùs, m..gstu, m..gti Ltv. megt, Sla. mog., mogti, (cf. O.C.S. ...., ....., O.Russ. ...., ...., Russ. ...., Pol. móc, mog., Sr.-Cr. ...., ...., Cz. mohu, m..e., m..i); mághtis, pouvoir, comme Gmc. mahtiz (cf. Goths. mahts, O.N. mattr, O.E. miht, meaht, O.Fris., M.Du. macht, Ger. Macht, Eng. ), mághinom, pouvoir, strenght, comme Gmc. maginam (cf. O.E. mægen, O.N. megenn, Eng. principal); suffixé m.ghan allongé., usinez, appareil "que lequel permet", d'Att.Gk. ......, Dor.Gk. ......., m.ghanikós, mécanique, et m.ghanísmos, mécanisme, d'À la mode.Lat. m.chanismus, ou m.ghano; mághus suffixe, mage, membre d'une caste sacerdotale, magicien, comme (de "puissant") O.Pers. magu. (a dit par les historiens anciens avoir été originairement le nom d'une tribu Médiane, emprunté dans Gk. ..... et alors dans Lat. mage), comme dans le maghikós, magie ou mághik., sorcellerie, magique, (comme O.Fr. magique, de Lat. magice, de Gk. magik., fem. de magikos) ou Mághes, Mages.

Lekto MIE commun, mouche (cf. O.C.S. ......, ....., Russ. ......, Pol. l..i.., l..., aussi O.C.S. ......, Russ. ...... Pol. lata.), et lekts du nom, "aviateur", avion, (cf. Russ. ..., Sr.-Cr.,Slo. lèt, Pol. terrain, Cz. laissez) est reconstruit pour mots du commun Balto-slaves, cf. Lith. lekiù, l..kti, lakstýti, Ltv. lèkt, l.cu, lècu, l..kat; comparez aussi O.H.G. lecken, Ni. lakka, Ger. löcken, Lat. l.custa, Gk. .....,..., ........

I.3. TARTE (a) st.r, plus tôt * h2ster, est trouvé dans Gk. ....., asterískos, astérisque, asterowéid., asteorid (dans le composé avec Gk -.- ....., IE - o-weid., de wéidos, forme, la forme, de weid, voit, sachez) comme Gk. ..........., astro -, comme Gk ..... -, astr.lís, astral, ástrom, comme Gk astron, dans Lat. astrum, comme dans le disástrom, désastre; sters suffixe., Gmc. sterz.n (cf. Goths. stairno, O.S. sterro, O.N. stjarna, O.E. steorra, O.Fris. stera, O.H.G. sterro, Du. ster, Ger. Sévèrement), stérl., comme Lat. st.lla, comme dans le sterlalís, stellaire, komsterláti.n, constellation. Aussi, comparez Skr. t.ras, st.bhis, Pers. set.re, Kurde. stérk / estére, Oss. sthaly, Toch. .re /.. irye, Bras. ast., seren gallois, Kam. .â .to, Hitt. .ittar.

II.   Bheid indo-européen, fente, comme Gmc. b.tan (cf. Goths. beitan, O.E. b.tan, O.Fris. bita, M.Du. biten, Ger. beissen), bhídis du zéro-niveau, morsure, dard, comme Gmc. bitiz (cf. O.E. morsure), ou bhíd., morceau, un pice mordu, comme Gmc. bit.n (cf. O.N. biti, O.E. mordez, bita), bhidhrós, amer, tranchant, comme O.E. mordu (t) les er, bhoidhio, harcellent ou chassent avec chiens, comme Eng. harcelez ou encouragez, Gmc. baitjan (cf. O.N. beita, O.Fr. beter), bhóids, bateau (< "canoë de pirogue" ou "planche fendue"), comme Gmc. harcelez - (cf. O.E. b.t, Ger., Du. amorcez, Da.,Ni.,Swe. båt, aussi O.Fr. batel, Fr. bateau, Il. battello, Station thermale. bote, Sco. bàta, gallois mauvais, Salut. empotez, même paat estonien, b.to japonais, etc.); aussi nasalisé zéro-gradebhindo, fendez, comme Lat. findere, avec p.part. bhistós (< * bhidto -) bhísti.n donnant, fission, bhist.s., fissure.

III. Baris grec "bateau égyptien", de bari copte "petit bateau", a été adopté comme bár (i) k.in latin, comme O.Fr. péniche (de M.L. barga, et dans Bert. empochez, Eng. péniche), Gk. ....., Il. barca, Station thermale., Pt. barco, barca, Rom. barc., aube. varkë, Slo. barka.

IV. Le "bateau" allemand est reconstruit comme skibs MIE, bateau, bateau, de Gmc. saut - (cf. O.N., O.S., Goths. sautez, O.E., M.Du. scip, O.H.G. skif, Dan. skib, Swed. skepp, Du. schip, Ger. Schiff, Yid. shif), peut-être un zéro-niveau a étendu le dérivé de skei (dans le tour dérivé de sek de la TARTE), coupe, fente, qui donne skéin suffixe., devant de la jambe, tibia, (comme O.E. scinu), ou ekskéin., colonne vertébrale, chine, comme O.Fr. eschine; de Lat. scire, "sachez", (d'une "chose séparée de nother, discernez") est skejéntia MIE, connaissance, érudition, science, komskejénti., la conscience, skeisko de l'inchoative, vote pour, skéitom donnant, décrétez de qui pledhuweskéitom, plébiscite (voyez pl.dh.s, gens); skíjen., poignardez, comme O.Ir. sc.an, Eng. skean; skeido, séparez, déféquez, comme Gmc. sk.tan (cf. O.N. sk.ta, O.E. sc.tan, O.H.G. sk.zzan, Eng. sh.t); skidio, fente, comme (aspiré) Gk. ......., trouvez dans le skísmn, schisme, skidio -, schizo -; skindo du zéro-niveau nasalisé, fente, comme Lat. scindere, p.part. skistós (< * skidto -), dans skísti.n, scission, aussi dans l'ekskindo, exscind, pr.iskindo, que les prescind, reskindo, annulent; skeito étendu, séparez, comme Gmc. skaithan (cf. Goths. skaidan, O.S. skethan, O.E. sc.adan, scadan, O.Fris. sketha, M.Du. sceiden, O.H.G. sceidan, Du. scheiden, Ger. scheiden), skéitom, grosse bûche, le bâton, raquette, skie d'où, comme O.N. sk.dh, de Gmc. sk.dam, aussi comme MIE prêtent sk du mot. (t); skóitom, bouclier (< "comité"), comme Lat. sc.tum; skeipo étendu, tranche, fente, comme Gmc. sk.fan, comme dans O.N. sk.fa, M.E. sheve, M.L.G. schever, Eng. sheave, skive, frisson.

V.    Pour "lod slave -" (cf. O.C.S. ......, ....., O.Russ. ....., ......, Ukr. ...., Bel. ......, Pol. .ód., Cz. l.d., lodí, Sr.-Cr. la.a, Slo. ládja, Bul. .....) un Slave commun vieux., MIE óld.s, est reconstruit (cf. Lith. aldijà, eldijà), aussi a certifié comme O.E. .. ld., "alviolum", Swe. ålla, Da. .. ld., olde, Ni. .ld., cadran. olle.

VI. Mots de l'emprunt grecs communs pour "bateau", aussi "personne revêche, coléoptère", est karábi.n, comme Gk. ........, a emprunté dans O.C.S., Russ. ......., O.Pol. korabia, Ukr. ........, Slk. koráb, Sr.-Cr. korab, ......., aussi Rom. caraban, aussi kárabos, comme Gk. ......., a emprunté dans Lat. carabus (cf. Fr. caravelle, Il. caravella, Station thermale. carabela, Pt. caravela), aube. karabishte, même q.rib arabe, aussi bien que (probablement) skarabáios, scarabée, comme V.Lat. scarabaius (cf. Fr. scarabée, Il. scarabeo, Station thermale. scarabajo, Pt. escaravelho, aussi dans Gk. .........., Russ.,Bul. ........, Sr.-Cr.skarabej, etc.). Probablement sans rapport à Eng. "personne revêche", de gerbh IE, "grattement."

VII.    Pour Persan .... (ke.ti), "transportez", trouvez dans Hindustani ka.ti (cf. Salut. ....., Ur. ....), d'une source apparenté à kath Indo-iranien, "bois", kadh MIE, kástis (< * kadhti -), peut-être non-IE, mais peut-être une racine secondaire a dérivé d'un plus tôt * ka -, apparenté boiser, bois; comparez avec indo-européen enracine kat - ("hutte", cf. Lat. casa, Av. kata -, Pers. kad, v.s.), kaito - ("boisez", v.i) et kald - ("bois", comme O.C.S. les klada "rayonnent, boisez", Gk. "brindille" du klados, O.Ir. "bois" du caill, et zéro-niveau k.dom, Gmc. khultam, cf. O.E.,O.Fris., M.Du. holt, O.H.G. holz)

Rootkaito indo-européen -, boisez, la terre inculte, aussi bois, est certifiée (dans Celtique et allemand) comme Gaule. kaito-briga (Lat. c.to-briga), coit O.Welsh, O.Cor. cuit, Bert. coet, et aussi de káitis, Gmc. khaithis (cf. Goths. haiÞi, O.N. heiðr, O.E. hæ.ð, O.H.G. heida, Eng. bruyère, Ger. heide), et a emprunt-traduit káitinos allemand, païen, comme Gmc. khaithinaz (cf. Goths. haiÞn., O.N. heiðinn, O.E. hæ.ðen, O.H.G. heidan), de Lat. paganus, de Lat. pagus, "terre."

Proto-Indo-Europeanpag, aussi pak, attachez, donne pakio, joignez, allez, comme gmc. f.gjan (cf. O.E. f.gan, Eng. fée), panko nasalisé, saisissez, comme Gmc. panhan (cf. O.E. croc, feng, Du. vangen, O.H.G. fangen), et pango, attachez, comme Lat. pangere, comme dans l'enpango, heurtez-vous, ou l'emprunt rédige kompagtós, compacte, enpágtos, impact; p.ks, paix (de "une agglutination ensemble par traité ou accord"), comme Lat. paix, dans le pakidhak., pacifiez, pakidhakós, pacifique; pakisko, consentez, comme Lat. pac.sc., comme paktós, convenu, páktom, pacte; pákslos, pieu (arrangé dans la terre), perche, comme Lat. p.lus, dans páksliki MIE., palissade (de V.Lat. p.l.cea, dans Prov. palissada, Fr. palissade, Station thermale. palizada), enpaksl., empalez, tripaksli., travaillez difficilement (de tripáksliom, instrument de torture, de tri-paksli, avoir trois pieux, Lat. tripali.re, Fr. travailler, Il. travagliare, Station thermale. trabajar, Pt. trabalhar, Chat. treballar, trabaho Philippin, etc., aussi Eng. voyagez, de Fr. labeur); prêtez páksl., bêchez, comme Lat. p.la; allonger-niveau p.gos, "la limite a marqué sur la terre", district, village, pays (cf. Fr. salaires, Il. paese, Pt.,Station thermale.,Chat. país, Rom. pajais), comme dans p.g.nós, pays-habitant, civil, alors étendu comme païen, et p.génts, habitant d'un district (comme Lat. p.g.nsis, M.Fr. paisant, Eng. paysan, Station thermale. paisano, Chat. pagès, etc.), p.gin., "treillis auquel une ligne de plantes grimpantes est arrangée", d'où (par métaphore) colonne d'écrire, pagine, comme Lat. p.gina; pr.p.g., propagez (de "ennui avant", withpr., avant); pagno, attachez, coagulez, comme dans p.gtós, a coagulé, Gk. ......, ou p.gtin., pectine, et págos, masse, colline.

VIII. Wordcheln slave commun, "voyagez en bateau", (cf. Russ. ...., Ukr. ....., Cz. .lun, Slk. .ln, Slo. .oln), tsheln MIE, était le nom utilisé par les Cosaque de Zaporizhian Sich dans les premières campagnes militaires de la Marine russe contre les Tatars et Turcs, utiliser des voiliers et des bateaux à rames, dans les 16th-17thcenturies.

IX. Qayeqand persan grec ....., "voyagez en bateau", est d'une source apparentée à caïque français, Il. caicco, i.e. probablement kayik turc, les qayghug O.Turkish, peut-être d'un vieux mot Turkic (ou autrement vieil Asiatique), ont été en rapport peut-être avec kayak indien américain, et Américain cayuco espagnol. D'où, kájik MIE, bateau, caïque, kájak, kayak.

Une racine de la TARTE semblable (mais sans rapport) à ceux-ci non-IE les mots sont kaikós, éblouissez, comme goth. haihs, Lat. caecus, Gk. kaikias, Skr. kekara, Lith. keikti, Kajko polonais, O.Ir. caech, coeg gallois.

Un mot ibérique commun pour "chauve-souris" est MIE kaikom.s, "souris aveugle" (cf. Gl.-Pt. morcego, Station thermale. murciégalo, Chat. muricec), de TARTE m.s, souris, Gmc. m.s (cf. O.N.,O.Fris., M.Du., O.E., O.H.G. m.s, Eng. souris, Ger. Maus), Lat.m.s, Gk. m.s, Skr. m., Av. mus, Pers. mu., Bras. muk / grande tasse, Lith. mus., O.C.S. mysu, Russ. ...., Mysz polonais, aube. mi, musa Kamviri. Comparez pour MIE pleukom.s, lektom.s, "souris volante", comme Da. flagermus, Ni. flaggermus, Swe. fladdermus, Fae. flogmús, Du. vleermuis, Ger. Fledermaus, Russ. ....... ...., Bel. ..........; cf. aussi Sr.-Cr. mi du slepi., .i .mi., etc. Aussi, cf. mots pour nuit, Gk. ........., Lat. uespertilio.

X.    Jah.z persan, aussi trouvez dans Hindustani (cf. Salut. ...., ....., Ur. ....), est d'origine arabe.

XI. Vesselcomes anglais d'O.Fr. vaisseau, dans le tour de V.Lat. uascellum "petit vase ou urne", aussi "un bateau" (cf. Fr. vaisseau, Il. vascello, Chat. vaixell, Station thermale. bajel, et, de Lat. pl.n. uasc.lla, Station thermale. vajilla, Pt. baixela), faible. d'uasculum, il un faible. de "vaisseau" u.s (cf. Fr. vase, Il.,Station thermale.,Pt. vaso, Chat. vas), d'où MIE prêtent rédige w.s, vaisseau, vase, wáskolom, vaisseau, bateau.

128.   Mots indo-européens pour "guerre, bataille":

JE. Un mot de la TARTE commun paraît avoir été des kóros, guerre, conflit, comme O.Pers. k.ra, Pers. k.rz.r, Kurde. .er, O.Pruss. kargis, Lith. karas, Ltv. ka., Russ. ...., Pol. kara; avec kórios des dérivés, force armée, guerre-bande, hôte, armée, troupe, comme Gmc. kharjaz (cf. Goths. harjis, O.N. herr, O.E. ici, O.H.G. heri, Eng. heriot, Ger. Heer), Lith. karias, Gaule. [Tri] corii, O.Ir. cuire;koriános, souverain, chef, commandant, comme Gk. koiranos;koriobhérghos, la "colline de l'armée", colline-fort, abrite plus tard, en logeant, quartiers de l'armée, comme Gmc. kharjabergaz (cf. O.N. herbergi, O.E. herebeorg, Du. herberg, Ger. Herberge, härbärge suédois; signifiant changement dans Eng. hébergez, dans harbwr gallois, voyez bhergh, v.i. pour refuge allemand, "port"); koriowóldhos, armée-commandant, héraut (woldho, la règle, pouvoir, voit wal), comme Gmc. kharja-waldaz (cf. Héraut anglo-normand, Ger. [Wappen] herold, Fr. héraut, Il. araldo, Station thermale. heraldo, Pt. arauto, etc.), korionéstom, "vivres de l'armée", harnais (de néstom, nourriture pour un voyage, voyez nes), comme Gmc. kharja-nestam (cf. O.Fr. harneis, Eng. harnais); korio dénominatif, harcelez, ravage, pillage, attaque, comme Gmc. kharj.n (cf. O.E. hergian); korikrénghos, "hôte-bague", assemblée, carré public (krénghos, sonnez, voyez sker), comme Gmc. kharihring (cf. O.It. aringo, arringa, Prov. arenga, Eng. haranguez, Station thermale. arenga, etc.).

I.1. Wal de la TARTE, soyez fort, est trouvé comme wal du stative suffixe., Lat. ual.re, comme dans le walós, fort, wál.s, la force, komtr.wál.s, compense, walénts, bravez, vaillant, walénti., valence, ambhiwalénti., ambivalence, walidós, valide, .walidós, invalide, adwális, avantage (de Fr. aval), komwal.sko, soyez en convalescence, ekwalu., évaluez, pr.iwal., prédominez, walideiko, dites au revoir, (voyez deik, spectacle) walidéikti.n, valediction, aiqiwal., ayez force égale (comme Lat. aequi -, Eng. equi -), aiqiwalénts, équivalent; woldho de l'o-niveau étendu, gouvernez, gouvernez, comme Gmc. waldan (cf. O.S., Goths. waldan, O.N. valda, O.E. wealdan, wieldan, O.Fris. walda, O.H.G. waltan, Ger. walten, Eng. maniez), et wólstis suffixe (< * plateau-ti -), règle, comme Sla. volst. (cf. O.C.S. vlasti, Russ. ......., ......), comme dans l'opwólstis, oblast, Sla. ob - volst. (cf. O.C.S. ......., O.Russ. ........, Cz. oblast, etc.).

TARTE deik de la racine verbal, montrez, prononcez solennellement, donne Lat. d.cere, dites, dites, comme dans les emprunts déikti.n, diction, deikt., ordre, déikt.tos, ordre, déiktom, affirmation, addeiktós, le drogué, dwenideiko (voyez dwenós, bon), bénit, dwen.déikti.n, bénédiction, komdéiki.n, la condition, komtr.deiko, contredit, ekdeiko, édit, enterdéiktom, interdiction, jowosesdeikós, juridicial, (Lat. i.s, i.ris, correspond à jówos MIE, jowosés, voyez rhotacism), jowosesdéiktion, juridiction, malideiko, que les maledict, pr.ideiko, prédisent, w.rideiko, "dit la vérité", w.rideikós (voyez w.rós, vrai), veridical, w.ridéiktos, verdict; dik du verbe du zéro-niveau suffixé., proclamez, Lat. dic.re, comme dans l'apdik., abdiquez, dedik., consacrez, pr.idik., attribut; sufix de l'agential - dik -, dans l'éndiks, index, indicateur, index, endik., indiquez, aussi jówosdiks, juge, Lat. i.dex, jowosdiki.lís, judiciaire, pr.ijowosdik., préjugez, pr.ijowosdíkiom, préjugé; wínd.ks, garant, revendicateur, vengeur, comme Lat. uindex, comme dans wind.k., défendez, vengez, prenez vengeance; deikno, spectacle, déikmn, échantillon, modèle, comme dans le deíktis, déixis, deiktikós, deictic, paradéikmn, paradigme, apódeiktis, preuve, démonstration, politique (cf. Gk. ........., dans Lat apodixa, "reçu", alors Il. polizza, dans Fr. contrôlez, Station thermale. póliza, etc.); dík du zéro-niveau., justice, droit, cas de cour, comme dans le komdikós, syndic, comme Gk. ........, dhesodík., théodicée, et diko, jetez (de "direct un objet"), comme dans le dikskos, disque, Gk. ......; doiku de l'o-niveau., poussez du bout de l'orteil ("chien d'arrêt"), comme Gmc. taihwo (cf. O.N. ta, O.E. tahe, O.Fris. tane, O.H.G. zecha, M.Du. te). Deig de la forme différent - donne doigio de l'o-niveau, montrez, instruisez, comme Gmc. taikjan (cf. Goths. ga-teihan, O.E. t.can, O.H.G. zihan, Eng. enseignez, Ger. zeihen), dóignom, marque, signe, jeton, comme Gmc. taiknam (cf. Goths. taikns, O.S. tekan, O.N. teikn, O.E. t.cen, t.cn, O.H.G. zeihhan, O.Fris., M.Du. teken, Du. teken, Ger. zeichen), dígitos du zéro-niveau, doigt (de "chien d'arrêt, indicateur").

W.rós indo-européen (plus tôt * werh1-o -), vrai, digne de confiance, et w.r., fidélité, foi, d'où promesse, accord, que la promesse, traité, donne à Gmc. w.ro (cf. O.E. w.r, O.Du., O.H.G. guerre, Du. waar, Ger. wahr), Lat.verax (cf. O.Fr. verai, Anglo-Fr. verrai, O.E. verray, Eng. même), O.C.S. ...., Russ. ...., Pol. wiara, Bul. ...., Gwyr gallois, O.Ir. sapin. Les dérivés incluent w.r.ks, honnête, véridique, w.rit., vérité, w.ridhak., vérifiez, etc.

I.2. Nes de la TARTE, tournez bien, reposez-vous, rendez sans risque à la maison, donne O.Gk. nehomai (* ninsomai), O.Ind. nasate, Toch. Nas - / nes; aussi, néstom suffixe, nourriture pour un voyage, comme Gmc. nestam (cf. O.E., O.H.G., O.N. nid), comme dans le korionéstom, harnais (pour kóros, guerre, v.s.); nóstos de l'o-niveau, une maison du retour, comme Gk. ......, trouvez nostalgí en commun., dans le composé avec Gk. emprunter - algí., Gk. ....., d'álgos, douleur, Gk. ......

I.3. Ker de la TARTE, le tour, coude, donne skreng étendu nasalisé allemand, flétrissez-vous, ratatinez-vous en haut, comme Gmc. skrink, kréng., une ride, pliez, (cf. O.N. hrukka, Eng. ruck), et krengio, pli (cf. Frank. hrukjan, O.Fr. fronce, Eng. élancez-vous), comme Gmc. khrunk -; nasalisé krénghos étendu, entourez, quelque chose a courbé, sonnez, comme Gmc. khringaz, (cf. O.E. hring, O.N. hringr, O.Fris. hring, M.Du. rinc, Ger. Bague), aussi trouvez dans O.Fr. renc, reng, "ligne, la ligne" qui donne l'emprunt rédige krenghs, rang, la gamme, adkrengho, arrange; kreukios étendu, dos, comme Gmc. khrugjaz (cf. O.N.hryggr, O.E. hrycg, O.Fris. hregg, O.S. hruggi, O.H.G. hrukki, Du. tapis, Eng. striez, Ger. Rücken); les variantkurwós suffixe, penchant, ont courbé, comme Lat. curuus, comme dans le kúrw., courbez, kurwatós, a courbé, ou kurwatós., courbure; suffixé krísnis étendu, cheveux, comme Lat. cr.nis, kríst., touffe, crête, comme Lat. crista, kripsós, bouclé, comme metathesized Lat. crispus, d'où krispós MIE, croustillant; kris expressif., remuez les hanches pendant copulation, comme Lat. cr.s.re, dans le krísom, crissum; kíkros redoublé, sonnez (metathesized comme * kirkosin le latin), aussi cirque, kíkrolos, cercle, kikrom -, circum -, kíkr., allez autour, d'où cherchez, rekikr., recherche; o-niveau suffixé kor.nós, a courbé, comme dans kor.n., n'importe quoi a courbé, genre de couronne; kurtós différent, convexe, comme dans le kurtósis.

Une autre racine de la TARTE semblable est (s) ker, coupez, aussi "tondez, séparez" comme dans Gmc. skeran (cf. O.E. scieran, sceran, Ger Bas.,Du. scheren, Eng. tondez, pur), Gk. keirein, Skr. krnati, krntati, Lith. skiriu, O.Ir. scaraim, ysgar gallois, ysgyr, Hitt. karsh; skéros, part, portion, division, comme Gmc. skeraz (cf. O.N. skör, O.E. sc.ar, scearu, scaru, O.H.G. scara, Ger. Schar); sk.r., ciseaux, comme O.E. sc.ar, dans sk.rbhérghs, "protecteur de l'épée", fourreau, comme Gmc. skerberg (cf. O.H.G. les scarberc, escauberc O.Fr, voient bhergh); sk., encoche, pointage, score, de Gmc. skuro (cf. O.N. skor, O.E. scoru); skóriom, récif bas ("quelque chose a coupé), comme Gmc. skarjam (cf. Sker O.N, Eng. marquez d'une cicatrice, skerry), skórpos, fin de l'en diagonale-coupe d'un comité, comme Gmc. skarfaz (cf. O.N. skarfr, Eng. écharpe), skórdos de l'o-niveau suffixe, coupe, encoche, comme Gmc. skardaz (cf. O.E. sceard, Eng. tesson); skrdós, court, et sk.dos, jupe, chemise ("coupez le morceau"), comme Gmc. skurtaz (cf. O.N. skyrta, Swed. skjorta, O.E. scort, sceort; scyrte, M.Du. scorte, M.H.G. schurz, Du. schort, Ger. Schurz); skermo étendu, protégez, comme Gmc. skirman (cf. O.H.G. skirmen, O.Fr. eskermir), comme dans skérm MIE., escarmouche (cf. Eng. combattez par escarmouches, Du. schermutseling, Swe. skärmytsling, O.It. scaramuccia, Station thermale. escaramuza, etc.), skérmos, bouclier; forme différente kór.n, chair, comme Lat. caro (contenez carn -), comme dans koron.lís, charnel, koron.ti.n, oeillet, koron (es) lech.lis, carnaval, (cf. O.It. carnevale, haplology de Lat. carneleuare) aussi MIE emprunt partiel karnich.lis, koroniuorós, carnivore; kóriom, cuir (de "morceau de peau"), comme Lat. corium; krtós, court, comme Lat. curtus; Kórmos grec, tronc d'arbre égalisé, kóris, punaise (de "coupeur"); sk., étayez, comme Gmc. skur. (cf. O.E. scora, M.L.G. schor, M.Du. marqueur); kórteks, aboiement ("que fermé" lequel peut être coupé); kértsn., repas ("portion de nourriture), comme Lat. c.na; skerbhós, couper, tranchant, comme Gmc. skarpaz (cf. Goths. skarp -, O.S. escarpement, O.N. skarpr, O.E. scearp, O.Fris. skerp, Du. scherp, Ger. scharf), skrób., "morceaux", restes, comme Gmc. skrapo, skróbho, égratignure, comme Gmc. skraban, skróbis, tranchée, dith, comme Lat. scrobis, ou skr.bh., une truie (de "rooter, excavateur"), comme Lat. scr.fa; étendu epikrsiós suffixe, à un angle, incliné, "partial", comme Gk. epikarsios (cf. Fr. biais, Eng. parti pris).

I.4. Le "refuge" allemand vient de kápn IE., port, peut-être "place qui tient des bateaux", de P.Gmc. *khafn. (cf. O.N. hofn, O.E.hæfen, M.L.G. havene, Ger. Hafen, aussi O.N. haf, O.E. hæf, "mer"), de kap de la TARTE, cf de la poigne (comparez avec ghabh). Skr. kapati, Gk. kaptein, Ltv. kampiu, O.Ir. cacht, caeth gallois. Les dérivés communs incluent káptiom, manche, comme Gmc. khaftjam (cf. O.E.  hæft, O.H.G. hefti, Du. hecht, Eng. manche, Ger. Soupesez); kap de la forme de base, ayez, tenez, comme Gmc. khabb - (cf. Goths. haban, O.N. hafa, O.S. hebbjan, O.E. habban, O.Fris. habba, Eng. ayez, Ger. haben); kapigós, "contenir quelque chose", avoir le poids, lourd, comme Gmc. khafigaz (cf. cf. O.N. hebig, O.E. hefig); kápokos, faucon, comme Gmc. khabukaz (cf. O.N. haukr, O.E. h [e] afoc, M.Du. havik, Ger. Habicht, comparez avec Russ. kobec); - kaps, "preneur", comme Lat. -cèpes; kapio, prenez, saisissez, prise, ascenseur, comme Gmc. hafjan (cf. Goths. hafjan, O.N.hefja, O.E. hebban, Du. heffen, Ger. heben), Lat. capere, comme dans kap.ks, capable, vaste, kápti.n, légende, kapt.iu., captivez, kapt.iuós, captif, kaptós, captif, kapt.r, ravisseur, kaptos., capturez, antikapio, anticipez, komkapio, concevez, dekapio, trompez, ekskapio, exceptez, enkapio, les incept, enterkapio, interceptent, preismkáps, prince, moineskáps, citoyen, moineskápiom, ville, municipalité, obhkap., occupez, partikap., participez, perkapio, les cerceive, rekapio, reçoivent, remettez-vous, récupérez, supkaptibhilís, susceptible; k.p grec différent., aviron, manche.

Les ghabh de la TARTE, aussi ghebh, donnent ou reçoivent, a des dérivés comme Gmc. geban (cf. Goths. giban, O.N. gefa, O.E.giefan, O.H.G. geban, Eng. donnez, Ger. geben), Lat. hab.re, hafíar Oscan, habe Umbrian, Skr. gabhasti, Lith. gabana, Ltv. gabana, O.C.S. gobino, Gaule. gabi, O.Ir. gaibid, gafael gallois, aube. grabit / grabis. Les dérivés communs incluent perghebho, donnez loin, abandonnez, partez fermé, pardonnez, comme Gmc. fargeban (cf. Eng. pardonnez, Du. vergeven, Ger. vergeben); ghébhtis, quelque chose de donné (ou a reçu), cadeau, comme Gmc. giftiz (cf. O.N. gipt, cadeau, O.Fris. jefte, M.Du. ghifte, Ger. Mitgift), ghóbholom, quelque chose a payé (ou a reçu), tribut, impôt, dette, comme Gmc. gabulam (cf. O.E. gafol, M.H.G. gaffel, Eng. marteau, Ger. cadran. gaffel); ghabh., tenez, possédez, ayez, maniez, et ghabit., demeurez, comme Lat. hab.re, habit.re, dans le ghabhilís, habile, capable, ghábitos, habitude, ghabhit.bhilís, habitable, ghabhit.nts, habitant, ghábhit., habitat, eksghabh., exposez, enghab., inhibez, proghab., prohibit;deghabhe, devez, comme Lat. debere, comme dans le deghabitós, , deghábhitom, débit, deghábhita (n.pl), dette.

Le terme de la TARTE adéquat pour dette paraît être deléghl., cf. O.Ir. dligim, Goths. dulgs, O.Sla. dl.g., et aussi Lat. dans-dulge., Gk. .. - ......., Aube. glatë, etc., vraisemblablement de legh d (e) étendu -, de del, long, voyez dlongho -.

I.5. Pour bhergh de la TARTE, cachez, protégez, comparez Gmc. bergan (cf. Goths. bairgan, O.N. bjarga, O.H.G. bergan, Ger. bergen), OCS br.g., Russ. bière.', comme dans le bhrghio du zéro-niveau, enterrez, Gmc. burgjan (cf. O.E. byrgan, Eng. enterrez).

Bhergh de la TARTE apparenté, haut, avec les dérivés qui font référence aux collines et les colline-forts, donne Lat. fortis, Skr. barhayati, Av. b.r.zant, Pers. burj, Thrac. bergas, Illyr. Berginium, Toch. pärk / pärk, Bras. bardzut'iun, Russ. bereg, Gaule. Bergusia, O.Ir. brí, bre gallois, bera, aube. burg; Hitt. parku, Lyc. prije;pruwa, A.Mac. Berga. Les dérivés MIE communs incluent isobhérghs de l'emprunt, iceberg (pour MIE prêtez iso -, Gmc. isa -, "congelez", cf. O.N. iss, O.E. est, O.Fris. est, Du. ijs, Ger. Eis), bhrghs du zéro-niveau, colline-fort, château, ville fortifiée d'où, ville, comme Gmc. burgs (cf. Goths. baurgs, O.N. borg, O.E. burg, burh, byrig, O.H.G. berg, Eng. ville, Ger. Burg, dans Lat. burgus, O.Fr. burg, O.Spa. burgo, etc.), bhrghwór.n, "protecteur de ville", citadin, comme Gmc. burg-war.n (voyez wer, cf. O.H.G. burgari, Eng. bourgeois); bhrghtís du zéro-niveau suffixé, fort, bh.ghti., forcez, comme Lat. fortis, fortia (quelques-uns le mettent en rapport avec dher), dans ekbh.ghtis, effort, enbhrghti., mettez en vigueur, bhrghtidhak., fortifiez, reenbhrghti., renforcez, etc.

Les IE adéquats rédigent pour la "glace" est jeg qui donne Lith. i.a, Ltv. ieze, Russ. ikra, O.Ir. aig, ia gallois, et jégilos suffixe, glace, glaçon, glacier, comme Gmc. jekilaz (cf. O.N. jaki, faible. jökull, O.E. gicel, O.H.G. ichil, M.E. [est] ykle, Ger. gicht, oighear, Eng.dial. ickle, Eng. [ic] icle).

Gel de la racine de la TARTE -, froid, donne Lat. gel., gelan Oscan, Lith. gelmenis, Gk. gelandron; le goldós de l'adjectif étendu donne Gmc. kaldaz (cf. Goths. kalds, O.N. kaldr, O.E. cald, ceald, O.H.G. kalt), O.C.S. hlad, Pol. ch.ód.

Dher de la TARTE, l'holdfirmly, support, donne dhermós, rendez ferme, fort, comme Lat. firmus, dans l'addherm., affirmez, komdherm., confirmez, .dhermós, infirme, malade, .dherm .rí., infirmerie; dhrónos du zéro-niveau suffixé, siège, trône (de "support"); dhérmn suffixe, statut, loi, comme Skr. dharma ("que qui est établi fermement"); dhéren suffixe., une entreprise de la tenue, dharana Prakrit; dhóros, tenue, comme Ira. d.ra, Pers. -d.r.

Wer IE, couvrez, donne wéri., défense, protection, comme Gmc. werj.n (cf. Goths. warjan, O.N. ver, O.E. wer, O.Fris., M.Du. été, O.H.G. wari, Eng. barrage, Du. weer, Ger. Wehr); apwerio composé, ouvrez, découvrez, (ap -, fermé, loin, voyez apo) comme Lat. aper.re, comme dans l'apwertós, a ouvert, patent, apwertós., ouverture, ouverture; opwerio, abri (op -, sur, voyez epi), comme Lat. operire, comme dans le komopwerio, abri; w.rtros, clôture, comme Skr. vatah; wornio de l'o-niveau, faites attention, prévenez, comme Gmc. warn.n (cf. O.E. warenian, O.N. varna, O.H.G. warnon, Eng. prévenez, Ger. warnen), dans le worónts, justification, autorisation, (cf. O.N.Fr. warant, O.Fr. garant), worontí., garantie, garant (cf. O.N.Fr. warantir, Fr. garantie), woro, gardez, protégez (cf. O.Fr. garer, guerrer), dans le worótikom, le garage, worio, défend, protégez (cf. O.Fr. guarir), wóris.n, garnison, wornio, équiper (cf. O.Fr.guarnir).

Dérivés de PIEapo, ou ap -, fermé, loin, est Gmc. af - (cf. Goths.,O.N. af, O.E. de, æf, O.Fris.af, de, O.H.G. abcès, aba, Eng. de, fermé, Du. af, Ger. abcès), Lat. abcès, Gk. apo, je.-JE. apa, Bl.-Sl. po. Les mots MIE communs incluent apton, derrière, comme Gmc. aftan (cf. O.E. æftan, Eng.aft, sur l'arrière), aptero, après, derrière, comme Gmc. aftar (cf. O.E. æfter), apuko, a tourné en arrière, comme Gmc. afugo (cf. O.N. öfugr, O.E. awk); po différent -, sur, dans, comme po du Balto-Slave, latin a étendu le poteau, aussi dans le posino du verbe (de Lat. p.nere, de po+sinere, "partent, laissez", d'origine obscure), p.part, positós, les deux pógrom MIE commun donnant, posteriós, postérieur, postm.tim, autopsie (voyez mer de la TARTE), positós., attitude, posíti.n, adposine, qu'adposíti.n, komposino, composent, komposíti.n, komtr.positós, deposino, que les depositós, disposino, disposent, eksposino, l'exposé, enposino, impose, enpositós, a imposé, enpósitom, les impost, enterposino, interposent, obhposino, opposez-vous, obhposíti.n, supposino, supposent, supposíti.n, la supposition, transposino, transpose, etc.

Pour mer de la TARTE, frottez loin, faites du mal, comparez mor., lutin, incubus, comme Gmc. mar.n (cf. O.E. jument, mære, Eng. [nuit] jument), O.Ir. Morri [gain], Bulg., Serbe., Pol. mora, Fr. [cauche] gâtez; m.o, perdez-vous, flétrissez-vous, comme dans le mrasmós, marasme, comme Gk. ........; mrt.riom, mortier (de "moulu en bas") comme Lat. mort.riom; mord étendu., mordez, comme Lat. mord.re, comme dans mord.ks, mordant, remord., remords, etc.; mórbhos suffixe, maladie, comme Lat. morbus, dans le morbhidós, morbide. Probablement la même racine est mer, mourez (cf. Hitt.mer), avec les dérivés m.trom, meurtre, comme Gmc. murthra - (cf. Maurþr goth, O.N. morð, O.E. morðor, O.Fris. morth, M.Du. moort, Ger. Mord, aussi dans M.Lat. murdrum, O.Fr.mordre), m.tis, mort, comme Lat. mors, O.Ind. m.ti., Lith. mir.tìs, Ltv. mir.t., Sla. m.rt. (cf. O.C.S. [..] ....., svo s.from -, swe réfléchi -, Russ. ......, O.Slo. sm.ti, Pol. .mier., Cz. smrt, etc.), avec les dérivés latins communs mrt.lís, mortel, mrtidhak., mortifiez, admortis., amortize;mrio, mourez, avec p.part irrégulier. mrtuós, mort, comme Lat. morire, mortuus, dans mrtu.siós, morgue, mribhundós, moribond, mrtuótikom, hypothèque (d'O.Fr. mort et jauge, "promettez", de Frank. wadja, "promesse", wotio IE); mrwós des adjectifs commun, mort, mrtós, mortel, comme Gk. ......, .mrtós [' tos], inmortal, déteindre, d'où aussi divin, comme Lat. inmortalis, Gk. ........, Skr. amrtam; mortiós, mortel, comme O.Pers. martiya, dans Gk. manticore. D'autres dérivés IE incluent Skr. marati, Av. miryeite, O.Pers. amariyata, Pers. mordan, Kurde. mirin, Bras. me.nil, Lith. mirti, Ltv. mirt, O.C.S. mr.tv., Russ. meret', Pol. mord, umrze., Gaule. marvos, O.Ir. marb, marw gallois, Kamviri m.e, Osset. maryn.

Assassinósvia MIE Fr. et Il., de pl des "haschisch-utilisateurs" de l'hashishiyyin arabe. d'hashishiyy, de haschisch (le haschisch arabe a "saupoudré chanvre", illuminé. "herbe sèche", d'hashsha "il est devenu sec, il a séché). Un Ismaili fanatique secte musulmane du temps des croisades, avec une réputation pour assassiner des chefs opposants après les avoir enivrés en mangeant haschisch. Le pl. suffixe - inwas mépris en Europe pour partie du mot (cf. Bédouin).

II.   Wers IE, confondez, mélangez, (comparez avec ers IE) donne commonwérsos, confusion et fem du mot de l'emprunt. Wérs MIE. (voyez rhotacism), les deux de Gmc. werzaz (cf. O.S. werran, O.H.G. werran, Ger. verwirren; Eng. la guerre est d'O.E. wyrre, werre, d'O.N.Fr. été, de Frank. werra, comme O.H.G. werra, conflit, emprunté dans Fr. guerre, Il.,Station thermale.,Pt, chat. guerra); wersiós comparatif, wersistós pire, et suprême, plus mauvais, comme Gmc. wersiz.n, wersistaz (cf. Goth.wairsiza, O.S. wirs, wirsista, O.N. verri, verstr, O.E. wyrsa, wyrsta, O.Fris. wirra, wersta, O.H.G. wirsiro, wirsisto); w.stis, saucisse (de "mélange"), comme Gmc. wurstiz (cf. O.H.G. wurst)

Ers de la TARTE, soyez dans le mouvement, donne r.s différent, en se dépêchant, courez, comme Gmc. r.san (cf. O.N. rás, O.E. ræs, M.Du. rasen, Ger. rasen); ers suffixe., divaguez, Lat. err.re, comme dans ers.tikós, erratique, ers.ta, errata, ers.niós, erroné, ers.r, erreur, apers.ti.n, aberration; zéro-niveau .sis, poète, voyant, Skr. rsi.

III. Wen indo-européen, efforcez-vous après, souhaitez, désirez, soit satisfait, est la source pour wóinos, soldat et wóin., guerre, comme Sla. voin' (O.C.S., O.Russ. ....., Ukr. .. ï., Sr.-Cr., Slo.,Bul. vojnik, Cz.,Slk. vojin) et vojna; avec significations semblables de chasse, chassez, poursuivez, cf. O.N. veiðr, O.E. waþ, O.H.G. weida, Lat. ven.ri, Gk. ....., O.Ind. v.ti, Av. vayeiti, Lith. vejù, výti, O.Ir. fíad. D'autres dérivés IE incluent wénos, désir, comme Skr. vanas; wénuo, victoire, Gmc. winn (w) un (cf. f. Goths. gawinnen, O.S. winnan, O.N. vinna, O.E. winnan, O.Fris. winna, O.H.G. winnan, Du. winnen), zéro-niveau suffixe w.i., plaisir, joie, comme Gmc. wunj. (cf. O.E. wen, wynn, Ger.Wonne); wn du stative., soyez satisfait, réjouissez-vous, étendu comme soit habitué à, demeurez, comme Gmc. wun.n (cf. O.E. wunian, O.S. wunon, O.Fris. wonia, O.H.G. wonen, Eng. coutume); suffixé o-niveau causatif gagné., habituez, formez, sevrez, comme Gmc. wanjan (cf. O.N. venja, O.E. wenian, Du. vennen, O.H.G. giwennan, Ger. gewöhnen); w.nis, espoir et verbe w.nio, attendez, imaginez, pensez, comme Gmc. w.niz et w.njan (cf. Goths. wenjan, O.S. wanian, O.N. væna, O.E. wenan, O.Fris. wena, O.H.G. wanen, Ger. wähnen, Eng. ween); suffixé zéro-gradewnsko, désir, souhait, w.skos, souhait, comme Gmc. wunskan, wunskaz (cf. O.N. æskja, O.E. wyscan, M.Du. wonscen, O.H.G. wunsken); wén.s, amour, wenes donnant., adorez, vénérez, wenesiós, vénérien, etc., avec rhotacism comme Lat. uenus, ueneris; wenésnom, poison (originairement poison de l'amour), comme Lat. uen.num, wéni., favorisez, pardon, Lat. uenia; wen., chassez, de Lat. u.n.r.; wénom, forêt, comme Skr. vanam.

IV. Cer indo-européen - (ou * gwerh2), lourd, donne crús, lourd, vénérable, comme goth. kaurus, Gk. ....., Skr. guruh, c.uspháir., barysphère (de Gk. spháir., sphère), c.útonos, baryton et Lat étendu. *gwruís, lourd, pesant, grave, comme Lat. gravis, c.uit., gravité, cru., accablez, adcru., aggravez, etc.; c..s, poids, lourdeur, comme Gk. ....., comme dans wiswoc..s, isobare (de Gk. .sós, égalez, probablement ou de widwós qui a vu de weid, sachez, voyez, ou wiswós, tout, comme O.Ind. visva.); udcri (voyez ud); cr.tós, lourd, peu maniable, émoussé, stupide, bestial, comme Lat. br.tus;cr.gos, strenght, vigueur, cr.g., conflit, comme dans cr.gát., brigade, trouvée dans Celte. br.go (cf. Prov. briu, Station thermale. brío), Gmc. kr.g (cf. O.H.G. kr.g, chr.g, M.H.G. kriec, Sca. krig, Ger. Krieg), Cel. br.g. (cf. O.Ita. briga, Fr. brigade); cérn., meule, comme Gmc. kwern.n (Goths. quirnus, O.N. kvern, O.E. cweorn, O.Fris. quern, O.H.G. quirn, Eng. quern, Ger. Querne), Skr. grava, Bras. erkan, O.Pruss. girnoywis, Lith. girna, girnos, Ltv. dzirnus, O.C.S. zrunuvi, Russ. .ërnov, Pol. .arno, O.Ir. braó, brevan gallois.

V.    Dwéllom indo-européen, guerre, aussi duel (O.Lat. duellum, Lat. bellum), est peut-être analogue avec O.Ind. dunoti, duta -, O.Gk. du, duero, aube. non, d'une TARTE du de la racine verbal qui signifie le tourment, douleur; les emprunts latins communs incluent dwelligeránts, belligérant (de Lat. dwelliger., faites guerre, de Lat. gerere, "salaire"), dwélli du kástos, belli du casus (voyez kad).

Pour kad de la TARTE, chute, arrivez, aussi mourez, comparez Lat. cadere, O.Ind. triste, Bras. chacnum, M.Ir. casar, cesair gallois, Maïs. keser, Bert. kasarc'h; Les dérivés latins incluent kadáu.r, cadavre, kadénts, cadent, kadénti., cadence, la chance, adkado, se passe, adkadénts, l'accident, enkado, se passe, enkádents, incident, dekado, déchéance, obhkado, chute, obhkádents, occident, et de p.part. kastós (< * kadto -), kastkát donnant., cascade, kástos, cas, kastu.lís, informel, kastuíst., casuist, obhkástos, coucher de soleil, obhkásti.n, occasion, etc.;

Une racine de la TARTE semblable mais probablement sans rapport est dheu (plus vieux * dheuh2), mourez, aussi dhwei, trouvez comme dhoutós, mort, Gmc. dauthaz (cf. O.E. d.ad), dhóutus de l'o-niveau, mort, comme (avec suffixe - tus qui indique le "acte, traitez, condition") Gmc. dauthuz (cf. O.E. d.ath); dhowio de l'o-niveau suffixé, dé, comme O.N. deyja; dhwino du zéro-niveau étendu, diminuez, languissez, comme Gmc. dwinan (cf. O.E. dwinan, Du. dwijnen, Eng. diminution). Le verbe vient probablement de dhew, la fin, finition, vient circle;cf plein. Lat. funus, - eris, Bras. di (gen. diog), Cel. dwutu - (cf. Duth OIr). Les dérivés incluent le zéro-niveau suffixe dh..nos, clos, fortifiedplace, colline-fort, comme Gmc. d.naz (cf. O.E. d.n, M.Du. d.ne, Eng. en bas, dune); aussi, de la même source est d.nos celtique, la "colline, forteresse", a emprunté dans Gmc.t.naz (cf. O.E. tun, Eng. ville); dh..n .s, enterrement, comme Lat. f.nus.

Les mêmes IE enracinent aussi dhewmeans "couru, coulez", comme dans Gmc. dauwaz, (cf. O.E. deaw, M.Du. dau, Eng. rosée), Skr. dhauti., M.Pers. davadan; et aussi "brille, soyez léger", comme O.Gk. theousan, O.Ind. dhavala -, Av. fraavata.

VI. Les emprunts grecs communs sont pólemos, guerre, Gk. ......., polemikós donnant, hostile, d'où polémique.

129.   Pour TARTE swés.r, (peut-être de swe réfléchi, et és.r, femme, a allumé alors. "femme du groupe de son propre parent" dans une société de l'exogamous, voyez aussi swe-kuro -), avec zéro-niveau swésr alternatif, comparez Gmc. swestr - (cf. Goths. swistar, O.N. systir, O.S. swestar, O.E. sweostor, swuster, O.Fris. swester, M.Du. suster, O.H.G. swester, Du. zuster, Eng. soeur, Ger. Schwester), Lat. soror, O.Gk. eor, Skr. svas., Av. xva.har, Pers. x.har, Toch. .ar / .er, Bras. k'uyr, O.Pruss. swestro, Lith. sesuo, O.C.S. sestra, Russ. ......, Pol. siostra, Gaule. suiior, O.Ir. siur, chwaer gallois, sus Kamviri. Il a donné swesrik.diom, sororicide, swesor.lís, sororal, swesr.nos suffixe, cousin, de Lat, à latin des dérivés commun. sobr.nus, "cousin maternel."

130.  Aussi les súnjus, fils, comparent Gmc pour súnus de la TARTE. sunuz (cf. Goths. sunus, O.N. sonr, O.E. sunu, O.S., O.Fris. sunu, O.H.G. sunu, M.Du. sone, Dan. søn, Swed. fils, Du. zoon, Ger. Sohn), Gk. huios, Skr. sunus, Av. hunush, Bras. ustr, Lith. sunus, O.C.S. synu, Rus., Pol. les syn, de su de la racine de la TARTE, donnent naissance, Skr. sauti, O.Ir. suth.

JE. Pour mots romans de Lat. filius, MIE dh.ilios, "allaitement", fils et dh.ili., fille, comme dans dh.ili.lís, filial, addheili., filiale; probablement de TARTE dh.i, sucez, bien que quelques-uns le mettent en rapport avec bhew de la TARTE, soyez, existez (dans les deux dh IE - andbh - a évolué comme Lat. f -), donc peut-être IE * bh.lios. mais, v.i. pour dérivé slave 'diti' signifier le "enfant, fils", de la même racine dh.i.

Pour bhew IE, soyez, existez, grandissez, et bhwijo dérivé commun, soyez, devenez, donnez biju Gmc (cf. O.E. beon, O.H.G. bim, bist, Eng. soyez), Skt. bhava., bhavati, bhumi., Lat. fieri, fui, Gk. phu -, Lith. bu'ti, O.C.S. byti, O.Ir. bi'u, Rus. ....; bhowo, vivez, demeurez, comme Gmc. bowan (cf. O.N. bua, buask, O.H.G. buan, Eng. bornez, mari, Ger. bauen); bhútlos du zéro-niveau, habitation, maison, de Gmc. buthlaz (cf. O.E. gras, byldan, M.Du. bodel, Eng. construction), bhwo, produisez, faites grandissez, comme Gk. phuein, comme dans le bhútos, bhútom, plante et bhútis, augmentation, nature, comme dans le bhútik., physique, bhutikós, remède, epíbhutis, epiphysis, diábhutis, diaphysis, supóbhutis, hypophyse, etc.; bhutús suffixe "qui est pour être" et Lat. bhut..ros, futur; zéro-niveau que bh..rom, habitant (surtout fermier), donne à Gmc. buram (cf. O.E. bardane, Eng. charmille, Ger. Bauer), kombh..rom, habitant, paysan, (cf. O.E. gebur, M.Du. gheboer, ghebuer, Eng. avoisinez, Du. boer, rustre), bh..riom, habitation, comme Gmc. burjam (cf. O.E. byre), ou bh..wis, règlement (cf. O.N. byr, Eng. par [loi]); bh..lom, tribu, classe, course, Gk. ....., et bh..l., tribu, clan, comme dans Eng. phylum, phyle, phylo -; le zéro-niveau a réduit les suffixal forment - bhw - dans Lat. dubhwiós des composés, douteux (de zéro-niveau de dwo, deux), Lat. dubius, dúbhwit., doutez, Lat. dubit.re, probhwós, droit, Lat. probus, "grandir bien ou simple", superbhwós, supérieur, fier, "être précité", comme Lat. superbuus; bhóumos, arbre ("chose croissante"), comme Gmc. baumaz (cf. O.E. rayonnez, M.Du. retentissement, Eng. poutre).

II.   "Diti slave', le "enfant, fils", vient de d.t slave., d.t. (cf. O.C.S. ...., S.C.S. ...., Russ. ...., Pol. dzieci., Cz. dít., Bul. .....), MIE dh.itis, "allaitement", enfant, (voyez aussi Lat. filius), de TARTE dh.i, aussi trouvé dans Lat.  f.l.re, f.mina, Gk. ......, ...., O.Ind. dh..tav., Lith. d.l., O.Ir. dínim.

III. Le "jeune fille" allemand vient de mághotis indo-européen, bonne, jeune féminité, femme sexuellement inexpérimentée, vierge (faible. mághotinom, "petite bonne"), comme Gmc. magadinam (cf. O.E. mægeð, mægden, O.S. magath, O.Fris. maged, O.H.G. magad, Ger. Magd, Mädchen), de mághus, jeune personne de l'un et l'autre sexe, personne célibataire, cf. O.E. magu, magava Avestan, O.Ir. maug.

131.    Dhúg indo-européen (a) t.r, plus vieux * ter du dhug (h2), fille, Gmc. dukter (cf. Goths. dauhtar, O.N. dóttir, O.E. dohtor, O.H.G. tohter, écossais, Du. dochter, Swe. dotter), Osc. fútir, Gk. ....... (thugat.r), Skr. duhit., Av. duydar, Pers. doxtar, Toch. ck.car/tkacer, Bras. dustr, O.Pruss. duckti, Lith. dukt., O.C.S. d..ti, Russ. ...., do.er', Gaule. duxt.r, jü Kamviri; Hitt. duttariyatiya., Luw. duttariyata.

132.   Autre TARTE mots communs qui se reportent aux parents, à part pat.r, que m.t.r, bhr.t.r et snúsos sont:

A.    IE jénat.r (plus vieux * jenh2ter), la femme de beau-frère, donne Lat. ianitr.c.s, Gk. einat.r, Skr. y.tar, Phryg. ianatera, Bras. ner, Lith. jent., Ltv. ietere, Russ. jatrov', Pol. j.trew, iâri Kamviri.

B.    IE dáiw.r (older*deh2iwer), le frère de mari, O.E. t.cor, O.H.G. zeihhur, Lat. l.vir, Gk. d..r, Skr. devar, Kurde. Di. / héwer, Bras. taygr, Lith. dieveris, Ltv. dieveris, OCS d.ver., Russ. dever', Pol. dziewierz.

C.    Un comon que gál.us (TARTE * gh2l.us) a donné à Gk. gal.s, Phryg. gelaros, O.C.S. zl.va, Russ. zolovka, Pol. ze.wa.

D.   Pour áwos de la TARTE, áwjos, le grand-père paternel, oncle maternel (originairement * h2euh2os, un parent viril adulte autre que son père), compare Gmc. awaz (cf. Goths. awó, O.E. .am, O.H.G. .heim, Ger. Oheim), Lat. avus, avunculus, Gk. aia, Bras. hav, O.Pruss. awis, Lith. avynas, O.C.S. uy, Russ. uj, Pol. wuj, Gaule. avont.r, O.Ir. aue, ewythr gallois; Hitt. huhhas. Aussi trouvez dans l'áwj féminin., grand-mère (cf. Lat. avia).

E.    IE nép.ts (gen. neptós), le petit-fils, neveu, donne Gmc. nefat - (cf. O.E. nefa, O.H.G. nevo, Eng. neveu, Ger. Neffe), Lat. nep.s, Gk. anepsios, Skr. nap.t, Av. nap.t, O.Pers. somme., Pers. nef, Lith. nepuotis, O.C.S. nestera, Russ. nestera, Pol. nie.ciora, Gaule. nei, OIr. necht, níath, nai gallois, nâvo Kamviri, aube. morsure.

F.    Les swékuros de la TARTE, beau-père, donnent Gmc. swikhura - (cf. Goths. swaíhr., O.N. sv.ra, Eng. sw.or, O.H.G. swehur, swagur), Gk. hekuros, Skr. .va .ura, Av. xvasura -, Bras. skesur, Lith. .e .uras, O.C.S. svek.r., Russ. svekrov', Pol. .wiekra, chwegr gallois, aube. vjehërr, Kamviri.. u. probablement finalement dérivé de fem. swekr..s, belle-mère, comme O.H.G. swigar, Ger. Schwieger, Lat. socrus, Skr. .va .r., O.Sla. svekry, etc.

133.   Jéwos de la TARTE, norme, droit, loi (peut-être de jeu de la TARTE, lien), comme dans O.Ind. y.h., Av. yao.da, fait référence dans MIE au corps de règles et niveaux devant être appliqué par les cours; jówos, loi, comme Lat. i.s, i.ris (O.Lat. ious), et jowos., jurez, Lat. j.r. (O.Lat. iouesat, voyez rhotacism), p.part. jowos.tós, sweared, le latin donnant jowosístos des emprunts commun, juriste, apjowos., abjurez, adjowos., adjurez, komjowos., prestidigitation, jówos.tos, jury, enjowos., blessure, perjowos., faites un faux témoignage, jowoseskomséltos, jurisconsulte, jowosesproweidénti., jurisprudence (de proweidénti., d'IE par et weid); Ós du jowest (i) Italo-celtique, juste, comme Lat. iustus, O.Ir. huisse (< * justjos).

Les komselo MIE, conseil, appellent ensemble, délibérez, considérez, comme Lat. consulere, trouvé dans Lat. senatum du consulere, senátum de komséltu MIE, rassembler le sénat (demander les conseils)", de kom - "avec" + "enregistrement du selo, rassemblez-vous ensemble" de TARTE sel bas - prendre, saisissez."

134.    Pour "loi" comme une règle écrite ou comprenait ou le corps de règles de l'autorité législative, i.e. le concept de Lat. lex, MIE a des mots différents:

JE. Le lex latin, legis, vient peut-être de TARTE allongée * l.gs, d'où allumé. "collection de règles", (voyez la jambe de la TARTE, rassemblez) bien qu'il soit utilisé comme l.ghs indo-européen Moderne (les deux gh de gand IE pourraient évoluer comme g en latin), de legh de la TARTE, allongez-vous, mettez, parce que sa dernière origine reste incertaine, et cette racine donne aussi lóghom de l'o-niveau allemand, loi "que lequel est mis ou a mis en bas", Gmc. lagam (cf. O.N.,O.E. lagu, restez en arrière -, O.H.G. l.ga, Eng. loi, Sca. lov, Ger. Lage), avec les dérivés communs l.gh.lís, légal, l.ghitim., légitimez, l.ghi.lís, loyal, l.gheslat.r, législateur, preiwol.ghiom, privilège ("une loi qui affecte une personne", de preiwós, privé), et de l.gh dénominatif latin., députez, commision, charge, légat ("engagez par contrat"), comme Lat. leg.re, est l.gh.tom, héritage, koml.gh., colleage, koml.ghi.lís, collégial, del.gh.tos, délégué, rel.gh., reléguez. D'autres dérivés connus incluent léghio, mettez, comme Gmc. lagjan (cf. Goths. lagjan, O.S. leggian, O.N. leggja, O.E. lecgan, O.Fris. ledza, O.H.G. lecken, M.Du. legghan, Eng. mettez, Ger. legen, Du. leggen), léghros suffixe, tanière, lit, comme Gmc. legraz (cf. O.E. leger, O.H.G. legar, M.Du. leger, Eng. tanière), et léghtos, lit, comme Lat. lectus; o-niveau que les lóghos grecs, accouchement, placent pour mentir dans l'attente. Cf. Gk. lekhesthai, Toch. lac / leke, Lith. à-lagai, lagaminas, Ltv. laga.a, O.C.S. lego, le.ati, Russ. le.at', Pol. le.e., Gaule. legasit, O.Ir. lige, gwely gallois, Hitt. laggari.

Pour le même sens de "ce qui est mis ou a mis en bas", comparez statútom IE, Lat. statutum, "statut", de Lat. statuere, "établissez" ou statúmos, Lith. les istatymas, d'istatyti "s'installé, établissent (de st IE., soyez debout, mettez en bas)"; aussi, Ger. Gesetz (d'O.H.G. gisatzida, kom+sedio IE, ensemble).

Pour st de la TARTE., position, "place ou chose qui se trouve", comparez des dérivés communs st.los, tabouret, comme Gmc. st.laz (cf. Goths. stols, O.N. stoll, O.E. st.l, O.H.G. stuol, O.Fris. stol, Ger. Stuhl), st.nti., position, étape, st.t.iuós, stative, kikromst.nti., circonstance, komst.nts, constante, komtr.st., contrastez, st du di., dist.nts, distant, ekst.nts, enst.nts, obhst.kolos, obhst.trikós, obstétrical, supst.nti., substance; st.m.n, fil de la courbure (un terme technique), étamine; st.m.n, fil, comme Gk. st.m.n; starós, vieux, "de longue date", comme staru slave; le zéro-niveau a nasalisé stanto étendu, position, comme Gmc. standan (cf. O.N. standa, O.E.,O.S., Goths. standan, O.H.G. stantan, Swed. stå, Du. staan, Ger. stehen), comme dans le ndherstanto, soyez debout au-dessous, stántkarts (voyez kar -, difficilement), standard; stámnis suffixe, tige, comme Gmc. stamniz (cf. O.N. stafn, O.S. stamm, O.E. stemn, stefn, O.H.G. stam, Dan. stamme, Swed. stam, Ger. Stamm); státis, place, comme Gmc. stadiz (cf. Goths. staþs, O.S. stedi, O.N. staðr, O.E. stede, O.H.G. stat, Swed. stad, Du. stede, Ger. Stadt), Lat. státim, à la fois, stat, státi.n, une position encore, poste, armistátiom, armistice, s.welstátiom, solstice; Státis grec, position, que les stanstill, statós, ont placé, en étant debout comme Gmc. stadaz (cf. O.N. stadhr, Eng. bestead), Gk. statos, comme dans - stat, statikós, statique; dekstan., faites ferme, établissez, destinez, obhstan., ensemble son esprit sur, persistez; státus, manière, place, condition, attitude, avec les dérivés stat..r., hauteur, taille, que les statuo, s'installés, élèvent, causez pour être debout, et superstáts (Lat. superstes), témoignez au delà de" "qui est debout; stádhlom, écurie, "place debout", comme Lat. stabulum; stadhlís, entreprise debout, l'écurie, stadhlisko, établit; Stat.s grec, - stat, un qui cause pour être debout, une position; le zer0-niveau a redoublé sisto, ensemble, place, arrêt, position, comme Lat. les sistere, dans le komsisto, consistent, desisto, cessez, eksisto, existez, ensisto, insistez, entersistátiom, l'interstice, persisto, persiste, resisto, résistez, supsisto, subsistez, et de Gk. histanai, avec státis, une position, comme dans l'apostátis, katastátis, epistátis, epist.m., connaissance (Gk. ........), epist.mologí., supostátis, hypostasis, ikonostátis, wiswostátis, metastátis, próstat., komsto, établissez, komstámn, système; sistos, tissu, tissu, mât ("qu'en haut" lequel est mis), Gk. ....., sistogh.bhmn, histogramme, etc.; pórstis composé, affichez "qui qui positions avant", (por -, avant, en avant, voyez par) Lat. postis; stau étendu, "solide-debout, fort", comme st.u., placez, rangez, Gmc. st.w.; o-niveau st.ui grec., porche, dans st.uikós, stoïque; suffixé stáuros étendu, croix, poteau, pieu (voyez aussi stáuros, taureau), enstaur., restaurez, ensemble droit encore, restaur., restaurez, reconstruisez, restaur.nts, restaurant; le zéro-niveau a étendu st..los, pilier, comme dans epist..los, supost..los, okt.st..los, perist..los, prost..los; steuirós, partie charnue, bière brune, vieux, comme Skr. sthavira.; suffixé steu de la forme secondaire -, stéur suffixe., diriger, comme Gmc. steur., et steurio du verbe dénominatif, jeune boeuf, comme Gmc. steurjan (cf. Goths. stiurjan, O.N. styra, O.Fris. stiora, O.E. steran, stieran, O.H.G. stiuren, Du. sturen, Ger. steuern), un verbe a été en rapport avec stéuros, grand animal domestique, boeuf, jeune boeuf (voyez stáuros) et stéurikos, veau, stirk. Les dérivés incluent Gmc. standan, Lat. dévisagez, Osc. staíet, Umb. stahmei, Gk. histami, Skr. ti..hati, Av. hi.taiti, O.Pers. ai.tata, Pers. ist.dan, Phryg. eistani, Toch. .t .m /st.m, Bras. stanam, O.Pruss. stacle, Lith. stoti, Ltv. st.t, O.C.S. stati, Russ. stat', sta polonais., O.Ir. tá, gwastad gallois, aube. shtuara; Hitt. i.ta, Luw. i.ta, Lyc. ta -.

II.   Jambe de la TARTE, rassemblez, avec dérivés signifier parlez, donne Lat. legere, "rassemblez-vous, choisissez, cueillez, lisez", Gk. legein, "rassemblez-vous, parlez" de qui MIE légti.n, lection, que la leçon, legtós, a lu, legtós., faites une conférence, legénd. (d'un gerundive), les leyend, legibhilís, lisible, que légi.n, komlego, rassemblent, rassemblent, komlégti.n, collection, dislego, estime, amour, dislegénts, appliqué, eklego, choisissez, eklégti.n, l'élection, enterlego, choisit, enterleg., percevez, enterlegénts, intelligent, lego du ne (g), négligence, pr.ilego, prelect, sakrilegós, un qui vole des choses sacrées, sakrilégiom, le sacrilège (voyez sak), selego, sélectionne, sortilégos, sortilégiom plus divin (voyez ser), sortilège; légsikom, lexique, - logos, - logue, - logí., - logy, katalego, à liste, katálogos, catalogue, les dialego, discours, utilisent un dialecte, dialogue, dialégtos, dialecte, légtis, parole, diction, dislegtí., dyslexie, eklegtikós, éclectique, etc.; légnom, bois, bois à brûler ("que qui est rassemblé"), comme Lat. lignum; lógos, parole, mot, raison, comme Gk. ....., comme dans le lógik., logique, logikós, logique, logístik., logistique, análogos, analogue, apologí., excuses, epílogos, épilogue, komlogísmos, syllogisme, prólogos, prologue.

Pour sak de la TARTE, sanctifiez, donne sakrós, sacré, sacré, dédié, comme Lat. sacer (O.Lat. saceres), dans le sakr., faites sacré, consacrez, sakristános, sacristain, komsakr., consacrez, eksakr., exécrez; sakrodh.ts composé, prêtre, "artiste de rites sacrés", comme (pour dh.t, faiseur, voyez dh.) Lat. sacerd.s, dans sakrodh.t.lís, sacerdotal; sankio nasalisé, faites sacré, consacrate, avec p.part. sanktós, sacré, comme Lat. sancire, sanctus, comme dans le sanktidhak., sanctifiez. Comparez aussi Osc. sakrim, Umb. sacra, et (à l'extérieur d'Italique) peut-être tout d'IE * saq, liez, restreignez, joignez, protégez, comme les mots IE pour "serment" et "malédiction" sont régulièrement mots de lier (Tucker).

Aussi, avec la signification de "sacré", kwen de la racine de la TARTE, donne kw.slom, sacrifice, comme Gmc, à zéro-niveau suffixe. khunslam (cf. Goths. hunsl, O.N. hunsl, O.E. h.sl, h.sel, Eng. housel), Av. spanyah, O.Pruss. swints, Lith. .ventas, Ltv. svin.t, O.C.S. sv.t., Russ. svjatoj, .wi .ty polonais.

Ser de la TARTE, alignez-vous, donne Lat. serere, "arrangez, attachez, joignez (dans le discours), discutez", comme dans séri.s, adsero, affirmez, desertós, désert, dissert., dissertate, les eksero, putforth, s'étendent, ensero, encart; sérm.n, parole, discours, comme Lat. serm.; s.tis, terrain, richesse (peut-être du revêtement intérieur en haut de terrains avant de tirer), comme dans le srtiásios, sorcier, koms.tis, époux ("qui a la même richesse"); sér., serrure, verrou, barre (peut-être "que qui aligne").

III. Pour dh de la TARTE., mettez, mettez, placez, donne quelques termes communs faire référence à" loi (divin), droit, destin" (cf. Eng. ruine), cf. Gmc. d.n (cf. Goths. gadeths, O.N. dalidun, O.E. d.n, O.H.G. tuon, Eng. faites, Ger. tun) Lat. faci., Osc. faciiad, Umb. feitu, O.Gk. tith.mi, Skr. dadh.ti, Av. daðaiti, O.Pers. adad., Phryg. dak -, Thrac. didzos, Toch. täs / täs, Bras. ed, Lith. d.ti, Ltv. d.t, Russ. det'; delat', dzia polonais.; dzia.a., Gaule. dede, dall gallois, aube. ndonj, Hitt. dai, Lyc. ta -. Les mots MIE communs incluent dh.tós, mis en bas, a créé, comme O.Ira. datah; dh.tis suffixe, "la chose a mis en bas ou faite", loi, action, Gmc. d.diz (cf. O.E. d.d, Eng. action); dh.k., récipient, Gk. ...., Eng. theca, comme dans apodh.k., "entreposez, entrepôt", alors a étendu comme pharmacie (et aussi à Station thermale. bodegaand Fr. boutique, les deux parti comme MIE prête), comme dans apodh.k.rios, pharmacien, apodh.kiom, apothecium, bubliodh.k. (de búbliom de l'emprunt grec, réservez, du nom grec de la ville phénicienne Gubla, Búblos ou Cúblos, Gk. ......, comme dans n.pl. Búblia, bible, illuminé. "les livres"), bibliothèque, ambhidh.kiom, amphithecium, endodh.kiom, endothecium, peridh.kiom, perithecium; dh de l'o-niveau., faites, comme Gmc. d.n; suffixé et a préfixé apdh.m.n, ventre, abdomen, Lat. abd.men, peut-être la "partie a placé loin, partie cachée"; dh.mos suffixe, jugement, "la chose a mis ou a posé, et dh.mio, juge, comme Gmc. d.maz, d.mjan (cf. Goths. d.ms, O.N. d.mr, O.E. d.m, d.man, Eng. condamnez, jugez; aussi dans Russ. Duma, d'une source allemande), aussi comme suffixe abstrait dh.mos qui indique l'état, conditionnez, pouvoir (cf.  O.N. -domr, O.E. -dom, Du. -dømme, Eng. -dom); komdho du zéro-niveau, mettez ensemble, établissez, conservez, comme Lat. les condere, dans l'apskomdho, s'enfuient, rekomdhitós, komdhio profond, et suffixe, saison, saveur, comme Lat. cond.re, dans le komdhiméntom, condiment; dhakio de la forme du zéro-niveau suffixé, faites, faites, comme Lat. facere, habituellement trouvez comme formulaire combiné latin - dhaks, Lat. -fex, "faiseur", - dhakiom, Lat. -ficium, "une fabrication", les deux Eng. -fice, et - dhak., Lat. -fic.re, - dhakio, Lat. -facere, les deux normalement Eng. -fy; certains mots communs incluent - dhakients, - facient, dháktos, fait, dhákti.n, discorde, dhakt.r, facteur, dhaktorí., usine, addhakt., affectez, addhákti.n, affection, amplidhak., aplify, artidháktos, objet, artidhákiom, artifice, dw.iatidhakós, béat, komdhákti.n, confection, komdhaktion., confect, dedhakio, échec, dedhakiénts, défectueux, nisdodhakio, nidify (voyez nisdos, nid), aididhak., édifiez (de Lat. aidis, un bâtiment), aididhákiom, édifice, ekdháktos, effet, endhakt., infectez, jowostidhak., justifiez, malidhakt.r, malfaiteur, manudhaktós., fabriquez (voyez mánus, main), modidhak., modifiez, gnotidhak., notifiez, opidháks, ouvrier (voyez op, travail), opidhákiom, service, devoir, affaire, occupation, performance de travail, (de Lat. opificium, officium plus tardif), op (i) dhak.n., bureau, (cf. Lat. opificina, officina plus tardif), perdhakio, finition, perdhaktós, parfait, .sidhákiom, l'orifice (voyez .s, bouche), ekdhakio, accomplit, ekdháktos, effet, ekdhakiénts, effectif, ekdhak.ks, efficace, endhakt., infectez, pontidháks, pontifex (voyez pent IE), pr.idháktos, préfet, prodháktos, profit, prodhakiénts, qui tire un profit (Eng. "compétent"), putridhakio, putrify (voyez pu, pourriture), q.lidhak., qualifiez (voyez qo), pertidhak., pétrifiez, r.ridhak., raréfiez (d'emprunter r.rós, rare, Lat. r.rus), regtidhak., rectifiez (voyez regtós, droit, tout droit), redhakio, alimentation, refect, redhaktóriom, le réfectoire, reudhidhakio, rougit, reudhidhakiénts, rubefacient, (voyez reudhós, rouge) sakridhak., les sacrify, satisdhakio, satisfont (voyez s.), supdhakio, suffisez, supdhakiénts, suffisant; de Lat. dháki.s, la forme, visage ("la forme a imposé sur quelque chose"), est dhaki.lís, soin du visage, superdháki.s, surface; dhaklís en outre suffixe, faisable, facile, comme Lat.facilis (d'O.Lat. facul), comme dans le dháklit., capacité, pouvoir, science, aussi dhaklís du nom, avec le sens de faculté, installations, disdháklit., difficulté; dh.s, loi divine, droit, comme Lat. fa; redoublé dhidho grec, mettez, Gk. tithenai, comme dans le dhátis, un placer, Gk. ....., aussi thèse, et dhatós de l'adjectif, a placé, comme dans le dhatikós, thetic, anadhámn, anathème, antidhátis, diadhasis, epidhátos, supodhak., hypothéquez, supodhátis, hypothèse, metadhátis, endhidho de la moyenne (a), encart, parendhátis, parenthèse, prosdhátis, prothesis, prothèse, komdhátis, synthèse; dhámn, "la chose a placé", proposition, thème, Gk. ...., comme dans le dhamntikós, thématique; redoublé dhedh Sanskrit., placez, Skr. dadh.ti, p.part. dhatós, a placé, Skr. -hita -.

Dans proto-Indo-européen, un autre verbe signifier commun "fait" existé, qer, comme Skr. karoti, "il fait", comme dans Sómsqrtom, sanskrit, Skr.sa.sk.tam; aussi, dérivés communs qéras grec, monstre ou dissimilated qél.r, monstre, peloria; aussi, qérmn suffixe, acte, action, comme Skr. karma.

III.1. Les op indo-européens, travail, produisent en abondance, incluez óp.s, travail, Lat. opus, avec opes du verbe dénominatif., opérez, comme Lat. oper.r., comme dans l'óper., opéra (a affecté par Lat. rhotacism), komopes., manuopes., maneuver;openentós, riche, riche, opulent, comme Lat. dissim. opulentus, ópnis, tout (de "abondant"), Lat. omnis, comme dans l'ópnibhos, omnibus; optmós, le mieux (plus "riche"), comme Lat. optimus;komópi., la profusion, bien des, copie aussi, comme dans le komopionts (ós), copieux.

III.2. Pour pent de la TARTE, le pas, entrain, compare Gmc. finthan, "venez sur, découvrez" (cf. Goths. finþan, O.N. finna, O.E. trouvez, O.S. findan, M.Du. vinden, Ger. finden); póntis suffixe, chemin, passage, trouvé dans Lat. p.ns, "liez", (le plus tôt mening de "chemin, le passage" a conservé dans pontidháks du titre sacerdotal, pontifex, "il qui prépare le chemin") aussi trouvez dans Russ. ...., "chemin, chemin (comme dans 'spoutnik', voyageur compagnon qui pourrait être traduit comme "kompontinikós" MIE)"; pnto du zéro-niveau, pas, promenade, dans le peripntetikós, peripatetic, Gk. .............; p.tos suffixe, d'iranien (cf. Av. p.nt. (nominatif), p... (génitif) chemin, Vieux p.thi persan), dans W.Gmc. à travers Scythian, comme Gmc. patha - (cf. O.E. paþ, pæþ, Fris. chemin, M.Du. caressez, O.H.G. pfad, Eng. chemin, Du. rembourrez, Ger. Pfad).

III.3. Pour pu de la TARTE, la pourriture, déchéance (de plus vieux * puh, il devient p., puw - avant voyelles), compare p.lós, pourri, sale, comme Gmc. f.laz (cf. Goths. füls, fúll O.N, O.E. f.l, O.H.G. fül, M.Du. voul, Ger. faul), p.trís, pourri, comme Lat. puter, púwos / m, pus, comme Lat. p., Gk. puon, les puos, aussi dans l'enpuwo, suppurent, comme dans l'enpuwémn, empyema.

III.4. Homme de la racine indo-européen -, donnez, donne Lat. mánus, avec manudi des dérivés., dirigez (de V.Lat. manidi.re, dans O.It. maneggiare, Fr. directeur, Eng. dirigez, Station thermale. manejar, etc.), manu.lís, manuel, manúdhriom, manche, manubrium (d'instr. suffixe - dhro -), manteno, maintenez (voyez dix), manikóis. (de Lat. cura, koisa latin Archaïque, "cure"), manighestós, attrapé dans l'acte, flagrant, évident, manuskreibhtós (voyez chedh), manuscrit (voyez skreibh), manuskréibhtom, manuscrit; manúpolos, poignée (pour - les polos, plein, voient pel), manupol., manipulez; mankós, estropié dans la main; mankáps, "il qui prend par la main" acheteur, (- cèpes, suffixe de l'agential, "preneur"; voyez kap), dans l'ekmankap., émancipez; mand., mettre dans la main de quelqu'un", confiez, commandez, de mand.re composé latin, (- le défi, donner", voit d., bien que peut-être de "mettez", voyez dh.) mand.tom, mandat, kommand., commandez, confiez, recommandez, kommándos, commando, komtr.mand., contremandez, demande., demandez, rekommand., recommandez.

III.4.a. TARTE dix, étirez, donne les dérivés ont suffixé tendo, étirez, étendez, comme Lat. les tendere, dans l'adtendo, assistent, komtendo, combattez, detendo, les detent, distendo, dilatent, ekstendo, étendez, entendo, projetez, pr.itendo, prétendez, suptendo, sous-tendez; portendo, annoncez (étirer dehors avant", un terme technique dans l'augure, indiquer, présagez, prédisez"); tenio suffixe, Gk. teinein, avec tonne de l'o-niveau - et zéro-niveau t.tis, un étirer, tension, intensité, comme dans le katatóni., ent.tis, entasis, epit.tis, epitasis, supoteniónti. (Gk. ...........), hypotenusa, prot.tis, protasis, komtonikós, syntonic, etc.; tétnos du zéro-niveau redoublé ['te-tn.-os], raide, rigide, comme Gk. ......., aussi tétanos; téntrom suffixe, métier à tisser, comme Skr. tantram (cf. Pers. t.r); stative dix., tenez, restez, maintenez (de "cause endurer ou continuer, tenez sur à"), comme lat. ten.re, dans ten.ks, tenace, ténor, apsten., abstenez-vous, komten., contenez, komtenuós, continu, komtenu., continuez, deten., détenez, enterten., amusez, tenánts, détenteur, locataire, lieutenant, manuten., maintenez, obhten., obtenez, perten., ayez rapport, perten.ks, entêté, reten., retenez, supten., soutenez; le dérivés signifier a "étiré", d'où "mince" incluez tnús, comme Gmc. thunniz, thunwiz (cf. O.N. þunnr, O.E. thynne, W.Fris. dix, O.H.G. dunni, M.L.G. dunne, Du. importunez, Ger. dünn, Eng. mince), tenús, mince, rare, fin, comme Lat. tenuis, dans l'adtenu., atténuez, ekstenu., atténuez, tenrós, soumettez, délicat, comme Lat. tener, tenresko (en), toucher, intenerate; dérivés qui signifient que "quelque chose a étiré ou capable d'être étiré, une ficelle" inclut tén.n grec, tendon, l'o-niveau a suffixé tónos, cordez, d'où son, ton, ton et zéro-niveau suffixe t.ia, bande, ruban.

III.4.b. Chedh de la TARTE, demandez, priez, donne chedhio suffixe, priez, implorez, Gmc. bidjan (cf. O.E. biddan, Ger. mordu, O.E. offre), chédhom, supplication, comme Gmc. bidam (cf. Goths. bida, O.E. bedu, gebed, O.H.G. bêta, M.Du. bede, Eng. perlez, Ger. bitte); chestós (< * chedhto -), dans Lat. -festus, .chestós donnant, hostile (de "inexorable"), manuchestós, manifestez, a attrapé dans l'acte.

Quelques-uns assignent Lat. -festusto un dhers de la TARTE commun, osez, soyez gras, comme Gmc. derzan (cf. Goths. gadars, O.E. dearr, durran, Eng. défi), Gk. thrasys, Skt. dadhar.a, O.Pers. dar., O.C.S. druzate.

III.4.c. Skreibh de la TARTE, coupez, séparez, tamisez (une extension de sker), usagé comme improvisé, incisez, d'où écrivez, comme Lat. scr.bere, skreibhtós donnant, écrit, skréibh., scribe, skréibhtos, scénario, skreibhtóriom, scriptorium, skréibht. /skreibhtós., l'Ecriture sainte, adskreibho, attribue, kikromskreibho, circonscrivez, komskreibho, le conscrit, deskreibho, décrit, enskreibho, inscrivez, pr.iskreibho, prescrivez, proskreibho, proscrivez, reskreibho, les rescript, supskreibho, souscrivent, superskreibho, marquez d'une inscription, skreibho du tran, copiez; de grec est skréibhos, grattement, croquis, crayon, comme Eng. scarifiez.

III.5. TARTE commune s., satisfaites, comme satós du zéro-niveau, a assouvi, rassasié, comme Gmc. sathaz (cf. Goths. saþs, O.N. saðr, O.H.G. s'assis, M.Du. s'assis, Eng. triste, Ger. satt, Du. zad), verbsatio, satisfaites, assouvissez, comme Gmc. sath.n (cf. O.E.sadian, Eng. assouvissez); les saturós du zéro-niveau suffixés, plein (de nourriture), ont assouvi, comme Lat. satur, dans le sátur., satire, Lat. satyra, et satur., saturez, Lat. satur.; satís, assez, suffisant, comme Lat. satis, sati., satisdhakio, satisfaites, satiat., satiété; sadrós, partie charnue, comme Gk. hadros.

135.   Teu de la racine indo-européen, poussée, bâton, le coup, battement, est suffixé studo derrière, soyez appliqué ("presse en avant"), Lat. studere, les stúdiom donnants, impatience, "étudient alors, application", comme dans le studi., étudiez, M.L. studi.re; d'autres dérivés incluent étendu (s) teupo, poussée, bâton, coup, battement, comme Gk. typtein, erreurs, Skt. tup -, tundate, Goths. les stautan "poussent", O.N. stuttr, et steupós allemand commun, haut, haut, comme Gmc. staupaz (cf. O.E. steap, O.Fris.stap, M.H.G. stouf, Eng. escarpé).

136.    TARTE que s.s, cochon, cochon et sw.nos/-m des dérivés, donnent à Gmc. swinam (cf. Goths. swein, O.S., O.Fris. M.L.G., O.H.G.,O.E. swin, M.Du. swijn, Du. zwijn, Ger. Schwein), súk., sug. (cf. O.N. sýr, O.E. S., O.S., O.H.G. su, Du. zeug, Eng. semez, Ger. Sau), cf. Lat. s.s, suinus, Umb. sif, Gk. h.s, Skr. s.kara, Av. h., Toch. -/suwo, Ltv. siv.ns, O.C.S. svinija Russ. svin, .winia polonais, sukko celtique (cf. O.Ir. socc, hwch gallois, O.E. hogg), aube. thi.

Raconté pórkos indo-européen, jeune ou peu bâfre, donne Gmc. farkhaz (cf. O.E. fearh, M.L.G. ferken, O.H.G. farah, M.Du. varken, Ger. Ferkel, Eng. farrow), Lat. porcus, Umb. purka, Gk. porkos, Kurde. purs, O.Pruss. parstian, Lith. par.as, Russ. porosja, prosi polonais., prosiak, Gaule. orkoO.Ir. orc, porcos Lusitanian.

137.   Kákk de la TARTE., merde, excrément, et merde du verbe, cf. Ger. Kacke, Lat. cac.re, Gk. kakka., Pers. keke (h), Bras. k'akor, Lith. kaka, Russ. kakat', O.Ir. cacc, cach gallois.

D'autres mots pour "merde" sont Gmc. skitan, de skeit de la TARTE -, "fendez, divisez, séparez", et Lat. les ekskreméntom, d'ekskerno, "séparent", par conséquent les deux qui révèle une plus vieille notion d'une "séparation" du corps.

Pour krei IE, tamisez, discriminez, distinguez, comparez kéidhrom / kéitrom, crible, comme Gmc. khrithram (cf. O.E. hridder, hriddel, Eng. énigme), Lat. cr.brum; kréim.n suffixe, jugement, infraction, comme Lat. cr.men, comme dans kreimen.lís, criminel, rekreimen., récriminez, diskréim.n, distinction, diskreimen., discriminez; krino du zéro-niveau suffixé, tamisez, séparez, décidez, comme metathesized Lat. cernere, dans kritós p.part, (Lat. *kirtos) certain, komkrino, inquiétude, komkrítos, concert, dekrítos, le décret, diskrino, discerne, diskomkrit., déconcertez, ekskrino, séparez, ekskritós, est séparé, a purgé, ekskrit., excrétez, ekskriméntom, excrément, krititúd.n, certitude, .krititúd .n, incertitude, swekrino, secern, swekrit., secret, swekrítarios, secrétaire; krinio du zéro-niveau suffixé, séparez, décidez, jugez, expliquez, comme Gk. ......., dans le krítis, crise, kritikós, critique, krit.ri.n, critère, diakritikós, diacritique, endokrinós, endocrine, eksokrinós, exocrine, supokrití., hypocrisie, krít., jugez, haimntokrít., hematocrit (haimn MIE -, haimnto -, sang, est des mots de l'emprunt de Gk. ...., - ...., habituellement MIE * saimn).

a.    Pour méigh indo-européen, urinez, répandez, d'où "embuez-vous, pluie fine", aussi cf du "mélange." Gmc. mihstu - (cf. Goths. maihstus, O.N. míga, O.E. miscian, mistel, O.H.Gmiskan, Du.dial. mieselen, Swed. mäsk, Ger. mischen), maisk - (cf. O.E. m.sc, meox Swed. mäsk, Ger. Maisc, Eng. brassez), Lat. mingere, meiere, Gk. omeikhein, Skr. mehati, Av. ma.sati, Kurde. méz, Gk. omeihein, Toch. -/mi.o, Bras. mizel, Lith. my.ti, Ltv. m.zt, Russ. mezga, Pol. miazga. Les micturirecomes latins de míghtus suffixe, dans le mightusio, veulent uriner, micturate.

b.    Wem de la TARTE, vomissez, donne O.N. váma, Lat. vomere, Gk. emeso, Skr. vamiti, Av. vam, Pers. v.t.k, O.Pruss. wynis, Lith. vemti, Ltv. vemt.

c.    Ew PIEsp (j), crachez, a donné Gmc. spjewan (cf. Goths. spiewan, SUR spýja, O.E. spiwan, O.H.G. sp.wan, Eng. vomissez, Ger. speien), Lat. spuere, Gk. ptuein, Skr. ... vati, Av. sp.ma, Pers. tuf, Bras. t'us, Lith. spjauti, Ltv. sp.aut, O.C.S. pljuj., Russ. pljuju, Pol. plu., Osset. thu,

d.    kwas, toussez, a donné Gmc. hwostan (cf. O.N. hósta, O.E. hw.sta, O.H.G. huosto, Ger. Husten, Skr. kas.te, Toch. /kosi, Lith. kos.ti, Ltv. k.s.t, Russ. ka.ljat', Pol. kaszle., Ir. casachdach, papas gallois, aube. kollje, Kam. kâsa.

138.   Le nom du Rhin vient de Ger. Rhin, dans le tour de M.H.G. Rin, finalement d'un dialecte IE, a allumé originairement. "que qui courants", de rej de la TARTE, courant, course, comme Gk. rhein, avec les dérivés qui incluent rinuo suffixe, course, comme Gmc. rinwan, rinnan, (cf. Goths., O.S., O.E. O.H.G., rinnan, O.N. rinna, M.Du. runnen, Ger. rinnen), Gmc. ril - (cf. Ril hollandais, rille allemand Bas, Eng. petit ruisseau); réiwos suffixe, ruisseau, rivière, comme Lat. r.uus.

139.   L'albhós IE, blanc, donne Lat aux dérivés. albus, Umb. alfu, Gk. alphos, Russ. lebed', Lyc. aube -. D'autres dérivés sont álbhos, álbhis, "chose blanche", elfe (d'apparition spectrale" blanche"), comme Gmc. albaz, albiz (cf. O.N. alfr Eng. ælf, Gm. Alpes, Eng. elfe, aussi dans elfydd gallois, et dans Álbher.n, Oberonfrom une source allemande apparenté à O.H.G. Alberich, dans O.Fr. Auberon), et fem. álbhini., d'elfe; Les dérivés latins incluent albhinós, albinos, álbhom, album, álbhom.n, albhómon., albumen.

MIE Albháni., Albanie, vient de M.Gk. ........ Bien que le nom d'Albanie dans sa langue soit différent (aube. Shqipëria, "Terre des aigles"), il a paru seulement après les invasions turques, et le nom Albháni. est utilisé internationalement aujourd'hui. Probablement les termes pour orateurs albanais de la Grèce et l'Italie (comme Arvanite, Arber, Arbëreshë, etc.) est aussi dérivé de ce plus vieux nom.

Un IE adéquat rédige pour "aigle" est ór.n (de plus vieux * h3oron, cf. Hitt. .ar .-), comme Gmc. arnuz (cf. Goths. ara, O.N. ari, O.E. gagnez, O.H.G. arn, Eng. erne, Ger. Aar), órnis, oiseau, comme dans Gk. ornitho -, et d'autres dérivés de racine de la TARTE ou -, grand oiseau, cf. Gk. orneon, Bras. arciv, Vieux arelis prussien, Lith. erelis, Ltv. .rglis, Russ. orel, Pol. orze., O.Ir. irar, eryr gallois, aube. orë.

Álbh., Écosse, est un Écossais - et Irlandais-Gaelic nom pour Écosse, aussi bien qu'Álbhi.n, Albion qui désigne quelquefois l'île entière de Grande-Bretagne et quelquefois le pays d'Angleterre. Le "blanc" est tenu généralement faire référence aux falaises de craie blanche autour de la ville anglaise de Douvres, dans le sud de Grande-Bretagne.

Les noms MIE communs sont Skotts, Écossais, léndhom Skott (isk), Écosse et Skottiskós allemand, scottish.

Pour "blanc, en brillant", comparez aussi argós de la TARTE, argís, comme goth. unairkns, O.E. eorcnan (st.n), Lat. argu., Osc. aragetud, Gk. arguros, erchan, Skr. arjuna, Av. ar.zah, Phryg. arg, Thrac. arzas, Toch. .rki / arkwi, Bras. arcat', Gaule. Argentoratum, O.Ir. argat, ariant gallois, Hitt. .arki.. Les dérivés communs incluent argéntom latin, argent, argent, argentin., argentine; Os de l'argil (l) grec, argile blanche, argil, argúros, argent, arginouís, brillant, qui clair-brille; Les argús IE, brillant, éclaircissent, dans l'argúio, faites clair, démontrez, discutez, Lat. arguere; argrós suffixe, blanc, Gk. argos.

140.   L'emprunt franc rédige frankós, affranchissez, et Fránkos, homme libre, aFrank, (cf. O.E. Franca, O.H.G. Franko, M.L. Franc, Eng. Affranchissez, Lith. fran.u, etc.), et Frankiskós, le francique (cf. O.E. frencisc, Eng. Français, Swe. Fransk, Du. frans, etc.), donne Fránki., France (comme Fr. France, et pas Frank. qui serait comme Fr. Franche), et Frankiakós, ou peut-être Frankosiskós secondaire (ou Frankosistós), français, cf. Ger. Französisch, Rom. fran.uze.te, Russ. ..........., Pol. francuski, etc. . l'adj roman commun. de Lat. Francensis (cf. Fr. français, Il. franzese, Station thermale. francés, etc.), *frankénts (est)? paraît aussi une formation secondaire.

D'autre pays nomme dans MIE:

a.    Espagne: Phénicien / Punic 'Î-..p .nîm "theisle de lièvres (où paraphe "salut" est un article défini)." Les colons phéniciens ont trouvé des lièvres en abondance, et ils ont nommé la terre dans leur dialecte Canaanite. Les Romains Latin-parlant ont adapté le nom comme Hispania. Le nom latin a été changé parmi les langues romanes à travers O.Fr. Espaignol Espagneand (à travers M.L. Hispaniolus), et est entré anglais de français normand, d'où MIE Hispáni., Hispania, et Hispanós, Hispaniard, Hispanikós, Hispano-américain, et l'Européen moderne rédige Spáni., Espagne, Spanós, Espagnol, cf. Lat.hisp.nus, Gk. ispanós.

b.    Grèce: De Gk. ......., Lat. Graecus (prétendu par Aristote faire référence au nom des gens originaux d'Epirus) est le nom international général, d'où MIE Graikós, grec, Gráiki., Grèce. Cependant, le vieux nom adéquat est Sewl.nós, grec, le grec, comme (peut-être de "corps lumineux, clair") Gk. ........, Sewl.nikós, hellénique, et Sewlás ou Sewlád., Hellas / Ellas / Ellada, Grèce, qu'un mot a mis peut-être en rapport avec Gk. .. - (hel -) "soleil, clair, brillant", (cf. Gk. helios, "soleil", d'IE s.wel), dans le tour peut-être raconté à la tribu du Selloi, Gk. .......

c.    Danemark: Le Dhánes, Danois (Lat. Dani), était les gens dominants de la région depuis que temps anciens. L'origine de leur nom tribal est inconnue, bien que ce puisse être un emprunt latin d'un nom allemand, et comme Gmc. dan - est dhen IE -, il est mis peut-être en rapport avec dhen de la TARTE, "bas, plat", dans la référence à la nature de plaine de la plupart du pays (cf. étymologie de Pologne et Netherland). Márg Dhan (.) (.m), Danemark, avec ("le mars du landers bas") Gmc. gen. -.m, est alors de Dhan composé (dans gen.pl) + marg, limite, frontière.

Marg de la TARTE, la limite, frontière, donne le ou les marg des dérivés, Gmc. marque -, "limite, territoire frontalier", aussi "repère, "marqueur de limite, et "marque dans le général", cf (et en particulier une marque sur une barre de la monnaie du métal, d'où une unité de monnaie). Goths. marka, O.N. mörk, O.E. mearc, merc, O.Fr. marc, O.Fris. merke, Du. merk, Ger. Marquez, Sca. marquez, et margio, note, avis, Gmc. markjan (cf. O.N. merki, O.H.G. merken, O.E. mearcian), dans le remargio, remarque; aussi, a dérivé d'allemand, comparez fem. márg., "tracez, marquez", Gmc. mark.n (cf. Frank. mark.n, O.It. marcare), et "pays frontalier, marche, marc", Gmc. marque. (cf. O.Fr. marche, M.Lat. marca), et. D'autres dérivés incluent márg.n, frontière, bord, marge, comme Lat. margo, dans (ek) le margon., emarginate; Mrógis différent celtique, territoire, terre, mrógos, district, (cf. O.Ir. mruig, bruig, bro gallois, Maïs. bro, Bert. broin), dans le composé de Kommrógos celtique britannique, campagnard gallois", "compagnon (cf. Cymro gallois), comme dans Kommrógi., Galles, Cymru gallois.

d. R.maní., Roumanie, vient de R.m., Rome, d'où le même adjectif MIE Romain R.m.nósfor (ancien et moderne) et peuple roumain (cf. Rom. români), bien qu'emprunts modernes MIE R.m.niós /R.m.nianósand R.m.nistós (cf. fins communes Rom. -ean., e.te) pourrait être utilisé pour roumain. Les plus vieilles variantes du nom ont été écrites avec - u, comme Eng. Roumanie (probablement une orthographe Français-influencée, de Fr. Roumanie), comme Rom. rumâni.

141.   De pej de la TARTE, soyez gros, enflez, est zéro-niveau des dérivés p.tuit., l'humidité a exsudé d'arbres, chewing-gum, flegme, comme dans p.tuitári., pituitaire; p.nus, arbre du pin (céder une résine), comme Lat. p.nus, dans p.ni., pin, piña, p.ni.n, piñon; p.w.n suffixe, graisse, comme Skr. p.van, Gk. p..n; p.weriós suffixe, graisse, fertile, comme Skr. p.var., Gk. p.eira, dans P.weri., "région fertile", cf. O.Ir. .weri. (Ir. Eire, M.Welsh Iwerydd, Iwerddon, aussi dans O.E. .ras, Eng. Courroux [terre]), Gk. P.eri. (une région de Macédoine, cf. Eng. Pierian sautent); póitos de l'o-niveau étendu, retapez, la graisse, dans le póitio du verbe, engraisse, Gmc. faitjan, p.part. poiditós, a engraissé, póiditos donnant, graisse, comme Gmc. faitithaz (cf. O.N. feitr, O.E. fætt, Du. examinez, Ger. fett). Comparez aussi Lat. pinguis (un mélange de Lat. finguis, Gk. pakhus, et Lat. op.mus, Gk. pimelh).  Gk. pitys, Skr. pituh, pitudaruh, payate, Lith. pienas.

 Le "arbre du pin"" dans TARTE est gelun., trouvez dans O.N. giolnar, Gk. kheilos, Bras. jelun/.elun, Lith. pu.is, Ir. giúis.

142.   IE a reconstruit g.ingos, "chef des gens", roi, comme Gmc. kuningaz (cf. O.N. konungr, O.H.G. kuning, O.E. cyning, Du. koning, Dan. konge, Ger. könig), est été en rapport avec O.E. cynn, "famille, course", À la mode. Eng. parent (voyez gen); O.C.S. "prince" du kunegu (cf. Rus. knyaz, Boh. knez), Lith. "ecclésiastique" du kunigas, et "roi" Finnishkuningas, est jugé des emprunts d'allemand. MIE châtrent gningodh.mos est une traduction de l'emprunt d'Eng. roi-dom, Du. konge-dømme (voyez dh.), comme gningor.giom est pour Gmc. kuninga-rikjam (cf. Du. koninkrijk, Ger. Königreich, Da. kongerige, Swe. kungarike, Ni. kongerike). Cependant, notez que l'O.E adéquat. mot car le "royaume" était simplement r.ce, comme TARTE et MIE r.giom.

143.   Le nom international Montinécros, de móntis du necrós, montagne noire (ain) (après l'apparence de Montagne Lov.en ou ses forêts conifères sombres), a été donné par conquérants italiens, peut-être de Venise. Le terme a été emprunt-traduit dans Slave (substituer leur plus vieux nom, Sla. Zeta) comme Krsn. Cor. (ou Krsnocóri.), de krsnós, noir (cf. Sla. .urnu, O.Pruss. kirsnan, Lith. kirsnas, Skr.  k.sna, de kers de la TARTE), et cor., montagne (ain).

TARTE kers de la racine nominal, la chaleur, feu, donne kért., foyer, "place brûlante", comme Gmc. kherth. (cf. O.E. heorð, O.Fris. herth, M.Du. hert, Ger. Troupeau); zéro-niveau k.dh.n, charbon de bois, cendre ardente, carbone, comme carb Lat. (à la lumière de Gmc. kherth -, O.Ind. k.d.ay.ti), krem étendu., brûlez, incinérez, comme Lat. crem.re; les sufixed ont étendu kerámos grec, l'argile de potier, poterie, comme dans le keramikós, céramique; et en couleur (à part krsnós, noir), comparez le verbe étendu kr.so, couleur, comme Russ. krasit.'

144.   MIE Swéones (peut-être orig. Swíonis), Suiones, de Swé.n, swede, est une reconstruction adéquate pour Gmc. swioniz, (cf. O.E. Sweon, Sweonas); dans O.N. svear / svíar, le n a disparu dans le nom pluriel, encore conservé dans le vieil adjectif Swe. svensk, MIE Sweoniskós, swedish. Le nom est devenu partie d'un composé, MIE Sweotéut., "Les Gens Suione", comme (voyez teut.) O.N Svíþjóð, O.E. Sweoðeod (cf. Glace. Svíþjóð, Eng. Suède, Ger. Schweden, Du. Zweden). La seule nation allemande qui a une nomination semblable était les Goths qui du nom Gmc. Gutans (cf. Suehans, "Suédois") a créé la forme boyau-þiuda. Le nom Swethiuth et ses formes différentes ont engendré l'IE différent nomme pour Suède (cf. M.Lat. Suetia, Gk. ......., Salut. Sv..dan, Pers. Intenté un procès, Lith. .vedija, Russ. ......, Pol. Szwecja, même Svezja maltais, Heb. Shvedia, Jap. Suw.den, Kor. Seuweden, etc). Un autre composé moderne (Scandinave) vient de MIE Sweor.giom, "Le Royaume des Suédois", cf. O.N. Svíariki, O.E. Sw.or..e (cf. Swe. Sverige, Da.,Ni. Sverige, Fae. Svøríki, Ltv. Zviedrija, Saami Sveerje, Svierik). Un autre composé allemand qui n'a pas survécu dans temps modernes est Sweoléndhom, "La Terre des Suédois", comme O.E. Sw.oland.

145.   Finnléndhom allemand, "Terre des Finlandais", vient du nom du Norsemen pour le Sami ou Lapon, Finlandais ou Finnós, Finlandais (cf.O.N. finnr, O.E. finnas). Le mot peut être mis en rapport avec Eng. marais ou découverte.

Le "marais" anglais est probablement d'un pánio IE original -, "marais, saleté, boue", comme Gmc. fanja - (cf. Goths. fani, O.E. marais, fenn, O.Fris. fenne, Du. veen, Ger. Fenn), a emprunté Dedans., Sp. fango, O.Fr. fanc, Fr. fange; comparez aussi Skr. panka., O.Prus. pannean, Gaule. anam.

146.   Une base de la TARTE par -, trafiquez dans, vendez ("donnez, distribuez", voyez par), est derrière enterpreso, négociez, comme dans l'enterpréts, l'intermédiaire, négociateur, interprète, enterpret du verbe., interpret;prétiom, prix, Lat. pretium, dans preti.sós, précieux, adpreti., appréciez, depreti., depreciate;perno, vendez, comme dans le porno., prostituez-vous, comme Gk. ....., dans le pornogrbhós (ou abb. pornós), pornographique, porno.

D'autres significations de base IE par - (de par, voyez aussi pero du verbe), est essai, risque (de "rôle principal sur", "pressez en avant") et coup. Comparez de la première signification a étendu p.ros, danger, comme Gmc. f.raz (cf. O.S.,O.N. fár, O.E. f.r, Ger. Gefahr Eng. peur); per.tlom suffixe, danger, péril, comme Lat. per.clum; suffixé et a préfixé eksperio, essayez, apprenez en essayant, comme dans l'ekspertós, éprouvé, ekspértos, expérimenté, expert, eksperiméntom, expérience, eksperiénti., experience;péri., procès, tentative, comme Gk. ....., dans peri.t., piratez, comme Gk. ........, emperi.kós, empirique. De la deuxième signification est étendu le pré-m latin -, pré-s, comme dans le premo, la presse, presós, a pressé, prési.n donnant, la pression, depremo, déprime, deprési.n, dépression, ekspremo, express, ekspresós, express, eksprésos, express, enpremo, que l'empreinte, enpremtós / enpresós, a impressionné, enpremt., imprimez, obhpremo, opprimez, obhpresós, a opprimé, repremo, réprimez, represós, refoulé, reprement., réprimandez, suppremo, supprimez, suppresós, étouffé.

147.   Eksáliom latin, l'exilium, "banissement", vient d'eksál, Lat. exul, "personne bannie", d'eks, "loin", et al de la TARTE, "divaguez", comme dans Gk. alasthai.

148.   Parénts MIE, père ou mère, que l'ancêtre, comme parens Lat, vient de paro du verbe, produisez, donnez la naissance à, produisez, Lat. parere, de base de la TARTE par -, produisez, comme dans la moyenne., faites prêt, dans pr.ipar., préparez-vous; pour les dérivés IE qui font référence aux jeunes animaux, cf. O.E. fearr, "taureau", O.H.G. farro, Ger. Farre, Gk. poris, Skr. prthuka., Lith. pariu, Cz. spratek.

149.   L'ówis indo-européen (plus vieux * h2owi -), mouton, donne Gmc. awiz (cf. Goths. aw.þi, SUR .r, O.E. .ow, O.H.G. ouwi, M.Du. ooge, Eng. agnelle, Ger. Aue), Lat. ovis, Umbrianuvem, Gk. ..., Skr. avika, Toch. .uw, Bras. hoviv, O. Pruss. awins, Lith. avis, Ltv. avs, Russ. ...., Owca polonais, O.Ir. ói, ewig gallois, Hitt. .awi, Luw. .. wi -, Lyc. xabwa. Un dérivé latin commun est owinós, ovin.

150.   Pek de la racine de la TARTE, cueillez, donne pék., bétail; comparez Gmc. fehu (Goths. faihu, O.N. fé, O.E. feoh, O.H.G. fihu, Eng. prix, associé, Ger. Vieh), Lat. pecu, pec., Gk. ...., Skr. pa.u, Av. pasu, Bras. asr, O. Pruss. pecku, Lith. pekus, aube. pilë. Les dérivés communs incluent les pékudom, propriété féodale, se querellent, de Med.Lat. feudum, de Gmc. fehu;pek.. ni., propriété, richesse, comme Lat. pecunia, donne pek.ni.siós, pécuniaire, .pek .niós, impécunieux; et pek..liom suffixe, richesse dans bétail, propriété privée, donne pek.li.lís, particulier, et pekul., détournez des fonds.

151.    Egnís de la TARTE, tirez, s'est reporté pour tirer comme une force vivante (comparez áq.-após), différent à la substance inanimée p.wr, et a donné des dérivés IE connus comme Lat. ignis, Skr. agni, Lith. ugnis, Ltv. uguns, ogn OCS., Russ. ....., Ogie polonais., aube. enjte; Hitt. agni. Cependant, les deux mots sont venus habituellement signifier le même, avec beaucoup de dialectes qui choisissent seulement un comme le mot principal pour un "feu" général, dans Indo-européen Moderne (dû à la disparition de telles vieilles distinctions).

152.   Proto-Indo-Europeanbhr.s, front, est trouvé dans Ger. br. (O.E. br., Ni. brún, Ger. Braue, Eng. front), Gk. ....., Skr. bhrus, Pers. abru, Toch. pärw. /pärw.ne, O.Pruss. wubri, Lith. bruvis, O.C.S. bruvi, Russ. ....., Infusion polonaise, Cel. briva (> bhr.w., pont), O.Ir. bru; Abroutes macédonien ancien.

153.   Pour kerd indo-européen, coeur (vieille inflexion Nom. kerds, Acc. kérdm, Gen. krdós, cf. Anatolian gocart-s), comparez kérd.n suffixe, comme Gmc. khert.n (cf. Goths. hairto, O.S. herta, O.N. hjarta, O.E. heorte, O.H.G. herza, Du. cerf, Eng. coeur, Ger. Herz), Lat. cor (cordon de la tige -, de krd), Gk. kardia, Skr. h.daya, Av. z.r.d., Bras. sird / sirt, O. Pruss. seyr, Lith. .irdis, Ltv. sirds, O.C.S. sr.d.ce, sreda, Russ. serdce, Pol. serce, O.Ir. cride, craidd gallois, Bert. kreiz, zâra Kamviri. Les mots MIE communs sont de zéro-niveau latin krdi.lís, cordial, adkrd., accordez-vous, komkrd., concordez, diskrd., désaccord, rekrd., dossier; zéro-niveau suffixé plus loin k.di grec., coeur, aussi digérez, orifice, donne krdiakós, cardiaque, endok.diom, endocarde, epik.diom, epicardium, megalok.di., perik.diom, péricarde; de kred-dha composé -, placer la confiance", (un vieux terme religieux, de zéro-niveau de dh., faites, place) est kreddho, croyez (un verbe séparable) comme Lat. credere (cf. Fr. croire, Il. credere, Station thermale. creer, Pt. acreditar, crêr, Rom. crede), dans le kredhénts, créance, kredhibhilís, croyable, krédhitos, crédit, dh du kred., "je crois", credo, kredholós, crédule.

À l'ouest allemand "croyez" vient de komloubhio IE, tenir cher", estime, confiance, comme Gmc. galaubjan (cf. O.E. geleafa, ge-l.fan, gelyfan, Du. geloven, Ger. glauben), de TARTE leubh de la racine verbal, soin, désir, amour, comme L. lubet (laterlibet), Osc. loufit, Skt. lubhyati, Lith. liaups., O.C.S. ljub., Pol. lubi., aube. lum. Les dérivés communs incluent leubhós, cher, bien-aimé, comme Gmc.leubaz (cf. Goths. liufs, O.N. ljutr, O.E. leof, O.Fris. liaf, O.H.G. liob, Eng. de bonne grâce, Ger. lieb), aussi lóubh de l'o-niveau., autorisation, comme Gmc. laub. (cf. O.E. leafe, Eng. permission); de lúbh du zéro-niveau., aimez, est Gmc. lub. (cf. Goths. liufs, O.N. ljúfr, O.E. lufu, O.Fris. liaf, O.H.G. liob, Eng. aimez, n'ayez pas trouvé ailleurs comme un nom, sauf O.H.G. luba, Ger. Liebe); aussi lubh du stative du zéro-niveau., soyez cher, veut, comme Lat. lib.re (O.Lat. lub.re); aussi, lúbh.d.n, plaisir, désir, comme Lat. lib.d.

Le "tro" du verbe allemand Nord vient de deru IE, foi, confiance, comme Eng. confiance.

Verbe slave pour croire, werio, vient de werós, vrai, cf. Russ. ......, Pol., wierzy., Sr.-Cr. vjerovati, Slo. verovati, etc.

154.   IE kw.n, chien, donne Gmc aux dérivés. ós du khundas (de kun (t), originairement Génitif, cf. Goths. hunds, O.E. hund, O.N. hundr, O.H.G. chassez, Eng. chassez, Ger. Hund), Lat. canis, Gk. ku.n, Skr. .van, Av. sp., Pers. affaissez-vous, Phryg. kunes, Thrac. dinu -, kinu Dacian -, Toch. ku / ku, Bras. .un, O.Pruss. sunis, Lith. .uo, Ltv. soleils, Russ. suka, Pol. suka, Gaule. cuna, O.Ir.c., ci gallois, aube. shakë; Hitt. .uwanis, Lyd. kan -. Kwonikós des dérivés, cynique, de Gk. .......; Lat différent. le kánis donne kan.siós, en ayant rapport aux chiens, kan.rios, canari, kaninós, canin.

155.   Comparez les dérivés bien-certifiés de chiffres de la TARTE d'un à dix:

JE. Les IE habituels rédigent pour on est óinos, (plus tôt * h1oinos) un, seulement, a certifié comme Gmc. ainaz (cf. Goths. ains, O.N. einn, O.E. .n, O.H.G. ein, Dan. een, O.Fris. un, Du. een), Lat. .nus (O.Lat. oinus), Osc. uinus, Umb. uns, Gk. ...., O.Pruss. a.ns, Lith. vienas, Ltv. viens, O.C.S., (..)...,... -, O.Russ. [..]..., [..]..., Polonais [jed] en, Gaule. oinos, O.Ir.óin, gallois non, ev Kamviri, aube. një / nji, Osset. .. (iu). Ed du préfixe slave - vient d'ek IE, "dehors."

Oi de la racine de la TARTE -, plus tôt * h1ói, (lequel donne oinos) avait des autres composés rares, comme óiwos, un seul, unique, comme Gk. os de l'oi (w), Av. a.va, O.Pers. aiva, óikos, un (peut-être óiqos), comme Hitt. aika -, O.Ind. éka -, l'hindi. (ek), l'Ourdou.. (ik), Rro. yek, Pers. .. (yek), akh Kashmiri. Il avait aussi vocalique note ei -, i -, comme dans l'ijo -, Gk. i.

Les dérivés incluent alnóinos, "tout l'un", seul, d'óinos de l'alnós, comme W.Gmc. tout l'ainaz (cf. Eng. seul, Ger. alleine, Du. alleen), nóin (os), aucun, aucun, d'óinos du ne, comme Gmc. nain-az (cf. O.S., M.L.G. nen, O.N. neinn, O.E. nan, M.Du., Du. neen, O.H.G., Ger. nein, Eng. aucun), Lat. n.n (cf. aussi Lat. unusin du nec Il. nessuno, Station thermale. ninguno, Pt. ninguém); d'areóini.n latin, l'union, oinio, unit, oinitós, uni, óinit., unité, oinit., unissez, adoin., joignez, komadoin., coadunate, oinanamós, unanime, oinikórnis, licorne, oiniwérsos, univers; suffixedoinikós, un, n'importe qui, et ressemelle, sélectionnez, comme Gmc. ainigaz (cf. O.S. enig, O.N. einigr, O.E. ænigO.Fris. enich, Du. enig, Ger. einig, Eng. en), Lat. .nicus, aussi dans l'óinki., un douzième d'une unité, comme Lat. .ncia.

Pour prwós MIE ordinal [pr.:-wós], en premier, aussi preismós dialectique, prowtós, pristós [' tos] (voyez plus de dérivés de par, avancé, à travers, devant, avant, tôt, d'où "premier, en premier", cf. Hitt. para, Lyc. pri), comparez Gmc. furistaz (cf. O.N.fyrstr, O.E. fyrst, O.H.G. furist, fruo, Eng. en premier, Ger. Fürst, früh), Lat. primus, Osc. perum, Umb. coquin, Gk. pr.tos, Skr. prathama, Av. paoiriia, pairi, Osset. fyccag, farast, Toch. parwät / parwe, O.Pruss. pariy, Lith. pirmas, Ltv. pirmais, O.C.S. p.rv., Russ. pervyj, pierwszy polonais, O.Ir. er, ar gallois, aube. parë i, Kam. pürük.

Sem de la racine de la TARTE -, un, ensemble, uni (Nom. séms/s.ms, Gen. s (e) mós / somós, et comme sm du préfixe.) qui se reporte à l'unité a considéré dans son ensemble et paraît habituellement dans les composés du mot, comme dans le seme, à la fois, en même temps, sémel, une fois, comme Lat. simul, ensémel, en même temps, ensemble; sémele, autrefois, une fois, etc. Comparez Gmc. sam - (cf. Goths. sama, O.N. sami, O.E. additionnez, O.H.G. saman, Eng. quelques-uns, Ger. [zu] sammen), Lat. semel, Gk. heis, Skr. sak.t, Av. hakeret, O.Pers. hama, Toch. sas/.e, Bras. mi, Lith. sa, Russ. ..., O.Ir. samail, hafal gallois, aube. gjithë, Kam. ~; Hitt. san, Lyc. sñta.

Les dérivés incluent semdekmkomlabikós du niveau plein grec, hendecasyllabic (de MIE qui emprunte kómlab., syllabe, Gk. sullambanein, s'associer dans la prononciation, de kom et Gk. lambanein, prendre), semodhesísmos, henotheism (voyez dh.s), suposem, trait d'union (voyez supo); smkmtóm, voyez kmtóm, cent; sémel suffixe, en même temps, Lat. simul, comme dans le semeltaniós, simultané, adsemel., assemblez-vous; les olós du sem (g), seul, sélectionnent, Lat. singulus; toujours, sémper composé (voyez par) jamais ("une fois pour toutes"), Lat. semper; som de l'o-niveau, ensemble, Skr. sam, et le zéro-niveau a étendu s.mn, avec, en même temps, comme Gk. hama; l'o-niveau a suffixé somós, même, comme Gmc. samaz (cf. O.N. samr, Eng. même), Gk. homos, dans le somo -, homo -, somio -, homeo -, sómilos, foule, somilí., discourez, homélie, Gk. ......; somlós, même, égal, égal, dans .somlós, anormal, somlogrbhikós, homolographic; s.mís allongé, aller, consentant, comme (< "en faire un", "réconcilier") Gmc. somiz (cf. O.N. s.mr, Eng. paraissez, convenable), aussi dans s.mo, soi-même, Russ. sam (o); zéro-niveau sm., comme Gk. ha -, un -, "ensemble" comme (le 'acopulativum', 'un athroistikon') ex. dans un-delphos "frère", de sm-celbhosliterally "du même utérus" (cf. Delphi), analogue en anglais même (cf. Symbel), ou Skr. sa., présentez ex. dans le terme pour la langue lui-même, viz. s (o) m-qrt., Skr. sa.-s-k.t. "mettez ensemble"; smplós, simple, Lat. simplus, Gk. haploos, haplous, aussi smpl.ks, "un pli", simple, comme Lat. simplex, dans smpl.kit., simplicité; s.mos suffixe, un, un certain, aussi - smmos, comme, comme Gmc. sumaz (cf. O.E. additionnez, - somme, Eng. quelques-uns, - quelques-uns); smmlós, du même gentil, même, semblable, comme Lat. similis, adsmml., assimilez; habituellement reconstruit * s.teros, un de deux, autre, comme Gk. heteros (plus vieux hateros), bien que s.teros (analogue avec Lat. sinus) devrait être utilisé.

Comparez aussi s.mi, demi, généralement comme premier membre d'un composé, comme Gmc. s.mi (cf. O.E. s.m, dans samblind des composés, samlæred, a "demi-enseigné, a instruit" vraiment, samstorfen), Gk. h.mi, et Lat. semi - et sémis, demi.

II.   Les formes pour "deux" dwo alternatifs / faites, avec duw - / du, cf. Gmc. deux - (cf. Goths. twai, O.N. tveir, O.E. tw., O.H.G. zwene, Eng. deux, Ger. zwei), Lat. duo, Osc. dû, Umb. tuf, Gk. ..., Skr. dva, Av. duua, Pers. duva, Pers. faites, Toch. wu / wi, Bras. erku, O.Pruss. dw.i, Lith. du / dvi, Ltv. divi, O.C.S.d.va, Russ. ..., Pol. dwa, Gaule. vo, O.Ir. dá, dau gallois, dü Kamviri, aube. dy; Hitt. , Lyc. tuwa. Voyez aussi ámbhos, les deux.

TARTE commune "seconde" était alterós (d'al de la TARTE, au delà de) et anterós, "l'autre des deux, la seconde, autre", cf. Gmc. antharaz (cf. O.S. athar, O.N. annarr, Ger. ander, Goths. anþar), Lat. changez, Lith. antras, Skt. antarah, les deux sens ont encore trouvé dans quelques langues modernes, cf. Da. anden, Swe. andra, Ni. andre, Glace. annar

Pour éviter l'ambiguïté, certaines langues ont renouvelé le vocabulaire, comme dans Lat participial suffixe. seqondós, suivre, venir ensuite, seconde (de seq de la TARTE, suivez), borowed en seconde anglaise, pendant que d'autres ont fait des composés qui imitent la formation ordinale générale dans leurs dialectes (cf. Ger. zweite, Du. tweede, Gk. ........, Skr. dvit.ya, Fr. deuxième, Ir. dóú, Bert. daouvet, etc.), d'où dwoterós MIE, dwitós, dwiós, etc.

Les langues slaves ont subi un changement curieux, en retenant les mêmes mots pour "autre" et "seconde", (et par conséquent l'ambiguïté) mais utiliser un mot pour "ami", de (d'où "autre") deru IE, est ferme, solide (d'où aussi "soyez digne de confiance"), comparez O.Sla. ......, Russ donnant. ...., O.Pol. droguez, Sr.-Cr., Slo. dr.g, Cz., Slk. druh, O.Pruss. draugiwald.nen, Lith. dra.gas, sudrugti, Latte. dràugs, et même allemand (cf. verbes Goths. driugan, O.N. draugr, O.E. dréogan, Eng. cadran. dree, "endurez", et comme nom Goths. gadraúhts, O.H.G. trucht, truhtin).

III. Pour tri de la racine de la TARTE - trei - (cf. Hitt. tri -, Lyc. trei), les tréjes IE donnants, trois, comparent Gmc. thrijiz (cf. Goths. þreis, O.N. þrír, O.E. þr.o, O.H.G. dr., Eng. trois, Ger. drei), Lat. tr.s, Umb. trif, Osc. trís, O.Gk. ....., Gk.Cret. ....., Gk.Lesb. ...., Skr. tráyas, tri, Av. thri, Phryg. thri -, Illyr. tri -, Toch. tre / trai, Bras. erek', O.Pers. çi, Pers. se, O.Pruss. tri, Lith. tr.s, Ltv. tr.s, Sla. tr.je (cf. O.C.S. tr.je, O.Russ. ...., O.Cz. t.i., trzy polonais), Gaule. treis, O.Ir. treí, tri gallois, aube. tre. Les dérivés modernes incluent les trístis du zéro-niveau (de tri+st, voyez st.), "troisième personne qui est prêt, témoignent, comme Lat. testicule, dans le tríst., témoin, tríst.ments, testament, tristíkolos, testicule, adtrist., certifiez, komtrist., contestez, detrist., détestez, obhtrist., obtest, protrist., protestez, tristidhak., témoignez; trój de la forme de l'o-niveau suffixé., groupe de trois, donne tróik russe.

Pour ós du trit (i) ordinal, trtijós, comparez thridjaz Gmc (cf. Goths. þridja, O.N. þriðe, O.E. þridda, O.Fris. thredda, O.S. thriddio, O.H.G. dritto, M.L.G. drudde, Du. derde, Ger. dritte), Lat. tertius, Gk. tritos, Skt. trtiyas, thritya Avestan, Lith. trecias, O.C.S. tretiji, O.Ir. triss, avec les dérivés communs y compris trítiom, tritium.

IV. Formes alternantes de quatre areqetwor, qtwor, qetur, qetr, qetwr. Contrairement à un, deux, trois, les formes infléchies de "quatre", i.e. m. qetwóres, f.qetwesóres, n. qetw.r, n'est pas commun à tous les dialectes IE; comparez Gmc. wor du fe (d) (cf. Goths. fidwor, O.N. fjórir, O.S. fiwar, O.Fris. fiuwer, Frank. essayeur -, O.E. f.ower, O.H.G. feor, Eng. quatre, Ger. vierDan. tirez, Sw. fyra), Lat. quattuor, Osc. petora, Umb. petor, Gk.Hom. ........, ......., Gk.Ion. ........, Gk.Dor. ......., O.Ind. catv..ras, catúras, Av. .athwar, .aturam, Pers. .ah .r, Kurde. .war, Thrac. ketri -, Toch. .twar / .twer, Bras. . 'ork', O.Pruss. keturj.i, Lith. keturì, O.Ltv. .. tri, O.C.S. .etyri, Russ. ......, Pol. cztery, Gaule. petor, O.Ir. cethir, pedwar gallois, Bert. pevar, aube. katër, Kam. .to; Lyc. teteri.

Pour qeturós de l'adjectif ordinal, qetwrtós (aussi qeturtós), comparez Gmc. fedworthaz (cf. O.E. f.ortha, f.owertha, O.H.G.fiordo, M.Du. veerde, Ger. vierte, Eng. quatrièmement), Lat. qu.rtus, Lith. ketvirtas, Russ. ........., Cz. .tvrtý, Ir. ceathrú, pedwaredd gallois.

V.    Pour pénqe indo-européen, cinq, comparez Gmc. finfe (cf. Goths. fimf, O.S. fif, O.N. fimm, O.E. f.f, O.H.G. funf), Lat. quinque, Osc. pompe, Umb.pumpe, Gk. ....., Skr. pañca, Av.pa..a, O.Pers. pan.a, Phryg. pinke, Toch. päñ / pi., Bras. hing, O.Pruss. p.nkj.i, Lith. penki, Ltv. pieci, O.C.S. p.t., Russ. ...., Polishpi., Gaule. pempe, O.Ir. cóic, pompe galloise, aube. pesë, Kam. pu.; Luw. panta.

Pour penqtós ordinal, comparez Gmc. finfthaz (cf. Eng. cinquièmement, Du. vijfde, Ger. fünfte, Sca. femte, etc.), Lat. quintus, Gk. ......., Lith. penktas, Russ. ....., Cz. pátý, Ir. cúigiú, pumed gallois, Bert. pempvet, etc.

VI. Pour TARTE "six", andseks du sweks (aussi weks dans Bras. vec', originairement alors probablement TARTE * sweks), comparez Gmc. sekhs (cf. Goths. saihs, O.S. seks, O.N., O.Fris. sexe, O.E. siex, O.H.G. s.hs, M.Du. sesse), Lat. sexe, Osc. sehs, Umb. sehs, Gk. .., Skr. .a., Av. kh.wua., Pers. .e., Osset. æxsæz, Illyr. ses -, Toch. .äk / .kas, O.Pruss. usjai, Lith. .e .i, Ltv. se.i, O.C.S. .est., Russ. ....., Sze polonais., Gaule. suex, O.Ir. sé, chwech gallois, aube. gjashtë, Kam. .u.

Pour ekstós s (w), comparez Gmc. sekhsthaz (cf. O.E. siexta, Fris.,Ger. sechste, Du. zesde, Da. sjette) sextus latin, Gk. ....., Lith. .e .tas, Russ. ......, Cz. .estý, Sr.-Cr.,Slo. .esti, Ir. séú, chweched gallois, Bert. c'hwec'hvet, etc.

VII.    Pour séptm de la TARTE, sept., sept, comparez Gmc. sebun (cf. O.S. sibun, O.N. sjau, O.E. seofon, O.Fris. sowen, siugun, O.H.G. sibun, Du. zeven), Lat. septem, seften Oscan, Gk. ...., Skr. saptá, Av. hapta, Pers. manche, Osset. avd, Toch. .pät (.ä .t .-) / .ukt, Bras. evt'n, O. Pruss. sept.njai, Lith.septynì, Ltv. septin.i, O.C.S. sedm., O.Russ. ...., Siedem polonais, Gaule. sextan, O.Ir. secht. Saith gallois. Aube. shtatë (de septmtí -), sut Kamviri; Hitt. .ipta.

Pour ós du septm (m) ordinal, comparez Gmc. sebunthaz (cf. Eng. septième, Ger. siebente, Du. zevende, Da. syvende, Swe. sjunde), Lat. septimus, Gk. ......., Lith. sekmas, Russ. ......., Ir. seachtú, seithfed gallois, Bert. seizhvet.

VIII. Pour ókt de la TARTE. (u), huit, plus vieux * h3ekteh3, comparez Gmc. akhto (u) (cf. Goths. ahtau, O.N. átta, O.E. eahta, O.H.G. ahto), Lat. oct., Osc. uhto, Gk. ...., Skr. a..a, Av. a.ta, O.Pers. a.ta, Toch. okät / okt, Bras. ut', O.Pruss. ast.njai, Lith. a.tuoni, Ltv. asto.i, osm OCS., Russ. ......, Osiem polonais, Gaule. oxt., O.Ir. ocht, wyth gallois, aube. tëte, Kam. u.; Lyc. aitãta -.

Pour ordinaloktowós commun, ou les plus nouveaux oktotós des formations imitatifs, oktomós, comparent Gmc. akhtothaz (cf. Eng. huitième, Ger. achte, Du.,Fris. achtste, Swe. åttonde), Lat. octavus (mais cf. Fr. huitième), Gk. ógdoos, Russ. (.) ......, Cz. osmý, Ir. ochtú, wythfed gallois, Bert. eizhvet.

IX. Les néwn de la TARTE (plus vieux * h2néwn), neuf, ont donné Gmc. niwun (cf. Goths.,O.H.G. niun, O.Fris. niugun, O.N. níu, O.E. nigon), Lat. novem, Osc. nuven, Umb. nuvim, Gk. ....., Skr. nava, Av. nauua, O.Pers. nava, Pers. noh, Toch. ñu, Bras. auberge, O.Pruss. new.njai, Lith. devynì, Ltv. devi.i, O.C.S. dev.t., Russ. ......, Dziewi polonais., Gaule. navan, O.Ir. nói, naw gallois, aube. nëntë / nândë, Kam. nu; Lyc. ñuñtãta -. Forme commune slave dev.t., de néwntis de la TARTE, est aussi trouvé dans O.N. niund, Gk. (f.) ......, O.Ind. navatí., Av. navaiti -. Pour ós du nown (n) des ordinal, neuntós, comparez Gmc. niunthaz (cf. Eng. neuvième, Ger. neunte, Du. negende, Da. niende, Swe. nionde), Lat. nonus, nouenus, (mais Fr. neuvième), Gk. ......, Russ. ......., Cz. devátý, Ir. naoú, nawfed gallois, Bert. navvet.

X.    Pour dékm de la TARTE (t) ['de-km.], aussi dek., dix, comparez Gmc. tekhun (cf Goths. taihun, O.S. tehan, O.N. tíu, O.Fris. tian, O.E. t.en, O.Du. dix, O.H.G. z.hen), Lat. decem, Osc. deken, Umb. desem, Gk. ...., Skr.da.a, Av. dasa, Pers. datha, dece Dacian -, Toch. .äk / .ak, Bras. tasn, O.Pruss. des.mtan, Lith. de.imt, Ltv. desmit, O.C.S. des.t., Russ. ......, Dziesi polonais., Gaule. decam, O.Ir. deich, Welshdeg, aube. dhjetë / dhetë, Kam. duc.

Pour ós du dekm (m) ordinal, dekmtós, comparez Gmc. tekhunthaz (cf. O.E. teogoþa, Ger. zehnte, Du.,Da. tiende, Swe. tionde, Eng. dîme, dixième), Lat. decimus, Gk. dékatos, Lith. de.imtas, Russ. ......., Cz. desátý, Ir. deichiú, degfed gallois, Bert. dekvet.

156.   C'est la situation générale dans TARTE (cf. ex. pour "douze", Ved.Skr. dv.da.a, Lat. duodecim, Gk. ......, Ir. dheag du dó, etc.), bien que certaines différences dialectiques soient trouvées:

a.    Dans Slave et dialectique Baltique, une forme particulière - nódekm (- pódekm), illuminé. "sur dix", est utilisé, ex. qetwrnódekm (qetwrpódekm) "quatre sur dix", comme Russ. ............, i.e. ...... +.. + ....., (Ltv. .etrpadsmit, i.e. .etri + pad+desmit), cf. Pol. czterna.cie, Cz. .trnáct, Sr.-Cr. .etrnaest, etc.

b.    L'usage Baltique allemand et dialectique compose avec MIE - liq (a), parti sur (voyez leiq), dans allemand seulement óinliq (a), "on est parti (au delà de dix)", comme Gmc. ain-lif (cf. Goths. ain-lif, O.E. endleofan, O.H.G. elfe, Eng. onze), Lith. vienio-lika, dwóliq (a), "deux gauche (au delà de dix)", comme Gmc. twa-lif (cf. Goth.twalif, O.S. twelif, O.N. tolf, O.E. O.E. twelf, O.Fris. twelef, M.Du. twalef, O.H.G. zwelif), Lith. dvy-lika; aussi, comparez Lituanien essai-lika, "treize", keturio-lika, "quatorze", etc.

Pour leiq de la TARTE, partez, comparez Gmc. laikhwnjan (cf. Goths. lei.an, O.N. ljá, O.E. l.nan O.H.G. l.han, Eng. prêtez, Ger. leihen), Lat. linqu., Gk. leip., Skr. ri.akti, Av. raexnah, Pers. r.xtan, Bras. lk'anem, O.Pruss. polijcki, Lith. likti, Ltv. likt, Russ. olek, O.Ir. léicid. Les dérivés communs incluent ekléiqtis, éclipse, ellipse, Gk. ........; lóiqnis de l'o-niveau, emprunt, comme Gmc. laikhwniz (cf.O.N. l.n, Eng. emprunt), loiqnio, prêtez, comme Gmc. laikhwnjan; linqo nasalisé, permission, comme Lat. linquere, dans le delinqénts, le délinquant, relinqo, abandonne, relí (n) q., relique, etc.

c. Il est cru que dans quelques dialectes allemands une forme infléchie de - dekm - a été utilisé peut-être (cf. O.E. -t.ne, t.ne, - týne, Eng. -adolescent), peut-être IE * - dekmis.

157.   Le suffixe - mt k (o)., dix fois, vient probablement finalement de TARTE du zéro-niveau * dkmtH, de dékm (t), dix, et est trouvé comme Lat. -gint., Gk. -konta; il est aussi trouvé dans dekmtós du plein-niveau allemand, dixième, Gmc. teguntha - (cf. O.E. teogotha, t.otha, Eng. dixième, dîme).

Suffixe allemand - tig, "groupe de dix", qui représente "dix" dans les nombres pourpres (comme Eng. soixante, soixante-dix, etc.), peut-être un Gmc indépendant. racine (cf. O.E., Du. -tig, O.Fris. -tich, O.N. -tigr, O.H.G. -zig, - zug), a existé comme un mot distinct dans les Goths. tigjus, O.N. tigir, "dizaine, décennies." Allemand retient des traces d'un vieux base-12 le système du nombre, comme les mots onze, "en laisse un", et douze, "laissez-en deux", montrez, v.s. Vieux anglais avait aussi endleofantig de l'hund pour 110 et twelftig de l'hund pour 120. Cent était teantig de l'hund. O.N. hundrað usagé pour 120 et þusendfor 1,200. Tvauhundrað était 240 et þriuhundrað 360.

Les dialectes du Balto-Slave utilisent les formes qui réserves MIE pour le dizaine (dû à leur formation différente), i.e. " (unité) + dix", ex. trois-dix, comme Russ. ........ (i.e. ... + .....), Ltv. tr.sdesmit (i.e. tr.s+desmit); cf. aussi Pol. trzydzie.ci, Sr.-Cr. trideset, etc.

158.   Pour IE (d) w.k.t., vingt, originairement alors * dwi-dkomt -, comparez Lat. v.gint., Gk. ......, Skr. vi..ati, Av. visaiti, Pers. .... (b.st), Toch. wiki / ikä., Bras. k'san, Gaule. vocontio, O.Ir. fiche, ugain gallois, aube. njëzet / njizet, vici Kamviri.  Pour plus nouvelles formations dans Balto-Slave, comme dwo+dekm MIE, cf. Lith. divdesmit, Russ. ........, Pol. dwadzie.cia, Cz. dvacet, Sr.-Cr., Bul. dvadeset, Slo.,Slk. dvajset, Rom. dou.zeci.

Indo-européen dizaine est trouvé généralement dans le plus vieux. ou plus archaïque. a certifié des dialectes comme composés de nombres du zéro-niveau avec - dkomt -, comme trikómt (.) (Lat. tr.gint., Gk. triákonta, Ir. tríocha, Skr. tri..at), qetwrkómt (.) (cf. Lat. quadr.gint., Gk. tessarákonta, Skr. catv.ri..at), penqekómt (.) (cf. Lat. quinqu.gint., Gk. pentêkonta, Ir. caoga, Skr. pañc..at), ekskómt s (.) (w) (cf. Lat. sex.gint., Gk. exêkonta, Ir. seasca, Skr. .a.. i.), septmkómt (.) (cf. Lat. septu.gint., Gk. heptákonta, Ir. seachtó, Skr. saptati.), newnkómt (.) (cf. Lat. non.gint., Gk. ennenêkonta, Ir. nócha, Skr. navati.).

Pour kmtóm de la TARTE, cent, (probablement de * dkmtóm, un zéro-niveau a suffixé forme de dékm, dix) comparez Gmc. khunda (cf. Goths. hund, O.H.G. chasse), Lat.centum, Gk. ......, Skr. .ata, Av. satem, Pers. triste, Toch. känt / kante, O.Lith. .im .tas, Ltv. simts, O.C.S. s.to, Russ. ..., Pol. sto, Gaule. cantam, O.Ir. cét, inclinaison galloise. Aussi, Ouest MIE k.t dialectique allemand (m) - radhom (pour rádhom, comptez, voyez ar), khund (a) - ratham, comme O.N. hundrað, O.E. cent, Ger. hundert, Eng. cent.

Un nom infléchi proto-Indo-européen général pour "mille" était (sm) ghéslos, - om, -., (un) mille, comme Skr. sahasram, Av. hazar.m, Pers. h.zar, Toch. wälts / yaltse, Russ. ....., Cz. .íslo. Les dérivés MIE communs incluent ghéslioi, mille, comme O.Gk. ......, dans le gheslo -, kilo -, et dérivés latins de m.lle, O.Lat. m. (h.) l., dans le tour d'une plus vieille TARTE a suffixé sm-ghesl -..

L'habituel (non décliné) allemand et Balto-Slave túsnt de la forme commun., "nombre massif" d'où "mille", a donné Gmc. thusundi (cf. Goths. þusundi, O.N. þúsund, O.E. þ.sunt, O.Fris. thusend, O.H.G. þ.sunt, Du. duizend), Toch. tumane/tm.m, Lith. t.kstantis, Ltv. t.kstots, OCS tys..ti, Russ. ......, Tysi.c polonais. Il est mis peut-être en rapport avec tew de la TARTE, enflez, et quelques-uns -le un plus vieux * t.s-kmt. > * túsmt. /túsomt., "enflé cent."

159.   Pour pel de verbe IE, pliez, comparez des noms de l'o-niveau pólt.n, pli, comme Gmc. falthan (cf. Goths. falþan, O.N. falda, O.E. faldan, fealdan, M.L.G. volden, Ger. falten), et formulaires combinés - póltos, comme Gmc. -falthaz (cf. Goths. falþs, O.N. -faldr, O.E. -feald, - fald, Ger. -falt), et - plos, comme Lat. -plus, Gk. -...., - ....., aussi comme Gk. ....., encore a utilisé dans grec moderne. IE étendu pleks bas, tressez, donne plóksom de l'o-niveau, lin, comme Gmc. flakhsam (cf. O.E. fleax, O.Fris. lin, Ger. Flachs), plein-niveau - pleks, - pli, dans les composés tel que dupleks, tripleks, mltipleks, etc., et comme plek du verbe., pliez, plicate, Lat. plic.re, dans l'adplek., appliquez, komplek., compliquez, kómpleks, complice, eksplek., déployez, deeksplek., déployez, affichez, enplek., impliquez, impliquez, employez, enplekitós, implicite, replek., reproduisez, réponse; plekto suffixe, le tissage, natte, entrelace, comme Lat. plectere, p.part. plekstós (de * plekttos), comme dans le plékstos, plexus, amplekstos, que les amplexus, komplekstio, entrelacent, komplekstós, complexe, perplekstós, confus, perplexe; Plektós grec, tordu.  

160.    Pour mónoghos de la TARTE (enracinez menegh -), beaucoup, beaucoup, compare Gmc. managaz (cf. Goths. manags, O.S. manag, O.E. monig, manig, O.Fris. manich, Swed. mången, Du. menig, Ger. manch), O.C.S. munogu, Russ. ....., Cz. mnoho, O.Ir. menicc, mynych gallois. Le monoghopóltos composé, divers, est commun à dialectes allemands, cf. Goths. manag-falþs, O.E. monigfald (Anglian), manigfeald (W.Saxon), O.Fris. manichfald, M.Du. menichvout, Swed. mångfalt, etc.

161.    Pour TARTE en premier eg de la personne, eg., (et egóm Indo-iranien) comparez Gmc. ek (cf. Goths. ik, O.Fris.ik, O.E. Ic, O.N. ek, O.H.G. ih, Norw. eg, Dan. jeg, Eng. Je, Ger. ich), Lat. moi, Umb. eho, Gk. ..., Av. az.m, O.Lith. .., O.Pruss.,Ltv. es, O.C.S. ..., O.Russ. ..., O.Pol. jaz, Kam. õc; Hitt. uk, uk Carian. Skr dialectique. aham, Ven. e., pourrait montrer une forme différente * eghó (m), pendant que les .z .and slaves que l'ug Anatolian forme montrent peut-être un autre vieil o-niveau différent * .go, bien que cela soit débattu. Dérivés de m'a fléchi (ghi) incluez Gmc. je (ke) (cf. O.N., Goths. mik, O.E. je, mec, O.H.G. mih), Lat. je, Umb. mehe, Ven. mego, Gk. eme, Skt. mam, Av. mam, Russ. mne, O.Ir. mé, mi gallois, aube. mua, etc.

162.   Pour TARTE nous (i), nous, comparons Gmc. wiz (cf. Goths. esprit, weis, O.S. wi, O.N. vit, vér, O.E. w., O.Fris. wi, O.H.G. wir, Dan. vi, Du. wij), Skr. vayam, Av. va.m, O.Pers. vayam, Toch. été / wes, Lith. vedu, Hitt. w.s. Pour ns IE infléchi -, nos, comparez Gmc. uns - (cf. Goths. unsar, ugkis, SUR oss, okkr, O.E., nous, uncer, O.S., O.Fris. nous, O.H.G. unsih, unser, Swed. oss), Lat. n.s, Gk. non, Skr. nas, Av. n., O.Pers. amax.m, Toch. nás, O.Pruss. no.son, Lith. nuodu, Russ. nas, nas polonais, O.Ir., Ni gallois, aube. ne; Hitt. anz.s.

163.   Pour tu indo-européen, vous (sg.), comparez Gmc. thu (cf. Goths. þu, O.N. þú, O.E. þu, O.H.G. thu, Eng. tu, Ger. du), Lat. t., Osc. tuvai, Umb. tu, Gk. su, Skr. tvam, Av. t., O.Pers. tuva, Toch. tu / tuwe, Bras. tu, O.Pruss. à., Lith. tu, Ltv. tu, O.C.S.,Russ. ty, ty polonais, O.Ir. tú, ti gallois, aube. ti, Kam. ; Hitt. tuk.

164.   Le ou les ju de la TARTE, vous (pl.), donne Gmc. iuwiz (cf. Goths. jus, O.N. yor, O.S. iu, O.E. [g] .-ow, O.Fris. iu-nous, M.Du. U, O.H.G. ir, iu-wih), Gk. humeis, Skr. y.yam, Av. y... m, Toch. yas / oui, Bras. dzez, O.Pruss. io.s, Lith. j.s, Ltv. j.s. Pour wos, nous -, comparez Lat. v.s, Umb. uestra, Skr. vas, Av. v., O.Pruss. wans, Russ. vy, le vas, wy polonais, était.

165.   S (w) e réfléchi indo-européen a donné des Goths. sik, O.N. sik, O.H.G. sih, Ger. sich, Lat. s., sibi, sífeí Oscan, seso Umbrian, Gk. heos, Skr. sva, Av. hva, Phryg. ve, Bras. encre, O.Pruss. sien, péché, Lith. savo, sevi Ltv, O.C.S. se, Russ. sebe, - sja, aube. vetë; Sfes Carian, Lyd. .fa. Les dérivés incluent sélbhos suffixe, soi-même, Gmc. selbaz (cf. Goths. silba, O.N. sjalfr, O.E. seolf, sylf, O.Fris. soi-même, Du. zelf, O.H.G. selb), ebh s (ó) (w) s, "on est propre", relation du sang, parent, comme Gmc. sibjas (cf. Goths. sibja, O.S. sibba, O.E. sibb, O.Fris., M.Du. sibbe, O.H.G. sippa, Eng. sib, Ger. Sippe); swóinos suffixe, "on est propre (homme)", serviteur, domestique, aussi sheperd, comme Gmc. swainaz (cf. O.N. sveinn, O.E. pavanez-vous, O.S. swen, O.H.G. swein, Eng. jeune homme); s (u) w suffixe -, comme dans suwik.d., sucide, et sw.mis, son propre maître", propriétaire, prince, comme Skr. sv.m.; sed étendu, s., sans, séparément (de seul); o-niveau suffixe s.los, par soi seul, Lat. s.lus, comme dans s.lit.siós, seul, des.l., désolé; sw.dhsko suffixe, habituez, est habitué, comme Lat. su.scere, comme dans komsw.dhsko, habituez, p.part. komsw.stós (< * komsw.dh (sk) à -), dans komsw.st..d .n, consuetude, coutume, desw.st..d .n, desuetude, mansw.st..d .n, mansuétude; suffixé swetrós étendu, camarade, compagnon, comme O.Gk. hetaros; sweinós de la forme suffixé, moi, comme O.Ir. féin, comme dans Sinn Fein; swétos suffixe, de soi.

Quelques linguistes connectent le pronom à un plus vieux swe de la racine de la TARTE - signifier la famille, dans le tour apparenté avec su, naisse qui aurait gelé dans les temps anciens à travers composition dans les mots comme sw-es.r, illuminé. "femme de la propre famille", (de sw -, "famille, possédez" et ésor -, femme) par opposition à l'és.r générique ou cén., femme.

166.   Pour deuk de la TARTE, menez, aussi "tirez, tirez", comparez Gmc. teuhan (cf. O.E. t.on, O.H.G. ziohan, Eng. tirez sur, Ger. ziehen, Zug), dygaf M.Welsh, aube. nduk; le zéro-niveau a suffixé dúk., tirez, traînez, Gmc. tug.n (cf. O.E. togian, Eng. remorquez), et a préfixé ekduk., menez dehors, amenez, instruisez, dans Lat. .duc .re; douk de l'o-niveau suffixé., liez, cravate; dóukmos, descendant, famille, la course, couvée, "s'associe" d'où, comme Gmc. tauhmaz, O.E. t.am, et doukmio du verbe dénominatif, engendrez, abondez, comme Gmc. taukhmjan, O.E. t.man, t.eman; la forme de base donne déuks des dérivés latin, le duc, apdeuko, enlève, addeuko, alléguez, aq.déuktos, aqueduc, kikromdéukti.n, que les circumduction, komdeuko, provoquent, mènent, dedeuko, déduisez, déduisez, ekdeuko, dégagez, endeuko, induisez, entrodeuko, introduisez, prodeuko, les produits alimentaires, redeuko, réduisent, sedeuko, séduisez, supdeuko, subjuguez, transdeuko, diffamez.

167.   Pour TARTE ainsi, ce, comme O.E. se (plus tard remplacé par th -, dans le), Gk. ho, il, Skt. sa, Avestan ha, O.Ir. ainsi, avait aussi un sj féminin allemand., "elle", Gmc. sj., comme O.E. s.o, s.e. Un mot de l'emprunt commun est forme différente sei-dans le composé avec ki, ici, séiki donnant, donc, ainsi, dans cette manière, comme Lat. s.c (cf. pour roman "oui", Fr. si, Il. sì, Station thermale.,Chat. sí, Pt. sim). De forme infléchie à est Gmc. th. (cf. O.E. le, M.Du. de, Ger. der, mourez), L. ta [lis], Gk. à, Skr. ta -, Bal.-Sla. à, aussi tmto de l'emprunt grec alternatif -, tauto -; de tod neutre est Gmc. cela; de t.m accusatif est t.mdem latins adverbiaux, enfin, tant, tandem, et t.mtos, tant, et de sa forme réduite est suffixé t.lis, tel.

168.   De jénos des dérivés de l'iare de la TARTE (voyez éno) qui, là-bas, comme Gmc. jenaz (cf. Goths. jains, O.N. enn, O.Fris. jen, O.H.G. ener, M.Du. ghens, O.E. geon, Ger. jener), et comme jend étendu -, jéndonos, yond, là, au delà de, comme Gmc. jend (anaz), O.E. geond (a); forme étendue que j.i donne à O.E. g.a, Ger., Dan., Norw., Sw. ja, Eng. ouais; le jo de la tige relatif plus particule donne jóbho, "doutez", si, comme Gmc. jaba (cf. O.E. gif, O.N. ef, si, O.Fris. gef, O.H.G. ibu, iba, Ger. ob, Du. de); forme de base i, Lat. est, id neutre, il, et ídem, même, comme dans l'idemtikós, identique, idémtit., identité, idemtidhak., identifiez; íterom suffixe, encore, iter., répétez, reiter., réitérez, ítem, donc, aussi.

Car MIE a reconstruit l.g, corps, forme, comme, même, comparez des dérivés allemands koml.gos, "comme", avoir la même forme, illuminé. "avec un corps correspondant", comme Gmc. galikaz (cf. Goths. galeiks, O.S. gilik, O.N. glikr, O.E. gelic, Du. gelijk, Ger. gleich), analogue, étymologiquement, à kombhormís MIE, Lat. conformez-vous; verbe l.gio, s'il vous plaît, comme Gmc. likjan (cf. Goths. leikan, O.N. lika, O.E. lician, O.Fris. likia, O.H.G. lihhen).

Pour MIE a reconstruit bhórm., formez, comparez Lat. Forma, "forme, moisissure, forme, cas" et le grec ....., "forme, forme, beauté, apparence extérieure", équivalent à mórbh IE., d'où les deux peut-être d'un merbh de la racine de la TARTE commun - / bherm, "forme."

169.   Pour ko, les ki, ici, comparent comme Gmc. khi - (cf. Goths. hita, SUR hér, O.E. frappez, il, elle, O.H.G. hiar, Eng. il, il, ici), Lat. cis, Lith. .is; Hitt. k., Luw.za. Aussi, un ke de la particule commun est trouvé, comme dans O.Lat. hon-ce (Lat. hunc), Gk. keinos (de ke-eno), aussi Hitt. ki-religieuse, "maintenant."

170.   Les éno de la TARTE, là, ont donné Gmc. jenos (dans le composé avec i), Skr. ena -, anena, O.C.S. onu, Lith. ans.

171.   Mot de l'emprunt commun que le murus latin, "mur", vient d'O.Lat. moiros, moerus, i.e. Móiros MIE, avec les dérivés communs moir.lís, d'un mur, et n.pl. moir.lia, comme Fr. muraille, Station thermale. muralla, Eng. peinture murale. Ce mot est utilisé normalement dans les langues indo-européennes modernes pour faire référence à un "mur externe d'une ville, forteresse, etc"., comme Ger. Mauer, Du. muur, Sca. mur, Fr. mur, Il.,Station thermale.,Pt. muro, Ca.mur, Lith. muras, Pol. mur, Ir. mur, Bert. mur, aube. mur, etc., pendant que la plupart des langues IE utilisent un autre mot pour la "cloison dans un bâtiment", comme wállom MIE, mur, rempart, ligne ou ligne de pieux, une coopérative de wállos, pieu, comme Lat. uallum, uallus (cf. O.E. weall, O.S., O.Fris., M.L.G., M.Du. wal, Swe. vall, Da. val, Ger. Mur), pariéts MIE, comme Lat. paries, parietis (cf. Il. parete, Station thermale. paré, Pt. parede, Rom. perete), MIE st.in. (cf. O.C.S. stena, Russ. ....., Sr.-Cr.,Slo. stena, Cz. st.na, Pol. .ciana, aussi comparez prête Ltv. siena, Lith. siena, Finlandais. seinä, Est. sein). Le móiros IE vient de mej de la TARTE, fortifiez, perche, comme dans Gmc.mairja (cf. O.Eng. m.re, gem.re "limitent, limite", O.Ice. landa-m.ri), O.Ind. mití -, Pers. m. "cheville, bouchon, clou", O.Ir (< * mai.a). [- tuid] hommes, et Lith étendu. mita, Sla. moisto ou meisto (de TARTE * je / o-itto), comme dans O.Bulg. me.sto, Ser.-Cr. mje.sto, Cz. místo, etc.

Pour racine indo-européenne st.i, lapidez, comparez st.in slave., mur, et stóinos de l'o-niveau, pierre, comme Gmc. stainaz (cf. Goths. taches, O.N. steinn, O.E. stan, O.H.G. chope, Da. steen); st.jr suffixe, graisse solide, graisse, comme Gk. ....., dans st.jrikós, stearic, etc; cf. aussi Gk. stia, stion, "caillou", Skr. le styayate "coagule, devient dur", Av. restez - "tas."

172.   Pour peig de la TARTE, aussi peik, la coupe, marque (par incision), compare péik des dérivés (o) l., outil coupant, dossier, scie, comme Gmc. la f.kh (a) (cf. O.E. feol, fil, O.H.G. fila, M.Du. vil, Eng. classez, Ger. Feile), Lith. pela, O.C.S. pila; pingo du zéro-niveau nasalisé, brodez, tatouage, peinture, image (vraisemblablement de "décorez avec les marques de la coupe" pour "décorer" pour "décorer avec couleur"), comme Lat. pingere, dans p.part. pigtós, a peint, pigtós., peindre, image, pigm.tom, le pigment, depingo, représente; pikrós de la forme du zéro-niveau suffixé, tranchant, amer, comme Gk. pikros; poikilós de l'o-niveau, tacheté, pied, plusieurs, comme Gk. poikilos. Comparez, avec le sens de "marque, décorez", Skr. pinga., pesala., pimsati, O.C.S. pisati, pegu, "bigarré", O.H.G. les fehjan "ornent", Lith. les piesiu "écrivent."

173.   Pour ed de la TARTE, mangez, originairement mordez, comparez Gmc. (pour) etan (cf. Goths. itan, SUR eta, O.E. etan, fretan, O.H.G. ezzen, frezzan, M.Du. eten), Lat. edere, comme dans l'edibhilís, comestible, komedo, comédon, Lat. comedere, p.part. komestós, (< * komedto -) comme dans le komestibhilís; diom du prám (e) composé, "en premier repas", déjeuner (de pr.m, en premier), comme Lat. prandium; edun suffixe., faites souffrir (de "soin tenaillant"), comme Gk. odun. Comparez Lat. ed., Osc. edum, Gk. ed., Skr. annonce, Av. annonce, Thrac. esko -, Toch. yesti, Bras. utel, O.Pruss. ist, Lith. .sti, Ltv. .st, Russ. plaisanterie', je polonais., O.Ir. esse; Hitt. à, Luw. annonce -, az -, ata Palaic -.

Proto-Indo-Europeandonts (vieux gen. dentós), dent, participe originairement présent * h1dent, en "mordant", donne Gmc. tanth-tunth (cf. Goths. tunþus, O.E. t.ð, pl. teð, cf. O.N. tönn, O.S. tand, O.Fris. toth, O.H.G. zand, Dan., Swed., Du. tand, Ger. Zahn), Lat. dentis, Gk. odous / donti, Skr. dantam, Pers. dand.n, Lith. dantis, Russ. desna, O.Ir. dét, dant gallois, Kam. dut. Les dérivés modernes incluent d.tskos allemand, dent canine, défense (cf. O.E. smoking, tusc, O.Fris. défense), dent.lís latin, dental, dentíst., dentiste, endent., entaille, tridénts, trident et le grec - donts, donto -, comme Gk. od.n, odous, dans le dontologí., odontologie, etc.

174.   Proto-Indo-Europeangal, appelez, criez, a donné gallo expressif, comme Gmc. kall - (cf. O.N. kalla, O.E. ceallian, O.H.G. halan, Eng. appel), aussi trouvez dans gállos du nom latin, coq (< "l'oiseau de l'appel"), comme Skr. usakala, "aube-appeler", M.Ir. cailech, (mais aussi a associé à Gallus, gaulois, comme si signifier "l'oiseau de Gaule") dans le gallinakiós, gallinaceous;gálsos, voix, comme O.C.S. glas., comme dans la glasnost; aussi, gálgalos redoublé, mot, comme O.C.S. glagolu. Aussi trouvez dans Gk. kaleo, kelados, Lith. kalba, "langue."

175.   Pour racine verbale proto-Indo-européenne p. (i), buvez, comparez des dérivés communs Lat. p.t.re, p.tus, bavette., Umb. puni, Gk. ....., ....., Gk.Lesb. .... (Fut. ......, Aor. ....., Impf. ...., Perf. ......), O.Ind. píbati, p.tás, p.tí., aussi.. ti,... á..ti, .á.. t., Thrac. pinon, Bras. .mpelik', O.Pruss. poutwei, poieiti, Lith. puotà, Sla. (cf. O.C.S. pitij., piju, O.Russ. ...., Pol. pi., piju, Cz. píti, piji, Sr.-Cr. .....,... j..., Slo. píti, píjem, etc.), O.Ir. ibim, yfed gallois, aube. pi (aor. .. v.); Hitt. papas. Car MIE mots communs, comparez p.tós, ivrogne, comme Lat. p.tus, dans p.t., buvez, Lat. p.t.re; pótis du zéro-niveau suffixé, buvez, en buvant, dans le kompótiom, "avec boire", fête, banquet, symposium, comme Gk. ........., et latin p.ti.n en outre suffixe, une boisson, potion, comme Lat. p.ti., ou; zéro-niveau p.ros, fête, comme O.C.S. pir. (cf. aussi zéro-niveau général p., Sla. pij -, "boisson"); suffixé p.no nasal, boisson, comme Gk. p.nein; p.tlom suffixe, boire le vaisseau, tasse, bol, comme Skr. p.tram; suffixé pipo du zéro-niveau redoublé -, d'où pibo, boisson, comme O.Ind. píbati, Sla. pivo, aussi dans Lat. bibere à où il est assimilé * bibo.

Un terme commun pour la "bière", donc, pourrait être des píbom neutres indo-européens Modernes, comme les deux mots européens communs sont dérivés de TARTE a redoublé pibo du verbe, comparez Lat. bibere (cf. O.E. beor, O.N. bjórr, Du.,Fris.,Ger. civière, Glace. bjór, Fr. bière, Il.,Chat. birra, Rom. bière, Gk. ....., Pers. abejo, Bul. ...., Ir. beoir, bîr gallois, Bert. civière, aube. birrë, aussi bîrah hébreu, bira turc, b.ra arabe, Jap. B.ru, píji chinois. / bihluh, Maori pia, biya thaïlandais, bir malais, bir indonésien, le swahili, bia vietnamien), et pivo slave (cf. Russ.,Ukr. ...., Pol. piwo, Cz.,Sr.-Cr. pivo, Bel. ...., Mac. ...., aussi Mongol ...., pivo Azeri, etc.). Pour d'autres termes, comparez áluts MIE, bière, comme Gmc. aluth (cf. O.E. ealu, O.S. alo, O.N.,Sca. øl, Glace. öl, Ltv.,Lith. alus, O.C.S. olu, Slo. ol, Rom.olovin., aussi Est. õlu, Finlandais. olut), peut-être d'une source apparenté à Lat. alumen, "alun", ou à alu de la racine de la TARTE, une racine avec connotations de "sorcellerie, magie, possession, ivresse." Un autre terme vient de Cel.-Lat. cerevisia - > cervesia (cf. Station thermale. cerveza, Pt. cerveja, Occ.,Chat. cervesa, Gal. cervexa, Philippin, servesa du Tagalog, serbisa Ilongo, sirbesa Cebuano, serveja Tetum, etc.), dans le tour de Déesse agricole Lat. Ceres, de ker de la TARTE, grandissent, et peut-être Lat. vis, "force", d'IE w.ros, homme.

Pour ker de la TARTE, grandissez, comparez kér.s, comme Lat. Cer.s, déesse d'agriculture, surtout l'augmentation de grain, dans kere.lis, céréale; forme étendue que kr., dans kr.io, produisent, créez, produisez (< causer pour grandir), créez, comme Lat. cr..re, aussi dans pr.kr.i., procréez, kr.i.ti.n, création; kr.sko suffixe, grandissez, augmentez, comme Lat. cr.scere, dans kr.skénts, le croissant, komkr.sko, grandit ensemble, durcissez, p.part. komkr.tós, dans komkr.t., concrétisez, adkr.sko, accumulez, dekr.sko, baisse, dehors qui enkr.sko, augmentation, que rekr.sko, augmentation, recrutent aussi, ekskr.sko, grandissent, dans ekskr.skénti., excroissance, p.part. ekskr.tós, grandi dehors, dans ekskr.t., séparez, nettoyage; kórwos de l'o-niveau suffixé, "grandir", adolescent, garçon, fils et korw., fille, comme Gk. kouros, koros et kor.; smk.rós composé, "d'une augmentation", sincère (de sm du zéro-niveau -, même, un), comme Lat. sinc.rus.

176.   Pour lew de la racine de la TARTE, lavage, cf. Lat. lau.re, Gk. louein, Gaule. lautro, Bras. loganam / lokanam, O.Ir. lóathar, luddw gallois, Hitt. lahhuzzi. Comparez lóuk des dérivés., comme Gmc. laug. (cf. O.N. laug, O.E. l.ðran, O.H.G. louga, Eng.lather, Ger. Lauge); de lawo différent latin, zéro-niveau - composés du lwoin, est dislúwiom, déluge, adlúwi.n, alluvion, komlúwiom, colluvium, eklúwiom, eluvium, etc.; de loi athématique. est law.tóriom, toilettes, law.bho, law.tr.n., baignez, privé, comme Lat. l.tr.na, etc.

177.   Le verbe 'être' dans Vieux anglais était un composé composé de sources différentes. Les wesan B.onand ont été utilisés seulement dans certain se raidit (mélangé avec es de la TARTE original) .B .on a été utilisé dans le présent pour exprimer des vérités permanentes (le 'gnomic présentent'), pendant que le wesan a été utilisé pour le participe présent et le prétérit.

Wesan vient d'allemand * w.san (cf. Goths. wesan, O.N. vesa, O.E. wesan, O.H.G. wesan, wezen hollandais, Ger. guerre, Swe. vara) de wes indo-européen, demeurez, vivez, comme dans westi celtique - (cf. Vieux feiss irlandais). Les formes anglaises communes incluent était (cf. O.E.wæs) et était (cf. O.E. Sg. w.re, Pl. w.ron).

178.   Pour les hommes de la TARTE, pensez, comparez le zéro-niveau a suffixé (kom) m.tis, esprit, comme Gmc. (ga) munthiz (cf. Goths. muns, O.N. minni, O.E. gemynd, Ger. minne), Lat. m.ns (ment -), dans mnt.lís, mental, demntís, dement, m.ti.n, souvenir, mention; aussi, mntós, "vouloir", comme Gk. -matos, comme dans l'automntikós, automatique; mnio suffixe, soyez furieux, comme Gk. mainesthai, et m.ios, esprit, comme Av. mainiius; aussi fem. m.i., folie, folie, comme Gk. mani., dans le mniakós, maniaque; ménti du plein-niveau., aimez, comme Gmc. minthj. (cf. O.H.G. minna, M.Du. minne); mimno redoublé, souvenez-vous, comme Lat. meminisse, dans mimnént.d, le mémento (impératif), kommimnesko, invente par pensée, comme Lat. commin.sc., komment.siom, commentaire, que les remimnesko, rappel, se rappellent, remimneskénts, évocateur; mántis, voyant, comme Gk. mantis;méntros, conseil, prière, cantique, comme Skr. mantra.; mén.s suffixe, esprit, comme Gk. menos; o-niveau mon causatif., rappelez, prévenez, conseillez, comme Lat. mon.re, dans móniti.n, monition, monit.r, moniteur, mónstrom, présage, monstre, admon., admonestez, demonstr., démontrez, pr.imoníti.n, supmon., appelez; peut-être aussi de cette racine est suffixé Móntu., Méditez qui donne habituel grec prête montuáikos, mosaïque, comme Gk. ........, montuéiom, musée, comme Gk. ........, montuik., musique, comme Gk. .......; mn étendue., mimn.sko redoublé, souvenez-vous, comme Gk. mimn.skein, mn.stós donnant, s'est souvenu, .mn .stós, ne s'est pas souvenu" de qui .mn .stí., oubli, amnistie, comme Gk. ........, et .mn .si., amnésie, mn de la mn (á), mémoire, comme Gk mn.ma, mn.m.n, attentif, mn.monikós, mnémonique, mn.m., mémoire, comme Gk. mn.m.; aussi, de dh du mens de l'expression de la TARTE., "esprit de l'ensemble", est mnsdh du nom composé., sage, comme Av. .

Une racine IE semblable est mendh, apprenez, lequel dans le zéro-niveau mndh.gives Gk. manthanein (Aorist contiennent les maths -), comme dans mndh.mntikós, mathématique, ghr.stom.dhei., chrestomathy, etc.


 


 

Bibliographie

Ce travail est principalement une compilation de connaissance du savant, la production de deux siècles de recherche consciencieuse dans la linguistique comparative.

Pour ce travail spécifique nous avons utilisé (parmi d'autres, références moins importantes) les livres suivants:

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Nous avons aussi utilisé ces sources rapides sur le Réseau:

o Le Wikipedia, l'Encyclopédie En ligne Libre, et le Wiktionary, les deux sources excellentes pour ressources libres et connaissance. Grâce à tous les contributaires et à leurs fondateurs.

o Le Dictionnaire de l'Héritage américain En ligne.

o Le Dictionnaire de l'Étymologie En ligne de la langue anglaise.

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